29 : Première fois

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Sebastien :

Nous sortons de l'ascenseur et commençons à monter les quelque marches qui mène à son appartement. Elle marche devant moi pied nue après avoir enlever ces chaussures à talon dans le Uber.
Lana tourne la tête vers moi puis me sourit.
- Stop.
Elle s'arrête et ce tourne vers moi en fronçant les sourcils.
Je l'attrape par la taille et la porte en princesse.
- Je suis capable de marché.
- Je sais.
- Pose moi alors.
- Non.
Elle marmonne mécontente ce qui me fait rire.
Devant la porte de son appartement je la repose au sol, elle lève les yeux au ciel lorsque je lui fait une révérence.
Elle sort son trousseau de clé de son sac et ouvre la porte.
Je retrouve l'appartement dans le quel j'étais il y'a quelque jours dans le noir avec une seule petite lumière tamisée.

Lana allume la grande lumière, la première choses que je vois ces Snickers allonger sur le canapé entrain de ronfler.
- Il et trop mignon.. dit Lana d'une voix douce
Je me tourne vers elle alors qu'elle pose ces affaire dans une penderie.
- Tu veux quelque choses à boire ? Me demande t'elle
- Non, merci.
Elle s'approche du frigo et sort une bouteille d'eau en prend deux gorgée puis me prend de surprise lorsqu'elle saute littéralement sur moi.
Je la porte t'elle un bébé, ces jambes autour de ma taille alors que ces mains caresse mes cheveux rasé.
- Tu n'est pas lourde.
- Mince, moi qui voulais te casser le dos ou un truc du genre.
Elle redescend pour retourner vers l'endroit où elle a laisser ça bouteille d'eau. Mais je l'attrape par le bras et je la tire vers moi.
- Je veux t'embrasser.
- Depuis quand tu me demande la permission.
- C'était pas une question, mais un ordre.
- Oh tu me donne des ordres maintenant ?
- Avec toi il faut bien que je m'affirme.
- Tu te rebelle monsieur Marchal ?
Cette fille me rend dingue bordel.
Je m'approche doucement d'elle alors qu'elle recule de plus en plus jusqu'à cogne son dos contre la cuisine. Je mes mais mains sous ses aisselles pour la soulever et l'assoir sur le plan de travail de la cuisine.
- Tu et au courant que tu me rend fou ?
- Je devrais t'envoyer en hôpital psychiatrique alors.
- À Condition que tu me suive.
Elle fait semblant de réfléchir en tapant son index sur son menton.
- J'accepterai peut être.
- Peut être ?
- Fait moi l'amour ici, ce soir, et je te suivrais n'importe où.
Je ne répond pas, car une demi seconde après ça phrase je fond sur ça bouche si parfaite.
Nous sommes tout les deux en ébullition, j'ai l'impression que tout les chauffages font exploser dans cet appartement.
Je m'attaque à son cou sans ménagement.
Elle gémi mon prénom, mais lorsque je prend le courage d'arracher ça robe chemise dont tout les boutons ce retrouve un peut partout dans l'appartement, un sursaut lui prend.
- C'était ma préférée.
- Ça ce répare. Dis je en m'attaquant maintenant à ça poitrine.
Je retire son soutien gorge qui dévoile ces téton bien pointu et rosé.
- Tu tien au collant ?
Elle jete un coup d'œil dessus puis elle secoue la tête de gauche à droite.
- Parfait.
Je m'empresse donc de l'arracher lui aussi, elle ce retrouve simplement en culotte face à moi.
A mon tour je retire ma chemise et je la balance derrière moi, alors que je m'apprête à ouvrir la braguette de mon jean elle m'interrompt.
- Pourquoi je n'avais pas le droit d'arracher ta chemise moi aussi ?
- Tu aurais réussi ?
- Bien sur ! Tu me prend pour qui ?
- La prochaine fois tu pourra.
Elle sourit puis attrape mes lèvres avec les siennes.
Une fois en caleçon devant elle, j'attrape ces jambes que j'enroule autour de ma taille et je l'emmène dans la chambre.

Je nous balance dans le lit, elle éclate de rire en ce redressant.
Son corps dénudé et a moi entier, je passe mes doigt sur le tissus de ça culotte puis je la retire.
J'embrasse chaque recoin de son corps jusqu'au oreille.
Ces petite mains froide s'attaque à mon caleçon, je l'aide à me le retirer, nous nous retrouvons alors nue comme des asticots.
Peau contre peau.
- Sebastien attend...
Je remonte les yeux vers elle.
- Je.. enfin tu sais que j'ai jamais-
- Je sais, tu veux que j'arrête ?
- Non, je veux le faire... j'ai un peu peur..
- Ça va aller, je serais doux et si tu veux que j'arrête tu n'aura qu'à me le dire.
- Ok.
Je la vois déglutir je m'empresse de la détendre en l'embrassant doucement.
En douceur je mène ma mains droite à ça partie intimes.
Je masse doucement son clitoris en cercle, elle gémis.
Puis tout en douceur j'entre un doigt en elle.
La dernière fois nous avions fait la même choses, je veux juste m'assurer qu'elle n'est pas mal.
Alors que je continue mes vas et viens en elle, je rajoute un doigt.
- Sebastien...
- Tout va bien ?
- Ces... ces parfait..
Je sourit en la voyant ce détendre, avec le peu de lumière dans la chambre je ne vois pas, mais j'en suis presque sure qu'elle saigne légèrement.
- Tu aimes ?
Elle répond par un gémissement.
Je retire alors doucement mes doigts, puis j'attrape le préservatif que j'avais poser sur le lit, je l'enfile devant elle.
Je la vois me contempler.
- Sebastien.. ces.. enfin, ces pas trop gros ?
Alors que son regard inquiet me scrute j'explose de rire.
- Arrête de te moquer.
- Désolé, mais tes trop belle quand t'es inquiète.
- Rassure moi au lieu de rire imbécile.
- Ne t'en fait pas. Je l'embrasse. Tu verra que ça sera bon.. et oui ça va rentrer.
Je glisse deux doigt en elle, elle et tremper.
- Vue comme tu mouille, je ne m'inquiète pas.
Elle affiche un petit sourire en coins, je l'embrasse langoureusement encore et encore.

J'attrape mon sexe du bout des doigt, je commence d'abord par caresser doucement son clitoris avec mon gland.
Puis, je m'insère en elle.
Doucement, je m'insère de plus en plus,
- Ça va ?
Elle hoche simplement la tête.
- Respire bien.
Je compte dans ma tête 1,2,3 et je lui donne un coup de rein.
Je vois ces yeux ce fermer, ça bouche entrouverte me souffle son haleine mentholée au visage.
Elle bouge sous moi, elle en veux plus, je lui donne plusieurs coup de rein un après l'autre.
- Tu n'a pas mal ?
- Non, ces très bon.
Je sourit ravi de lui faire ce bien.
- Va y, fort Sebastien.
Je ne me gêne pas à lui faire l'amour comme il ce doit.
Cette fille mérite tout.
Le bonheur, le plaisir, une vie rempli de joie.
Alors que je continue à bouger en elle, je la sens ce crispé, elle crie mon prénom en s'accrochant à mon dos qu'elle a griffé.
Elle vient d'avoir son premier orgasme,
Quelque seconde après elle, je jouit.
Nous nous séparons l'un de l'autre. Je me lève et jete le préservatif dans la poubelle de la salle de bain et je la retrouve.
Allonger sur le dos les yeux vers le plafond.
- Tu va bien ?
Elle ce tourne vers moi en souriant
- Tout et parfait maintenant.

Ne m'empêche pas de t'aimer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant