Chapitre 9 : Flagrant Délit

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Nous nous sommes réveillés tôt ce matin, les petits oiseaux chantants à l' extérieur.
Avec Benjamin on s' embrassait et on se faisait un câlin.
Je suis passer par le couloir ce matin là pour rejoindre ma chambre, il n' y avait personne dans les parages.

Je suis aller directement dans la chambre de mon frère.

Je suis aller directement dans la chambre de mon frère

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Antoine dormait encore à poing fermer. Je m' asseyais doucement au bord de son lit en le regardant dormir et je souriais.
Je mesurais la chance d' avoir un frère aussi gentil, généreux, drôle et aimant. Un grand frère parfait, celui que tout le monde rêverait d' avoir.

Je m' approcha de lui et lui disait tout doucement.

- Joyeux anniversaire mon Griz...

Je voulais être la première à lui souhaiter.

Il se réveilla tout doucement en me tendant ses bras. Il me faisait un gros câlin et un bisous sur la joue.

- Merci petite sœur. Je t' aime.

- Je t' aime aussi frangin.

On restait tout les deux un moment en mode câlin, en silence.
Puis, je décidais d' aller me préparer et de laisser Antoine se préparer aussi.
Il fallait aller prendre le petit déjeuner. Les garçons avaient entraînement de 9 heures à 11 heures.

Nous nous sommes installer à table pour déjeuner.
J' étais assise à côté de Benjamin.

J' étais en train de boire mon jus de fruit, lorsqu' Olivier nous disait.

- Dis donc vous deux !, quand vous jouer le soir, vous pourriez être un peu plus discret ?

Je recrachais mon jus de fruit. Olivier sur le moment ne comprenait pas, il n' avait rien dit d' extraordinaire.
Benjamin essayait de ne pas rire et je regardais Olivier.

- De quoi tu parle ?, lui demandais-je faussement naïve.

- Vos rires !, je vous ais entendus un moment avant que je m' endorme !

- Désolé !, c' était de la faute de Benjamin, dis-je en rigolant.

- C' était de ma faute aussi après ?, me dit-il discrètement.

Bien entendu, après, ce n' était pas des rires qui auraient pu déranger notre voisin, mais autre chose si vous voyez ce que je veux dire...
Je mis un coup de pied dans le tibia, doucement quand même à Benjamin. Il sautait sur sa chaise en essayant de ne pas rire.
Olivier n' en perdait pas une miette.
Je riais aussi, me cachant derrière ma serviette en papier.
Je fis un bisous à Ben, en mime derrière celle-ci.

Il souriait.

On prenais ensuite le petit déjeuner, en l' ayant vraiment échapper belle.
Olivier commençait à avoir encore plus de convictions que nous cachions quelque chose.

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