XIX

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Il incarnait la perfection à son apogée. Son visage, sculpté avec une précision exquise, est une symphonie de masculinité et de mystère. Ses yeux perçants, d'un bleu profond, captivaient les âmes qui s'y plongeaient, révélant une intensité troublante. Chacun de ses regards était un voyage dans l'abysse de l'âme, où se mêlent la force et la vulnérabilité.

Sa chevelure sombre, soigneusement coiffée, encadrait son visage tel un cadre précieux. Chaque mèche semblait être placée avec une attention méticuleuse, ajoutant une aura de sophistication et de distinction à son charme magnétique. Ses sourcils bien dessinés soulignaient ses yeux perçants, exprimant une intensité magnétique impossible à ignorer.

    Son allure était celle d'un homme d'une prestance indéniable. Sa silhouette altière, sa démarche confiante, témoignent de sa force intérieure et de son assurance inébranlable. Chaque mouvement était empreint d'une grâce naturelle, évoquant une danse envoûtante qui ensorcelle les regards.

Les mains de cet homme mystérieux tenant un verre de whisky, à la fois fortes et douces, sont une extension de son charme magnétique. Elles semblaient capables de tout accomplir, que ce soit détenir le pouvoir ou caresser avec tendresse. Chaque contact, chaque effleurement, était chargé d'une électricité romantique qui faisait frissonner les sens indomptables et éveille les désirs les plus profonds de Kathleen.

Sa silhouette était celle d'un homme à la stature imposante, d'une élégance naturelle. Ses épaules larges et sa posture droite exprimaient une assurance innée, témoignant de sa présence dominante. Chacun de ses mouvements était empreint d'une grâce mesurée, comme s'il dansait au rythme d'une flamme intérieure.

La mâchoire carrée de l'homme évoquait la force et l'assurance. Elle semblait ornée d'une légère barbe de quelques jours, ajoutant une touche de virilité et de charme à son allure déjà captivante. Kathleen suivit l'homme du regard, le regardant s'engouffrer derrière la petite fenêtre qui le reliait au reste du bar, un dernier éclat de son rire la fit se reveiller, elle s'adressa alors au barman.

- Si on vous demande, répondez que vous ne savez pas "

     Sur ce, le barman partit, laissant Kathleen surprise buvant son verre  de whisky. Elle avait quand même quelques soupçons quant à l'identité de  cet homme, mais elle préférait se renseigner par elle-même. Un homme  d'âge moyen, les cheveux poivrés, l'interpella :

- " Le téléphone sonne pour vous, il me semble.

    Elle  se leva alors et le suivit à travers le pub, en fronçant les sourcils.  Elle prit le téléphone et le porta à son oreille. Elle n'entendit  d'abord que de faibles halètements rapides et familiers. Ces  respirations semblaient masculines et bestiales, Kathleen murmura " Bonjour. " d'un air agacé et rempli d'assurance. Une voix familière prit alors la parole d'un air agressif :

- " Kath ? Putain, t'es où ?

- Ne fait pas semblant, tu veux ?

- Dis moi où t'es. Je peux toujours envoyer Campbell te chercher.

- Robert, tu perds ton temps. "

     L'appel était réellement bruyant : les respirations erratiques de  Robert et les bruits de ferrailles, de cris et de machines complétaient  les quelques blancs tendus qui pouvaient subsister. Kathleen dû avouer  que sa curiosité l'alerait, mais elle n'en fit rien. Elle attendit un  moment que Robert reprenne la parole mais après quelques longues  secondes épineuses, un long " Biiip... " l'averti que l'appel avait pris fin.

     Elle n'eut cela dit pas le temps de raccrocher le combiné qu'elle dû  décrocher un nouvel appel. Ca n'était pas la voix de Robert, mais elle  reconnut celle d'un de ces employés, il semblait paniqué et très anxieux

- " Madame Clark ?! Est-ce vrai que l'usine ferme ?!

Kath's Brandy Company - Peaky BlindersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant