- ''Le véritable amour, c'est de rencontrer quelqu'un dont les démons jouent bien avec les tiens.''
Tu as toujours été d'une nature gentille et bienveillante.
Malgré l'horreur qui règne à Gotham, tu as toujours essayé de garder un sourire franc et s...
Le lendemain matin, tu te réveilles avec un mal de tête insupportable, tu te sens encore plus angoissée que la veille.
Tout de suite, un sentiment de vide t'envahit.
Quelque chose manque ou plutôt quelqu'un.
J n'est pas là.
Tu étais seule dans ce grand lit.
Après la nuit traumatisante que tu as vécue, il était ton seul pilier pour ne pas te remettre à pleurer et craquer.
-''J...'' Implores-tu.
Pas de réponse.
Tu sors du lit en tremblant, tu regardes autour de toi, mais personne.
Tu quittes la chambre pour emprunter le couloir qui mène au salon, tu marches avec la peur au ventre d'imaginer qu'il soit réellement parti.
Tu es accueilli par les rayons du soleil qui viennent te frapper au visage, puis...
Tu le vois.
Il était assis sur ta table basse, le regard fixé dans le vide, il semblait totalement perdu dans ces pensées, à tel point qu'il n'a pas remarqué ta présence tout de suite.
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-''J...'' Pleures-tu.
Il lève la tête immédiatement vers toi en écarquillant les yeux de surprise.
-''Poupée...'' Souffle-t-il.
Tu cours vers lui pour l'enlacer avec force.
-''J'ai cru que tu étais parti...'' Tu éclates en sanglots dans son cou, il referme ces bras autour toi, te rendant ton étreinte.
-''Je ne partirai jamais sans te prévenir, poupée.'' Dit-il en te caressant les cheveux.
Vous restez ainsi pendant plusieurs minutes, sans rien dire, vous contentant de vous serrer l'un contre l'autre, tes pleurs cessent peu à peu.
-''Tu as l'air encore plus abattue qu'hier soir.'' Finit-il par dire en se détachant légèrement de toi pour te regarder dans les yeux.
Tu détournes le regard, incapable de soutenir son regard.
-''Je ne sais pas comment faire pour oublier ce qui s'est passé...'' Dis-tu d'une voix tremblante.
-''Oublier ?'' Répète-t-il, d'un air surpris.
Il fronce les sourcils, semblant surpris par ta réponse.
-''Tu ne peux pas oublier, tu dois accepter, c'était lui ou toi et tu le sais très bien.'' Ajoute-t-il.
-''Je sais, mais ça ne me rend pas la situation plus facile à accepter.'' Dis-tu en essayant de retenir tes larmes à nouveau.
Il reste silencieux un instant, semblant réfléchir à quelque chose.
