Marco

38 2 0
                                    

Milano, dans ma chambre, 02h20

Je veux qu'elle reste, je la veux dans mes bras, j'ai envie d'elle. Elle se retourne pour quitter ma chambre.
- Lucia attends !
Elle se fige puis me regarde d'un air interrogateur.
- Passe la nuit avec moi, s'il te plaît.
Elle me sourit, ce qui a le don de me faire fondre. Je commence à me lever pour l'accueillir.
- Reste au lit, j'arrive.
Elle prends un t-shirt posé sur ma commode, commence à se déshabiller. Je ne peux pas quitter son corps regard. Elle est une œuvre d'art, je ne peux que la regarder. Son corps est divin. Une vraie déesse. Je ne remarque même pas qu'elle me sourit. Elle laisse tomber mon t-shirt, je lève les yeux vers elle d'un air perplexe. Elle s'approche de moi, puis elle plaque sa bouche sur la mienne. Sa bouche a toujours le même goût de sucre et de vin blanc. Nos mains caressent nos corps et bordel, qu'est c'est bon. Je lui retire son soutien-gorge, léchant un sein, puis l'autre. Sa respiration s'accélère. Elle se met à califourchon sur moi, je peux mieux la contempler. Elle se frotte contre moi pendant que nos langues s'entremêlent. Elle me lèche de mon torse à mon bas ventre. Elle caresse mon érection à travers mon caleçon, mon corps frissonne à son contact que j'attendais avec impatience. Elle fait glisser mon boxer et commence à me sucer. C'est une explosion à l'intérieur de moi, un volcan en éruption. Ses lèvres s'arrêtent sur mon gland, elle me lèche, puis reprends. Elle varie sa vitesse, puis elle commence a me branler en même temps. Ses va-et-vient sont de plus en plus rapide et de plus en plus loin. Bordel ce que c'est bon. Je veux a mon tour lui faire plaisir.
- Laisse moi te goûter...Lucia.
Elle retire sa bouche de mon membre et acquiesce. Elle jette son sous-vêtement à l'autre
bout du lit. Je l'allonge sous moi puis glisse jusqu'à sa fente, je lui enfonce d'abord un doigt, puis un deuxième, elle respire fort. Lorsque je commence à la lécher, je m'arrête d'abord sur son clitoris où j'effectue plusieurs coups de langue avant de m'enfoncer en elle avec cette dernière, elle gémit, elle mets sa main sur sa bouche, mais bordel je veux l'entendre gémir.
- Retire ta main Lulu, je veux...t'entendre gémir mon nom.
Ses gémissements se font de plus en plus bruyants et qu'est ce que ça m'excite...
- Coco, je te veux en moi... S'il te plaît...
Je m'exécute et la pénètre doucement. Elle est toute chaude et toute mouillée, c'est tellement bon à l'intérieur d'elle. Mes coups de reins sont de plus en plus claquants, beaucoup plus saccadés. Je gémis à mon tour, pas aussi fort qu'elle. Je n'avais jamais éprouvé ça auparavant, je pourrais goûter à ce plaisir tous les jours de ma vie si je le pouvais. Nous atteignons l'orgasme presque en même temps. Nous nous mettons sur le dos, côte à côte, face au plafond, tous les deux à bout de souffle.

- Bordel Coco, c'était...
- Incroyable.
Elle blottit contre moi, complètement nue, je lui caresse le dos pendant qu'elle est allongé sur moi.
- Je ne te fais pas mal Marco ?
- Pas du tout.
Je pose un doux baiser sur son front et la caresse jusqu'à ce qu'elle s'endorme, je la suis en m'endormant à mon tour. C'est l'une de mes premières nuits que j'ai faite complète depuis l'événement avec le père de Lucia.

Omertà Où les histoires vivent. Découvrez maintenant