Peace is not forgiveness

3

15h27, Villa forestiere,

Un mal de crâne me prenait, j'ouvris lentement les yeux, était-ce ça le paradis ? J'étais légèrement redressé sur un lit entouré de plantes de partout, c'est la chambre dont j'avais toujours rêvé, c'est comme si quelqu'un avait tellement fait de recherche sur moi qu'il avait décorer cette chambre comme si je l'avais. Je devais être mort, je trouve malgré tout une porte qui donnait vers l'extérieur, elle donnait sur un grand balcon, j'avance sur cette espèce de pont, j'étais visiblement en hauteur, il me sembla apercevoir une serre, je regarda a ma droite, un autre pont était la, sauf que ce balcon s'arrêter bien plus tôt et finissez en escalier. Quand moi je continuer ma route en rentrant dans la grande serre en verre, c'était tout bonnement le paradis, je descends alors les escalier en colimaçon, je regardais avec passion toutes les plantes autour, je me promenais la dedans, je me sentais comme arrêter, les allées paisible en verre qui laissait un aperçu de la maison vieille de l'extérieur.

Il y avait même une piscine, entourée elle aussi de plantes, je me sentais couper du monde, j'ignorais toutes les questions que je pouvais me poser, ou étais-je ? Qui m'avait emmené là ? Pourquoi étais-je vivant ? Quand est-ce que je me mutilais de nouveau ? Quand est-ce que je me tuerais une bonne fois pour toute ?

Non.

J'étais juste couper du temps, je me releva soudainement, j'eu cru apercevoir quelqu'un, je devenais probablement fou, pensais-je en me rasseyant, j'étais dans ma bulle et j'etait bien comme ca, cela me suffisait, même si j'ignorais encore ou je me trouvais, et cela ne semblaient pas me deranger, pas tant que je me sentais apaiser. Je me redressais afin de marcher tranquillement une nouvelle fois dans les allées, je ne semblait pas me lasser, et je ne semblait jamais le faire, j'espère sincèrement que le paradis c'etait ca pour passer le restant de mes jours ici, j'étais juste dans mon cocon, je voulais venir ici dès que j'en avais besoin. Peut-être était-ce ici que l'ont choisira si je suis ange ou démon, je commençais à me poser mil et une question sur ce lieux, mais aucune d'entre elles semblait me déranger, elle fusait dans mon esprit aussi vites qu'elles repartent, cela était loin d'être désagréable enfaite, pour une fois que je ne me sentais pas envahi, pour une fois que je me sentais respirer, et je me sentais assez bien pour rentrer, je sentais juste que j'avais besoin de remonter.

Je me réinstaller sur le lit qui semblait avoir été étrangement fait, je remarqua deux meubles remplis d'affaire à dessins, je ne m'attarda pas davantage sur ces deux meubles à roulette, cependant j'attrape un carnet et un crayons, je dessine de longues minutes, je suis tranquille avec mon crayons, je ne pensais rien et malgré tout je sentais mes nerfs redescendre, l'ambiance close que j'avais posé, je me sentais lentement revenir à la réalité, soudainement un bruit sourd retentit, quelqu'un ouvrait la porte blanche que je n'avais précédemment pas vu, je reconnu à ma plus grande surprise Elias, si je me souviens bien de son nom.

"T'es enfin réveillé ?

-De ce que je vois... visiblement.

-Pourquoi tu as sauté ?

-Laisse moi, dis-je en me tournant.

-Oh wow, j'ai été trop brusque, bon laisse moi t'expliquer d'abord ?

-Ok...

-Lorsque tu t'es enfermé j'ai appelé les pompiers, on se connait a peine mais... tu merite aussi d'etre sauver-

-Je ne veux pas être sauvée.

-Axel, écoute moi s'il te plait, essaye au moins...

-Mais j'essaye, tu peux pas comprendre je me barre !"