Chapitre trente-deux

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"Non" C'est le mot d'alerte. Si tu me dis "non" j'arrêterai. C'est ce qu'ils auraient du faire avec toi. C'est ce mot qu'on doit utilisé quand on ne veut pas quelque chose. 

-West/Khaled-



***

-Bianca-



Aaron est entrain de dire en revoir au Cruz alors que je monte dans la voiture. Parce que j'ai froid. Oui j'ai fait la maligne mais maintenant qu'on est resté des heures au restau à parler avec les Cruz et qu'il fait nuit, j'ai vraiment froid. Je vois Khaled arriver dans la voiture et monter côté conducteur. Il se tourne vers moi fou de rage.

- Mickael demande ton numéro de téléphone. Je lui dis que tu es mon objet ou je luis dis que tu ne l'intéresse pas.

Folle de rage je rétorque :

- Dis-lui que je suis ta prisonnière mais qu'il m'intéresse. Une fois que je serai libre peut être qu'on pourra s'amuser.

Aaron arrive au même moment. Son regard va de West à moi avant de monter dans le Class G. Mais Khaled n'abandonne pas.

- Je vais surtout lui rappeler que tu es mon putain d'objet parce que c'est exactement ce que tu as toujours étais Bianca. Mon jouet. Mon divertissement. La gamine qui avait pleins de secret que je voulais découvrir. Et quand je serai tes secrets je partirai parce que tu n'auras plus rien d'intéressant.

Son père écarquille les yeux. Moi c'est mon cœur qui s'écarquille.

- Khaled !

Mécanisme d'auto-défense :

- Tu penses que je te dirais quoi que ce soit ? Ah toi ? Quand j'étais amoureuse de toi je ne t'ai rien dit. Maintenant que je te déteste que penses-tu obtenir ? Tu continues à vouloir de moi pour une seule raison : parce que je suis la seule qui c'est vraiment intéresser à toi.

- Ne te crois pas différente ! Tu es-

- ALORS POURQUOI TU LEURS AS JAMAIS RÉPONDU ?! POURQUOI TU AS ATTENDU QUE JE SOIS PARTIE POUR TE TAPER QUI TU VOULAIS !

- PARCE QUE TU ÉTAIS UN POIDS !

Je m'arrête.

- PUTAIN STOP ! cria Aaron. VOUS ÊTES MALADE ?!

Khaled se tourna et alluma le moteur.

Je restais dans mes pensées tout le trajet. Arrivée devant la maison Max attendais et Khaled me cracha de descendre. Je le fis sans lui lancer un regard. Je ne claquer même pas la porte de sa voiture. Malgré tout je sentais son regard dans mon dos.

- Ça s'est bien passé ? me demanda Max en attrapant mon bras.

- Elle peut tenir debout toute seule ! cria la voix du connard dans la voiture.

- Non ! criais-je. Pas quand quelqu'un de si beau et intéressant se trouve près de moi ! Ça me fait perdre l'équilibre.

Max est à deux doigt de rire mais je lui fais comprendre que je lui demande de rentrer dans mon jeu. Il sourit et me fait un clin d'œil qui n'échappe pas à Khaled. J'entends la porte de sa voiture puis une deuxième. Je me tourne suivit de Max. Aaron plaque son fils contre la porte pour l'empêcher de venir jusqu'à nous.

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