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14h29, centre culturel,

J'explose en larmes assis sur ce banc, qu'allais-je bien pouvoir faire ? J'ai plus de stage, l'école me déteste et essaye de me dégager, j'ignore ce que j'ai fait pour mériter tout ça, soudainement je me redressai en sentant une main sur mon épaule. Le même homme que tout a l'heure était accroupi face à moi, il me sourit avant de prendre parole.

"Es-ce que ça va ? Tu veux me dire ce qui va pas ? On se connait pas... si ça peut t'aider.

-C'est juste la merde.

-Comment ça ?

-Au lycée, tout le monde me déteste, tout le monde m'insulte et me frappe, même les enseignants me détestent, et je viens de me faire virer de mon stage...

-Tout ça, faudrait que ça s'arrête, dit-il en me direction, je peux juste te proposer d'en parler calmement avec tes parents.

-Oui, déclarais-je en reniflant.

-Je te raccompagne, propose t'il alors.

-Je vais prendre le bus, répondis-je gêné.

-Aller viens ce n'est rien."

Je fini alors par accepter et le suivre timidement jusqu'a sa voiture, on s'installa alors dans une voiture noir luxueuse, il demarra apres que j'eu donner mon adresse et il debuta une conversations aussitot.

"Tu t'appelles comment ?

-Axel, répondis-je perplexe.

-D'accord Axel moi c'est Elias, et quel âge as-tu ?

-J'ai eu quinze ans en décembre, et vous ?

-J'ai eu vingt ans en janvier, tutoie moi d'ailleurs.

-C'est intimidant, avouais-je.

-Ca n'a pas lieu d'être."

Je lui souris avant de remarquer que l'on était arrivé, je retenu une plainte, je lui souris de nouveau en ouvrant la portière et il m'interpelle.

"Donne moi des nouvelles.

-C'est promis !"

Et la portière se ferma après ses mots, je me dirigea vers la maison en regardant la voiture partir du coin de l'oeil, j'ouvris la maison précédemment fermer a clefs car personne n'était là, je monta les marches et me stoppa devant la porte de ma chambre, je jette un coup d'oeil la pièce voisine, cette porte du milieu...

A l'étage il y avait seulement trois portes, trois pièces, trois pièces qui était rattaché à une salle de bain, même ce bureau..., une grosse migraine m'envahissait soudainement, je me revois a douze ans dans l'entrebâillement de ma porte.

"Tout va bien se passer mon coeur, je reviens vite je te le promets, tout va bien se passer d'accord ? Je t'expliquerai quand je rentrerai chéri.

-Grand frère, l'interpeller-je alors qu'il allait se relever, j'ai entendu papa et maman discuter... moi je m'en fiche si tu aime les garçons, dis-je d'une petite voix.

-Merci..., dit-il avant de me faire un légers bisous sur la joue.

-Dégage de la, tu va le contaminer, hurle à son tour ma mère qui venait d'arriver derrière mon dos."

Il m'avait promis de revenir après cette année que papa et maman lui avait infligée, seulement arriver en Mai deux-mil-vingt-deux, personne, on as été le chercher et il a pris la décision de partir sans m'attendre... j'ai longuement gardé l'espoir qu'il revienne me chercher, mais aujourd'hui nous sommes rendus en février deux-mil-vingt-six, j'ai bientôt seize ans... et je compte encore les mois dans l'espoir qu'il vienne me chercher..., mais il ne le ferra jamais.

Peace is not forgivenessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant