Mon père distribue la même sommes de jeton à chacun, puis il attrape le paquet de carte et les mélanges.
Son regard et concentre sur les carte qui s'entrechoquent, je le regarde en souriant
- Papa, tu et trop confiant pour quelqu'un qui va perdre..
Luca a ma droite explose de rire.
- Mec, j'te jure que si je n'aurais pas était gay, j'aurais épouser ta fille.
Je rigole tandis que mon père fusille son ami du regard.
- Ouais, mais tu et gay, alors ferme la.
- D'ailleurs poupée ? Je t'es pas demandé, tu a un .. mec ?
Mon père arrête de mélanger les carte qu'il tien dans ces mains et me fixe en attendant que je réponde.
- Bon on la commence cette partie. Dis je en ignorant la question de Luca.
- Oh, ça, ça veut tout dire.
- Ça ne veut rien dire du tout, Luca.
- Tu a un petit copain ?
Mon père pose cette question tout en me fixant les sourcils froncer.
Tout les regard sont poser sur moi, Sarah ricane dans son coin, alors que les 4 hommes me fixe.
- Non, je n'ai pas de petit copain, papa.
Il hoche la tête en me souriant.
- Et bien je t'en trouverai un pendant ces vacances.
Déclare Luca
J'explose de rire et me lève de mon siège pour attraper un coca cola dans la glacière remplis de glace.
- Non, merci Luca évite de me caser avec le premier venue, aller on a assez parler de ma vie amoureuse pour l'instant, Jouons !Les partis de Poker ce suivent.
Sarah et Pascal nous on abandonné et sont aller ce coucher, tandis que Luca lui a arrêter de jouer mais nous regarde toujours.
Il ne reste plus que Papa, Sébastien et moi.
Je pose mes cartes sur la table et dévoile ma couleur de trèfle.
- C'est pas vrai. Dit mon père en soufflant.
Il dévoilent ces carte à son tour, il n'a seulement qu'une paire de roi, malheureusement pas assez forte que ma couleur.
J'explose de rire alors que lui et très énervé.
J'adore le voir comme ça, c'est un mauvais perdant et moi aussi d'ailleurs, mais heureusement je gagne toujours.
- Seb, je t'en supplie fait perdre ma fille.
- Papa !
Sébastien explose de rire, il plonge ces yeux dans les miens et me sourit malicieusement.
- Mon cher ami, regarde bien comment je vais te venger.
Il pose ces cartes sur la table et dévoilent son jeu.
Purée de pomme de terre !!
Sébastien viens de me faire perdre avec une putain de quinte flush.
Mon père ce lève et saute sur place, lui et son ami ce Tchèque en rigolant.
Je reste abasourdi face à ce spectacle.
Je suis dégoûté, je bat toujours les gens avec qui je joue, mais pas aujourd'hui.
Monsieur pro du Poker, me regarde en me souriant.
- Je te trouvais trop confiante pour quelqu'un qui aller perdre. Dit t'il en reprenant mes mots.
Je me lève de ma chaises il me suit du regard, je me place devant lui et lui tend la main pour la serrer.
- Bien jouer, tu a sauver l'honneur de ton ami, félicitations.
Il me serre la main, ça poignée et forte la force qu'il exerce me fait blanchir la main.
Nous nous sourions et lâchons nos main, mon père passe son bras autour de mes épaules et me serre.
- Apres cette belle victoire, on va ce coucher hein?
- Oui, je suis épuisée.
Luca range la manette de poker de son frère, et nous rentrons, chacun rentre dans ça chambre après nous avoir souhaité une bonne nuit.
Je me jette dans mon lit sans même me couvrir avec la chaleur qu'il fait c'est mieux comme ça.
Et je m'endort directement.Le lendemain après midi, je décide d'aller me promener en ville histoire de visiter un peu.
J'enfile une robe verte avec des baskets blanche.
En descendant les escaliers je croise Luca.
- Salut Ken.
- Poupée.. dit t'il pour me saluer
- Je vais visiter la ville, tu veux venir ?
- Non merci, je vais faire une sieste j'ai une migraine de fou.
- Oh, ok, repose toi bien.
Il embrasse ma chevelure et part dans ça chambre.
Lorsque j'arrive dans la cuisine, la seul personne présente et le maître du Poker qui ma fait perdre hier soir.
- Bonjour.
Il regarde au dessus de son épaule quand il me voit il pivote vers moi.
- Salut, bien dormi?
- Ouais, et toi ?
Il prend une bouchée de céréales en hochant la tête de haut en bas.
- Il y'a du café ?
- Oui, ici.
- Super.
Je marche dans la cuisine et attrape une tasse puis je fait couler du café chaud à l'intérieur, je boit une gorgée en fermant les yeux.
- Tu n'ajoute rien dans ton café ?
Je rouvre les yeux en entendant ça voix masculine.
- Oh, non, je le préfère noir.
Il fronce les sourcils et s'installe sur un tabouret face à moi, en m'observant.
- Le café c'est délicieux, j'ai l'impression qu'en ajoutant du lait ou du sucre, et bien ça gâche tout le bon goût du café.
Il ne dit rien et continue de me fixer, je me met à rire face à son regard.
- Quoi ? Lui demande je
- Rien, disons que je n'avais jamais penser à ça et .. maintenant que tu le dit je trouve que tu a raison.
- J'ai souvent raison.
- Hier tu avais tord, en disant que tu allais gagner.
- Je peu toujours prendre ma vengeance.
- J'attend que ça.
Encore une fois son sourire en coin, nous restons là moi debout à moins d'un mètre de lui, ma tasse à café en mains.
Lui assis sur le tabouret à me fixer avec ce sourire qui me fait craquer.
- Bonjour ma chérie.
J'arrête mon jeu de regard avec Sébastien et croise celui de mon père qui arrive dans la cuisine.
- Salut Seb.
- Salut.
- Bonjour papa, tu tombe bien, je voulais visiter la ville cette après midi, ça te dit de m'accompagner ?
- Désolé ma puce, je dois passer des coups de fil au gars des chantier cette après-midi, mais demain on ira à la plage.
Il embrasse ma tempe avant d'attraper une banane et de quitter la cuisine.
- Bon bah je vais y aller.
Je rince ma tasse et la pose sur le porte vaisselle.
- Je peu t'accompagner si tu veux.
Je tourne la tête vers lui en hochant la tête
- Je veux pas t'embêter je-
- Tu ne m'embête pas, en fait ça me feras du bien de marcher un peu.
Un grand sourire vient illuminé mon visage.
- Ok, allons y alors.
Il ce lève rince à son tour son bol, puis nous sortons de la maison et marchons vers la ville.
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Ne m'empêche pas de t'aimer
RomanceL'amour et beau, l'amour sincère et beau, l'amour a sens unique et horrible, mais.. qu'est ce que je connais a l'amour ? Pour l'instant, rien. En fessant la connaissance de Sébastien, je fessait aussi la connaissance de l'amour mais aussi de toutes...