Le petit Guilio venait de rentrer de l'école. Et à peine avait il mis un pied dans l'immense domaine, que le jeune garçon s'était précipité vers le salon.Là ou son père lui avait promis une surprise de taille.
Aurelio le suivait de près, impatient de voir l'expression de son fils adoré.
Ce cadeau du ciel qui venait combler son bonheur depuis sept années maintenant.Et puis Julius s'immobilisa, les yeux écarquillaient et la bouche grande ouverte.
Sa mère le tenait dans les bras son cadeau. Cette surprise dont il rêvait depuis des mois.Un chiot. Un merveilleux labrador blottit dans les bras d'Alice.
Boulerversé de bonheur et intimidé, il resta cependant immobile, n'osant ni approcher ni y croire.Aurelio s'agenouilla près de lui en l'aidant à retirer le petit sac qu'il portait sur son dos.
— Tu peux aller le caressait Julius. Je te présente Cesare. Ton nouvel ami. L'invita son père.
Alice s'approcha alors avec lenteur pour ne pas forcer ce premier contact.
Et puis Cesare bondit des bras de la mère pour s'arréter au pied du jeune garçon.
Giulio caressa enfin son nouvel ami avec qui il s'apprétait à passer de belles et longues années d'amitié.
— Cesare come Giulio Cesare*? Demanda le petit en italien.
— Si. Come Giulio Cesare. Sourit son père en ébouriffant la chevelure brune de son fils.
Les parents observèrent leur fils s'éloignaient vers le jardin, le sourire aux lèvres.
Vivre dans cette maison qu'Alice avait pensé pour eux, était la plus belle expérience de leur vie.— Je suis comblé. S'émerveilla Aurelio en attrapant la main de sa femme pour y déposer un baisé.
— Et je le suis moi aussi. Confirma Alice avant que son mari l'attire tout contre lui.
— Voudrais-tu me combler d'avantage? S'enquit-il en capturant ses lèvres et en faisant glisser une main sous son chemiser.
— Dites moi Monsieur Giacobo. Répondit-elle avec malice.
— Suivez moi jusqu'à notre chambre et je vous direz tout. L'invitait son époux en la tirant par la main.
Un petit son cher à leur coeur les fit redescendre de leur petit nuage amoureux.
La douce voix de Serena.Leur petite fille âgée de six mois.
Celle qui avait scellé leur bonheur pour toujours.
— Remettons ça à plus tard. Promit Alice en se dirigeant vers le petit lit dans lequel sa fille était allongée.
Une adorable petite fille aux cheveux aussi ardents qu'étaient ceux de sa mère.
Aurelio observa son épouse s'éloigner.
Et puis il se murmura à lui même.
« Dio, tu as fait de moi l'homme le plus fortuné de ce bas monde. Et je ne parle pas de mes richesses ou de mes biens. Alice, Giulio et Serena sont les plus belles choses que je possède. Et je promet de leur offrir le meilleur jusqu'à mon dernier souffle et même après. »
*César comme Jules César?
Nous y voilà.
Encore une fin joyeuse et pleine d'espoir.
L'histoire se termine ici. Et cela grâce à vous et à votre soutien qui m'ont beaucoup motivé à écrire.
N'hésitez pas à me laisser un petit commentaire ici, pour partager votre avis. C'est toujours plaisant de vous lire.
Merci à tout ceux qui ont lu jusqu'ici.
Sans vos lectures, rien de tout ça ne serai possible.
Bien évidemment je reviens très vite avec une nouvelle histoire, si toutefois le coeur vous en dit.
Une idée me vient en tête.
J'aime beaucoup le personnage de Romeo et je pense l'introduire dans une romance avec un autre personnage féminin que vous connaissez ( si vous avez lu mes autres romances).
Qu'en pensez-vous?
Quoi qu'il en soit. Prenez soin de vous et à très vite.
Cactus Doux.
VOUS LISEZ
Un amour presque oublié
Любовные романыAlice est une jeune femme plus ou moins bien dans sa peau. Désespérée d'enfin trouver l'amour, le vrai, elle tombe sous le charme de son patron, un bel architecte qui ne semble pas s'intéresser à elle. Alice ne baisse pas les bras, et continue à e...