Chapitre douze

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( NDA : chapitre court mais je vous publie la suite rapidement) 


Quand le respect n'est plus là faut savoir quitter la table.



***

-West-


Je suis fou de rage.

Pourtant quand Marco m'a demandé son nom pour l'inscrire je n'ai pas pu dire son nom de famille. Qu'elle porte mon nom est sa protection et ce sera comme ça à chaque fois qu'elle rentrera ici.

A la seconde où j'ai dit ça le regard des hommes dans la pièce a changé. Ils sont passé du désir au respect.

Ils ne la regardent plus comme un bout de viande parce qu'il pense qu'elle est à moi.

Ce qui est faux.

Cette femme ne peut être à personne.

Parce qu'elle n'est même pas à elle-même.

On est plus à nous même quand on a abusé de nous. Notre corps ne nous appartient plus.

On survie. Dans le corps de quelqu'un d'autre.

Je la vois avancer d'un pas déterminer. Elle se mets en position d'attaque.

Hamilton rigole comme s'il trouvait ça ridicule.

Marco attend que je lance le combat. Il ne peut pas le faire à ma place car elle est à moi.

Mais quelque chose m'empêche d'autoriser ce combat. S'il lui arrive quoi que ce soit son frère me tuera.

- Je vais la tuer, affirma le porc.

Je souris. Parce que je savais qu'elle n'allait pas perdre. C'est une survivante. Et les survivant ne perde jamais.

- Tue-le, lui dis-je en la regardant droit dans les yeux.

Elle hocha la tête et Marco comprit que j'autorisé le combat. Le compte à rebours commença et à « 0 » le porc courra vers Jolie Cœur pour tenter de la plaquer au sol. Elle sourit avant de simplement se décaler au dernier moment et de laisser trainer son pied trainer le faisant tombe au sol. Il écarquilla les yeux de surprise et la foule s'agita en criant son prénom.

Elle en profite pour lui lancer son pied au visage l'endormant un peu. Mais il relève ses bras pour attraper ses pieds mais elle écrase ses mains pour l'en empêcher. Vu son petit poids d'enfant SDF elle n'a pas dû lui faire bien mal. Mais ça l'a empêché de l'attraper.

Il se relève et recharge. Cette fois ci il arrive à la plaquer au sol. Je m'avance sur mon siège et aperçois son sourire s'élargir. Et c'est là que je comprends qu'elle a fait exprès de tomber, de le laisser faire.

Il lève son poing pour la frapper au visage.

Et elle le laisse faire. Elle veut avoir mal. Elle veut cette douleur. Elle ferme les yeux comme une drogué aspirant sa poudre blanche.

Sans que je puisse dire à mon corps et à ma bouche de rester à leur place, je prononce :

- Pas son visage !

Le porc s'immobilise et la foule râle. Bianca lève les yeux au ciel mais m'assassine du regard. Je lui rends mon merveilleux sourire en retour et je vois son visage durcir. Elle fait une rotation et passe au-dessus de lui. Il est dos à moi et elle encre son regard dans le mien avant de se poser contre son sexe. Déboussoler il ferme les yeux et elle en profite pour le ruer de coup au visage, tellement fort que j'entends ses os se craquer jusqu'ici.

Il la pousse hors de lui. Le combat continue. Le porc oublie la règle du visage et frappe sa lèvre alors que Bianca lui à casser les genoux avant. Je me lève d'un bond et Marco fait arrêter le combat. Je monte sur le ring et approche du porc.

- Je t'ai interdit de toucher à son visage, rageais-je avant de le ruer de coup.

Je sortis mon couteau et planter celui-ci dans son cœur. Il arrêta de respirer. Je compris qu'il est mort et me relevais.

Pleins de haine je fusillais du regard Bianca. Marco n'osait rien dire.

Je vis ma chemise déchirer qui lui servais de chemise et m'approchais. Elle ne bougea pas.

- Je vais te frôler, prévenais-je rageusement.

J'attrapais ma ceinture qui n'était plus à sa place et l'enlever. J'enlever ensuite mon costume et lui mettait, elle ne mit aucune résistance incapable de bouger. Je lui mis la ceinture pour resserrer sa taille pour faire plus « habiller ».

- Je vais t'attraper la main pour que les gens ne se pose pas de questions, prévenais-je.

- Pourquoi ils se poseraient des questions ? m'interrogea-t-elle.

Je ne répondis rien et attrapais sa main avant de nous faire sortir du casino. Une fois dans la voiture je laissais ma haine exploser :

- Mais t'es complètement inconsciente sale conne ?! T'aurai pu mourir ?! Ou avoir le visage défigure ?! T'AURAI PAS PU JUSTE FERMER TA GRANDE GUEULE ET RESTER ASSISE !

- T'as fini ?! Tu te prends pour qui toi connard pour te permettre de me dire que je prends de mauvaise décision. Il a fait une remarque sexiste j'ai juste voulu lui faire bouffer le sol.

- TA LÈVRE À L'AIR AVOIR BOUFFER SON POING SURTOUT !

- C'EST QU'UN COUP BORDEL ! RAMÈNE-MOI CHEZ MOI !

- NON !

- ET POURQUOI PAS ?!

- TU ES UNE PUTAIN DE CONNE ! T'as un frère qui-

Je m'arrêtais quand cette folle ouvrit la porte de la voiture. Je n'eus même pas le temps de réagir qu'elle sauta de la voiture. J'écarquillais les yeux et braquer mon volant sur le bas-côté pour sortir à toute vitesse de la voiture.

- Putain de conne ! jurerais-je.

Nulle part.

Elle est introuvable. 








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