NASTASYA ( ! Chapitre un peu + spicy et plus long héhé !)
L'arrivée de monsieur me surpris à un point que j'en perdis mes mots. Pourquoi était-il revenu ? Si vite ?
Cette fois ci il ne portait plus ses lunettes de soleil et était encore vêtu de son habit de travail. Un ensemble bleu marine très raffiné qui lui allait à la perfection. Il s'approcha de moi et caressa ma joue de sa grande main. Il était doux et paraissait plus confiant que l'autre jour. Je remarquais que son torse se soulevait rapidement comme si il avait traversé tout Moscou à pieds pour arriver jusqu'ici.
- « Bonsoir mademoiselle Zaysteva me chuchota-t'il dans l'oreille.
- Bon...bonsoir monsieur le directeur je répondis intimidée.
- Le week-end a été très long sans vous, je croyais que vous travaillerez ce week-end mais quand je suis venu vous voir vous n'y étiez pas à mon plus grand désespoir je me dois d'avouer. »
Après cette déclaration, perplexe, je me demandais si il était vraiment venu ce week-end à mon travail ou si il jouait son rôle et le prenait juste très au sérieux.
- « Avez vous eu le temps de faire votre travail malgré tout ?» me demanda-t'il en enlevant son blaser et en le posant sur le fauteuil en velours.
Je ne savais pas quoi répondre et gênée, je gardais mon regard fixé sur son ceinturon pour éviter de LE regarder. Habituellement, je ne ressentais pas de gène avec mes autres clients, uniquement de la fatigue, du dégoût mais avec lui, je ne ressentais rien de tout cela mais je ne peux savoir ce qui se trame à l'intérieur de moi.
- « Mademoiselle, quand allez-vous vous décider à me répondre ? Et je vous prie de me regarder quand je vous parle ! » s'exclama-t'il en me levant le menton pour me forcer à croiser son regard.
Ses yeux émeraude me fixaient avec envie et tendresse.
Je ne savais pas quoi lui répondre mais je devais faire mon travail, jouer le jeu car il avait payé pour cela.
- «Je suis désolée monsieur le directeur, répondis-je. Oui le travail à été fait mais je n'ai pas eu le temps de le finir, un dossier reste à être trié... Excusez m-.
-Chhh ce n'est pas grave me coupa-t'il d'un doigt au travers de ma bouche. J'ai remarqué que ces derniers jours, vous paraissiez fatiguée, vous travaillez beaucoup pour moi et, l'autre jour, vous avez été parfaite. J'aimerais vous remercier et cette fois ci, vous donner du plaisir».
Il se rapprocha à nouveau de moi, caressa de son pouce mes lèvres et les recouvra des siennes. Ce baiser était fou, un comme je n'en avait jamais eu auparavant. Plus délicieux que notre premier. Il parcourait chaque millimètre de mes lèvres, les savouraient et je me crue au paradis.
Il défit sa cravate puis les boutons de sa chemise. Ses muscles me surprenaient toujours autant et il dû sûrement le remarquer car il esquissa sourire en voyant ma réaction.
Je commençais à me déshabiller à mon tour mais il m'arrêta et dit : - « laissez moi vous aider Nastasya »
Je me laissa faire et il ouvrir la fermeture éclair de ma robe décolletée. Quand ses doigts effleurèrent mon dos, je tressaillis. Il la fit tomber à terre et mit ses mains sur mes épaules nues pour descendre le long de mon dos et sur mes hanches.
Mon dos contre son torse, il s'approcha de mon oreille et me dit de sa voix chaude « Ce soir Nastasya, vous n'êtes plus ma secrétaire, vous êtes ma protégée. Je ne veux plus voir cette mine triste. Je veux vous faire gémir mon nom de plaisir, je veux vous avoir pour moi. Laissez vous faire mademoiselle... »
Doucement, il dégrafa mon soutient gorge et fit tomber mes sous-vêtements à mes pieds. Il me tourna de façon à être face à lui. Ses yeux rencontrèrent d'abord les miens, ils descendirent vers mes lèvres puis mes seins et mes hanches. Je devenais rouge comme une pivoine.
- « Cela vous gène-t'il que j'admire vos courbes ainsi ? » Me demanda-t'il.
Il comprit sans que j'ai à lui répondre et enleva lui aussi son boxer. Nous étions nus. Tous les deux corps à corps et je pouvais sentir sa fermeté contre moi.
Il posa ses mains sur mes hanches puis sur mes clavicules et remonta vers ma joue lentement. Son corps chaud contre le mien, je me sentais comme dans un cocon, à l'abri du reste du monde.
Il déposa quelques baisers tendres sur le haut de mon cou et je fermais les yeux.
Soudain il me souleva et je fus surprise mais je mis mes jambes autour de sa taille et mes bras autour de sa nuque. Ses mains fermes contre mes fesses et sa nudité réveillèrent en moi quelque chose que je n'avais encore jamais senti. Etait-ce de l'envie ? De l'excitation ?
Il me posa sur le lit et m'embrassa passionnément puis descendit à mes seins. Il caressa le bas de mon ventre avec ses doigts délicats tout en gardant sa bouche occupée. Ensuite, il leva la tête et me demanda :
- « Mademoiselle Nastasya, me laisseriez vous vous donner du plaisir autrement ? »
J'hochais la tête ne sachant pas vraiment ce qu'il avait prévu de faire mais je décida de me laisser faire, emportée par une vague d'excitation soudaine.
La main qui caressait le bas de mon ventre lentement descendis vers mon entre-jambe. Avec son majeur, il caressa mon clitoris et je frissonnais. De la chaleur se rependit dans mon bas ventre et ma respiration s'accéléra. Il fit des petits mouvements circulaires avec son doigt et je ressentis pour la première fois des picotements à cet endroit précis qui me firent lâcher des soupirs de plaisir.
- « Est-ce la première fois que on vous fait cela ? Me dit-il accélérant le rythme.
- Oui » répondis-je sur le point de gémir.
C'était si bon que je m'accrochais aux draps pour retenir le moment ou j'allais tout lâcher. Il s'arrêta quelques secondes pour m'embrasser mais dès qu'il eut finit je remis sa main en place, impatiente d'en recevoir plus. Il me regarda, sourit et continua.
Je n'en pouvais plus mais j'en voulais encore, ses doigts étaient magiques, c'était nouveau pour moi.
Un dernier aller retour suffit et je jouis comme je n'avais jamais jouis auparavant. Il captura mes lèvres des siennes et son corps contre le mien, je sentis qu'il était tout autant excité que moi.
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La secrétaire de Monsieur Adrik
RomanceNastasya Zaysteva est une jeune femme qui vit en Russie dans les années 1980. Aînée d'une famille nombreuse, ses parents perçoivent de très maigres revenus et la forcent à se prostituer pour aider la famille à vivre... Un jour où la clientèle se fut...