Chapitre 100

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De nombreuses heures de vol après nous voilà sur l'île paradisiaque des Maldives.

Emily : Wouah c'est magnifique.

Maya : Une semaine rien qu'avec la plus belle femme au monde.

Emily : Arrête de dire n'importe quoi.

Maya : Je n'aurais pas épousé une moche.

Emily : Tu es sérieuse.

Maya : Non ne pleure pas je rigole bae.
Emily : Tu peux prendre la valise à la place de raconté des bêtises.

Maya : Mais ce n'en est pas, aller donne la moi.

Nous prenons un taxi pour nous rendre à notre hôtel, je précise vu sur mer.

A peine installé, Maya a déjà envie d'aller à la plage.

Maya : Aller viens s'il te plaît promis je te laisse te reposer une fois à la plage.

Emily : non je préfère rester là il fait meilleur.

Maya : Pourquoi venir sur une île pour ne pas profiter de la plage.

Emily : Parce que.

Maya : Ta réponse cache quelque chose.

Emily : Il n'y a rien.

Maya : Viens par là.

A peine assise à côté de ma femme des larmes commence à monter.

Maya : Après il n'y a rien apparemment je te connais plus que tu ne veux le croire.

Emily : J'ai peur.

Maya : Mais peur de quoi.

Emily : Tu vas trouver ça débile.

Maya : Rien n'est débile tout a une raison.

Emily : J'ai peur que tu me trouves trop grosses en maillot, trop moche, trop tout.

Maya : Effectivement c'est débile comme penser, mais tu as le droit d'avoir peur mais tu n'as pas de raison. Je te l'ai encore dit tout à l'heure tu es magnifique.

Emily : J'ai grossi de partout.

Maya : Et mon amour c'est normal tu portes la vie, notre futur bébé. Depuis que tu es enceinte est-ce qu'une fois j'ai refusé de toucher ton corps ou mon regard à changer quand je te regarde.

Emily : Non.

Maya : Alors pourquoi, tu viens penser ça ?

Emily : Je ne sais pas les hormones.

Maya : Mouais on va mettre ça sur le dos des fichues hormones, tu veux faire quoi te reposer ici dans le lit avec des papouilles ou sur la plage.

Emily : Sur la plage avec des papouilles.

Maya : Alors va te changer que je puisse te mater et monter à tous le monde que tu es ma femme. Je vais en faire des jaloux.

Emily : C'est plus toi avec ton corps de rêve.

Maya : A mais c'est du travail tout ça, des heures à salle.

Emily : Je vais devenir pompier pour avoir le même corps.

Maya : Même pas en rêve, je te laisserais pas devenir pompier.

Emily : Un peu d'humeur, je suis bien moi infirmière.

Maya : Aller direction la plage. 

L'amour survenu des flammesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant