DEADLY TENSION 💣💥 TOME 1 (NEW ADULTE )

CHAPITRE 13. Cohabitation forcée

Seul la peau sépare l'amour et l'amitié, c'est mince.
( Eric-Emmanuel Schmitt )

◇ Aaron ◇

Appartement de Kate Luna.

Je pénètre dans la pièce qui est maintenant plongée dans un silence de mort, cela fait plus de trois heures que j'ai déposé Kate Luna chez cet homme. Cela me rend dingue de la savoir tout prêt de lui, je sais qu'il lui plaît, qu'elle a envie de lui, et ce qui me fait le plus rager, c'est que s'il le touche elle ne le repoussera pas. Je bouillonne de rage, je laisse mes pieds me mener jusqu'à sa chambre, son odeur imprègne toujours l'air, je regarde sa chambre de princesse, puis me dirige vers son dressing, je visionne tout, ses habilles, ses milliers de parfums, ses sandales, cuissardes, tongs, ses cinq paires de baskets que je lui ai moi-même offerts, et qu'elle n'a mis qu'une seule fois, elle ne les aime pas, mais qu'est-ce qu'elle ne ferait pas pour son meilleur pote ?! Meilleur pote mon cul...

Je souffle exaspéré par cette situation qui me dépasse de plus en plus et qui me tue.

Je me dirige vers sa commode puis ouvre le premier tiroir qui est rempli de ses soutiens-gorge, j'en attrape une et hume son odeur, je peux nettement sentir mon sexe qui, lui, commence à prendre de l'ampleur. Rose, elle adore le rose. Et putain, elle lui va à merveille. Je remets celui-ci à sa place pour ouvrir le deuxième qui est rempli de ses petites culottes, il y en a tellement qu'elle ne remarque jamais quand il en manque. J'exécute le même geste et souffle d'excitation, j'adore ses lingeries, je me touche en pensant à elle. Je sors mon engin de mon caleçon et commence à me caresser, doucement, putain... j'en attrape une autre, rouge... rouge... rouge, j'aime cette couleur mais elle, elle la déteste et je la comprend, mais je ne peux m'empêcher de l'aimer, c'est pourquoi je lui offre toujours des vêtements et des lingeries de cette couleur. Je me branle de plus en plus vite et putain que c'est bon, je continue de humer son odeur en me masturbant, j'imagine qu'elle est juste devant moi, appuyée contre sa commode les fesses à l'air et moi derrière elle la prenant en levrette. Ses gémissement de plaisir arrivent jusqu'à mon oreille, sa voix douce remplie d'une note sensuelle me suppliant d'aller plus vite, je ne me fais pas du tout prier et exauce sans attendre son vœu en allant de plus en plus vite. Je ne veux pas non plus la faire mal mais il faut bien que je la satisfait. ses miaulement me font comprendre qu'elle n'est pas très loin d'atteindre l'extase, donc, je continue d'induire sauvagement ma bite dans sa petite chatte serrée et luissante. Je gémis à mon tour quand l'orgasme se déclenche, je répends ma semence sur son tapis rose hello kitty en imaginant que je venais de jouir à l'intérieur d'elle, je souffle d'agacement en contemplant les dégâts que je venais moi-même de causer, dans le fond je me sens comme un psychopathe. Qu'est-ce que j'ai fait... bordel de chiottes.

J'essuye ma merde sur son tapis et remet la culotte à sa place, je regarde sa commode et putain, c'est une vraie petite obsédée de parfums celle-là, elle en a tellement que je ne pourrais en compter, je prends un de ses T-shirt sur lequel est gravé le mot Barbie. Barbie... c'est une vraie petite Barbie, et moi je suis son Ken. J'ajoute un peu de parfum dessus ensuite retourne jusqu'à sa chambre, je referme la porte après être sorti, enlève mes baskets et mes chaussettes puis fais passer mon T-shirt par ma tête  et m'allonge sur le dos dans son fauteuil, je suis là, dans le noir, comme un idiot sur le canapé d'une fille qui me plaît et qui plus est ma meilleure amie... tu parles. Je souffle un bon coup puis ferme les yeux en human son odeur agréablement bonne. Je ferme les yeux en l'imaginant couchée sur moi et laisse ses bras et son odeur vanillée m'emmèner au pays des rêves.