Agent 001- tome 1

Chapitre 12

Dax

Je cherche du regard Asena, je me suis préparé du mieux que je pouvais et j'avais accueilli toute ma mafia italienne même mon frère.

Il est 22h quand j'ai finis de jouer les hypocrites et que j'ai fait le tour de la salle, je la trouve assise sur une chaise du bar.

Elle est magnifique dans sa robe noire et ses cheveux brun son pratiquement coiffée.

J'observe son tatouage: 001 sur son épaule gauche et je sens mon cœur s'alléger rien qu'à sa vue.

Une tête s'approche d'elle et mon rythme cardiaque s'accélère, j'observe l'intrus en question.

Je rêve pas.

Cet enculer l'embrasse à ma place.

Elle pose sa main sur sa mâchoire ou son tatouage de serpent se termine.

Je vais le tuer.

Mon verre éclate dans ma main et ça fait assez de bruit pour stopper leur union rapidement.

Je tourne les talons et décide de me planquer dans mon bureau.

J'en ai assez vu pour ne pas à les voir s'envoyer en l'air alors que ça devrait être moi, pas lui.

Je m'affale sur ma chaise de bureau et pose mes jambes sur mon bureau, mon nœux de cravate est défait à la vas vite et je regarde mon téléphone pour tenter de me calmer, en vain.

La colère monte en moi.

Pourquoi ce putain de connard l'embrasse à ma place.

C'était censé être moi ce soir, pas lui.

Je grogne si bruyamment que je n'entends la porte s'ouvrir lentement, pour y dessiner une silhouette dans l'ombre.

Cette silhouette est fine à l'air élégant.

Mon cœur se pince.

- Dax. M'appela alors cette personne a une voix poser mais déterminée.

Je ne réponds rien, j'essaye d'associer cette voix a quelqu'un.

C'est une voix féminine mais pourtant si vaste, elle ressemble à tant de gens en même temps.

- Dax. Résonne la voix qui me semble plus proche.

Je grogne une nouvelle fois en allumant ma lampe de bureau pour laisser le visage de la personne à découvert.

- Tu te fou de ma gueule Asena. Fis-je froidement.

- Absolument pas qu'est-ce qu'il y a ?!

- Qu'est-ce qu'il y a ? C'est ça ta question ? Tout simplement parce que je viens de te voir embrasser mon frère devant moi !

- Et alors ! J'étais bourrée et même pas consciente, de plus je ne t'appartiens pas !

- C'est sur, je privatise pas les prostituées.

Elle se crispe alors que je saisit mon téléphone pour clore la discussion, j'entends ses talons venir vers moi et elle s'appuie contre le bureau.

Je l'a sens brûlante.

- Alors tu ne vois qu'en moi une pute ?

Je ne réponds pas, je ne pensais même pas se que je disais.

Mon téléphone est arraché de mes mains et lorsque je pose mon regard sur elle elle m'observe, ses yeux de glace me transperçant la peau.

Mes yeux dérive le long de ses épaules et de la dentelles au niveau de sa poitrine.