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18h26, ancienne station,

"Putain, vous aviez raison, c'est de l'amour..."

Il rigolent tous ensemble avant que Luna ne prenne la parole, aucun.e d'entre eux ne semblait surpris de la nouvelle, bien au contraire.

"On te l'avais bien dit, rigole-t-elle.

-Vraiment, on le savait tous, confirme Liao, mais c'est pas grave, mieux vaut tard que jamais, alors tu vas faire quoi ?

-Je ne sais pas..., je ne saurais pas lui dire, je ne pense pas...

-Il a l'air de beaucoup t'aimer, ajoute Esra.

-Tu crois ?

-Evidemment ! Dirent-ils tous en cœur.

-Sérieusement, ne dit pas que tu ne le vois pas ? Me rajoute cette fois Liliane.

-Non mais faut tout t'apprendre ! S'énerve Nïle chaleureusement."

Je rigole à mon tour et me couche contre Liao, je me posais mille question, peut-être autant de question que de surpeuplage de ce monde sur ce canapé, je rigole intérieurement, je me sentais bien ainsi, j'avais pas besoin de plus, rien a part Elias, mais il avais une copine, et je ne savais pas comment trouvé les mots, et comment avoir le courage de lui dire, alors que je savais bien que ce serait un refus, pourtant j'osais espérer que nos regards ne trompaient pas, que tout ça, il l'avait vu lui aussi, même si j'etait persuader que cela était purement affectif, et non romantique. J'avais ce goûts amer dans la bouche, en ressassant cela, l'homme que j'aime es pris, et pourtant avec les dires de mes ami.e.s, j'avais envie d'essayer, d'avoir encore espoir, de lui dire combien je l'aimais, même si cela n'était pas réciproque. Je ne pouvais que soufflé en connaissant la tristesse dont je ferais preuve a ce moments là, j'étais dessus, de savoir que c'était un amour déjà impossible, mais comment lui en vouloir, je ne pourrais de toute façons pas le forcer à cela, j'étais condamné à errer, c'était triste et malheureux. J'avais juste envie d'être seul au bout du monde, et pourtant le choix ne s'offrait pas à moi, parce que bientôt les parents d'Elias seront à la villa, ca me faisait mal, de savoir que je les verrai, mêmes si iels ne seront jamais ce que j'espère, Liao me couvre de calin. Au fond, je sais bien qu'il vois tout ce mal être, mais je ne peux rien y faire, c'est ainsi, je ne sais pas encore si je vais lui dire, mais je sais, que quoi qu'il se passera cela finira mal, un amour explosif semble t'il, destructeur, j'avais repris espoir depuis peux, mais j'avais aussi pris conscience de l'amour, je savais que même si la vie reprenait, s'illuminait, il semble que j'avais enfin allumer la lumière, mais que l'ampoule était prête à griller, j'étais seul et perdu dans ma tête, elle qui était pour une fois vide et lumineuse, allait s'écrouler, je soufflais. Je savais que d'un instant à l'autre je me lèverai de ce canapé, je monterai dans cette voiture et je verrai enfin ceux que j'aurais aimé papa et maman, et j'allais voir le peau de peinture le faire, ca me brisais le coeur a cette simple idée, ca faisait peut-être pas longtemps que je savais aimé Elias, mais ca faisait déjà très longtemps que mon coeur l'avait rangé prêt, de lui, longtemps que je l'aimais, sans le savoir, alors que au fond de moi, je ne voulais qu'une chose, lui, depuis tout ce temps, c'était lui l'homme de rêve, celui qui ne partage pas toutes tes passions, mais qui les essaye, et même si il ne les affectionne pas, il les partage avec toi, plusieurs souvenirs passent dans ma tête, je me remémore le skate parc, ce lieux ou je les ai rencontré eux... mes ami.e.s, ce moment ou l'on m'a annoncé, et ou Elias me l'a promis, que je remonterai sur ce skate, entièrement et seul, j'attendais cela depuis tout ce temps, même si je l'ignorais, je l'avais trouvé, mon interrupteur, l'homme parfait, celui qui m'avait recueilli, élevé alors que j'étais au plus bas, qui m'a fait rire aux éclats alors que je pleurais de douleurs chaque jour, celui qui m'a fait sourire alors que tout ces sentiments s'était vidé de mon corps, celui qui m'avait fait tombé amoureux, alors que je perdais espoir dans ce monde, celui qui m'accompagnait, même quand je ne pensais que ca ne servais a rien, même quand je pouvais lui hurler dessus -les escaliers-, même quand je pouvais le haïr du plus profond de mon âme, il etait la, il a arrêter les soirée, il ma tout donner et tout payer sans rien en échange, il a même été condamnées, et le voilà libéré depuis quelques jours pour bonne conduite, contre son gré. Il avais tout fait pour moi, alors que je l'avais detester encore et encore, je voulais lui dire, même si cela ne rimerai a rien, je voulais lui dire, pour enfin une bonne fois pour toute, savoir que c'est non et l'oublier, j'avais semblerait-il besoin de cette passerelle, pour me rappeler qu'il appartiens déja a quelqu'un, pour tout ca, pour arreter de souffrir, je pouvais cesser tout ca, ca me brisais, et apres je pourrais retrouver une nouvelle ampoule, et quelqu'un qui la changerait et qui a son tour allumerai la lumiére, parsque me voila condamné, et ce n'etait pas grave au fond, c'etait comme ca, et je savais que ca m'aiderai, alors même si j'en etait terrifier, peut-etre que cette etape plus que terrifiante, pouvais enfin m'appaiser, même si j'etait au bord de l'avc, et que je voulais juste avoir réponse a mes questions, et je l'aurais peut-etre enfin, même si je m'attendais, et même si je savais evidement que cela serait negatif, enfin voila, je n'avais pas bien le choix, je regardais le plafond au dessus de moi, de prendre un grande inspiration, et de enfin mettre le pied par terre, et ainsi je commence a me redresser.

Peace is not forgivenessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant