Peace is not forgiveness

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19h26, Villa forestière,

Pleurer, ca je savais le faire, d'autant plus que j'etait enfermer dans les toilettes a pleurer, je n'arretais pas en pensant a la merd que je suis, a combien je suis nul ou a combien je doit enerver Elias, tout ca j'y pensais, car c'etait vrai, j'etait tellement nul, en plus ca n'etait pas la premiere fois que je me cachais la, en ce moment chaque soir je pleurais, sans jamais m'arreter je pleurais, je pleurais de par ces souvenirs, la memoire de ces anciennes conquete qui etait si douloureuse avec moi, tellement que maintenant j'associs la froideur d'Elias au fait qu'il pourrais ne pas m'aimer ou me quitter, a chaque instant je pense c'est ca, en boucle c'est ca, et c'est peut-etre le plus terrifiant, peut-etre que c'est le plus douloureux, de savoir que c'est faux, de n'avoir qu'une pensée celle ci en boucle, et ca m'effraie, de peur qu'un jour il n'y arrive plus, que je sois si insupportable qu'il me jette comme un vieux rien, et c'est peut-etre cela le plus douloureux, et peut-etre que c'est cela qui me fait le plus de mal, car je ne serais jamais de quoi es fait demain, et meme si ce n'etait pas totalemaent rationelle, je n'avais que ca en tete. L'impression de devenir fou, parfois je me demandais si je n'étais pas skyzo, a force d'enchainer les crises d'angoisse et d'hyperactivité au même moment, cette impression de devenir tarée elle était irationelle, mais avec toutes ces crises je commence a penser que l'ont ne peux vraiment rien faire pour moi, que je vais finir fou dans un hopitale psychiatrique, ou bien que je vais retourné avec mon ex, je pense souvent a ca, surtout quand il m'écrit des messages.

Je n'en ai jamais parlé à Elias, et pourtant je n'ai jamais voulu retourner avec lui, seulement il m'a tellement manipuler, je suis tellement retourner encore et encore avec lui avant que je me demande parfois si je n'ai pas rater quelque chose, et si je n'aurais pas dû quitter Elias, et bordel c'est affreux mais dans ces moments la je pense sans cesse que c'est ma seule issue pourtant c'est bien loin d'être ainsi, pourtant tout ca c'est irrationnelle, c'est que il ma tellement manipulé que je psychote, mais je ne peux pas m'empêcher de penser ainsi, je ne peux pas m'empêcher de me rappeler de l'enfer qu'il a crée en moi, et dans les instant ou je crois qu'Elias ne m'aime plus ou quand il m'envoie des tas de message j'y songe réellement et pourtant j'aime Elias, c'est dingue, mais dans ces instant tout les scénario se font, et les larmes ne cessent de couler, je n'arrête pas épuiser par cette douleur et par cette impression terrifiante, bordel je n'ai rien demandé, mais je n'arrête pas tant la douleur est grande, et je cherche partout un moyen d'arrêter de souffrir.

Le verrou claque, signe que la porte des toilettes a encore été ouverte, bien que j'essaye de la retenir, les pieds posé sur le mur, il la pousse malgré tout et me pousse avec pour rentrer et s'asseoir à mes côtés, il essuie mes larmes et me prend dans ses bras, comme si il n'y avait aucun problème, et je ne dit rien, rassurée par sa présence, comme chaque soir il avait dû ouvrir la porte des wc, mais quand il était là toute la peur disparaissait, et il me donnait espoir, quand j'étais avec lui j'avais espoir, pour une fois je me sentais bien, et pour une fois j'étais rassuré.

"Ça va aller ce n'est rien...

-J'ai peur.

-Ce n'est rien, je te le promet, je suis désolé de t'avoir parler comme ça je n'aurais pas dû.

-Non c'est moi je suis une merde...

-Non tu ne l'es pas !

-Et pourquoi pas ? Regarde où je suis chaque soir, je m'en veux tellement...

-C'est faux, tu as juste besoin de temps, mais c'est normal avec tout ce que tu as vécu, tout es normal il y a pas de problème chez toi."

Je le regarde peunaut, j'ai du mal a le croire, et pourtant au fond je sais que c'est vrai, et pourtant je ne cesse jamais de le dementir, j'ignore pourquoi mais ces idées sont tellement profonde en ce moment, qu'il aura beau me bercer de toutes les paroles possible j'insisterai toujours, car pour moi tout cela es faux, je ne peux pas y croire et ca m'horrifie, tellement, tellement de ne pas lui faire confiance, meme a lui, meme a l'homme que j'aime le plus au monde, tout ca sa m'effraie tellement que je n'y crois plius vraiment, ont ma tellement tout fait que le pauvre aura beau me rassurer je n'y croit plus vraiment, le pauvre ne peut plus me rassurer car je me suis a nouveau enfermer dans ces idées, et meme si je sais que bientot ca ira mieux et je n'aurais plus de mal, a l'instant c'etait si douloureux, et ca me faisait mal, pourtant je savais que ca irais vite mieux, mais a l'instant je ne voyais que mensonge, on me l'avait tellement fait, de belles paroles pour rien, bordel me dire que l'ont m'aime pour au final me quitter en boucle et revenir quand j'ai changer de vie, on ma tellement tout fait que je ne crois meme plus en Elias, je le regarde avec seul ces mots a mla bouche, c'est faux, avec cette mine perdu, et meme lui en cette instant ne peux rien pour moi, meme lui ne peux pas grand chose, meme lui ne changera rien, car dans ma tete tout etait faux, et au fond je priais les Dieux pour qu'il s'accroche et qu'il me soutienne dans ce moments pret a rechuter, pourtant je savais qu'il avait aussi ses limites, et chaque fois j'etait sur la deffensive, j'avais peur de les briser, car dans les relations passé je devai absolument faire attention a eux et pas a moi.

"C'est bon.

-Quoi...?

-Je suis épuisé je m'en vais.

-Mais tu peux pas me faire ça !

-J'essaye de t'aider mais tu dis toujours que j'ai tord ! Je suis épuisé je m'en vais !"

Je le regarde sans bouger, figé, il m'hurlais dessus comme je l'avais jamais vu crier, et bordel ça me terrifiait, bordel je ne voulais pas qu'il soit comme ca, je ne l'avais jamais vu ainsi, et ca me faisait si peur, pourtant je ne voulais pas lui dire non, je ne voulais pas le contrer, car au fond je le croyais, mais ma tête m'en empêchait, mon esprit m'en empêchait, et je ne voulais pas qu'il me quitte, j'avais besoin de lui, il avait beau ne pas le savoir, ni ne le comprendre, mais j'avais besoin de lui, et c'est a cette instant que je regrettais de ne pas lui avoir dit, je cours finalement derrière lui après plusieurs minutes figé dans la salle de bain. Il fait ses affaires, c'est ce que je pense immédiatement en le voyant faire sa valise, et pris de panique j'essaye de le retenir sans jamais cesser de pleurer, je ne pouvais pas croire à ce qu'il faisait, car j'ai cru que nous deux c'était pour toujours, le temps ralentissait quand je le voyais fermer sa valise et s'en aller dans les escalier, alors que j'ai cru qu'il me demanderai un jours en mariage, alors que j'ai cru qu'il finirait par un jours me demander un enfant et que dans quelques années ont adopterait un petit garcons, mais non, je le regardais figé, je le regardais dans les escalier alors que je criais son nom. Finalement je l'entend claquer la porte alors que je m'effondre en pleurant dans les escalier, quand j'entend le bruit de sa grosse ferrari démarré je pleura tant que je tousse, je vois le sang craché sur ma main, ce n'est pas bien grave je le sais, mais je ne peux pas cesser de me rappeler de ce qu'il m'a raconté sur Takuji et sur sa mort, peut-être impulsivement j'apelle Noemie pour qu'elle arrive vite, bien qu'elle ne soit là que dans deux ou trois heures vu ou elle habite, elle devait être en vacance mais j'avais besoin d'elle.

Ainsi je m'assois dans ma chambre en dessinant, car cette fois je ne voulais pas faire de connerie, même si mon coeur se brisait, et soudainement je réalisais, qu'il me quittait et que bientôt j'aurais nul part où vivre, peut-être que j'irais a la base ou l'un de mes ami.e.s m'hebergera, mais sur le moment cela me parait si irréaliste, je veux vivre avec l'homme que j'aime, mais lui ne veux plus de moi, lui es épuisé de moi, et bientôt je devrais faire moi aussi ma valise et rendre toutes les affaires qu'il m'avait offert, mais a ce moment la seule chose qui comptait c'était la douleur qui allait me faire vomir ou quand Noémie arriverai.