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15h26, Villa forestière,

"Axel, mon coeur ?

-Me... parle pas...

-Lache ca, dit-il en me prenant le cutter des mains."

Je le regarde paralysé, je ne sais plus vraiment quoi dire en vérité, pourtant automatiquement il s'assoit à mes côtés, j'ai envie de pleurer sans m'arreter, et pourtant sa présence est si rassurante pour moi, elle l'est plus que je ne l'ai imaginé, et dans ses bras, je le regarde maladroit comme je peux, pour que finalement il finisse par parler.

"Je ne leur ai pas demandé de faire semblant de t'aimer ou quoi, tu as mal compris, dit-il maladroitement, je leur ai demandé de faire un effort et de ne pas te prendre pour un etranger.

-C'est à dire...?

-Ta vu comment iels ont réagi ? Mes parents sont souvent comme ca quand iels apprennent quelque chose ou rencontre quelqu'un, iels sont jamais très joviale, je ne voulais pas que tu te sente exclu alors je leurs ai demandé cette faveur d'au moin etre agreable avec toi, sauf qu'au final iels ton adoré.

-Alors pourquoi ton père a réagi comme ça ?

-Il s'y attendait pas, et puis tu sait il a pris peur, il a surement conscience que tu es fragile, et je ne pense pas qu'il te l'a dit... mais il a divorcer avec ma mère, pendant tres longtemps, les flammes jumelles sont tres rares a trouver, mais en vérité ma mère en avait un et mes grands-parents étaient assez mechant donc iels les ont forcées à divorcés.

-Mais c'est horrible !

-Je sais, iels ont fait ça jusqu'à que l'homme devienne violent et puis iels ont compris, mon père évidemment toujours remis avec elle, cependant il a pris peur, car il connaît les critiques etc, et il a eu peur pour toi, d'avantage car je suis malheureusement célèbre, il a su que si ca devait arriver ou si l'on se prenait un bad buzz tu ne tiendrai pas le coup, mais je peux t'assurer que mon père t'aime beaucoup.

-Tu as sûrement raison."

On se regarde dans les yeux, et je crois mourir quand ses lèvres touchent les miennes, je tressaute comme ci c'etait la premiere fois que cela arrivais, comme si se beser me fesait renaitre, d'autan plus quand sa langue touche la mienne, et que le baiser s'intensifie tout autant que celle dans le bas de mon ventre, sans m'en apercevoir surement je fini pousser sur le sol. J'ouvre legerement les yeux pour observer mon amants, tout les petit grains qui semblait decorer son visage, l'implentation de ses cheuveux qui retombais soigneusement sur son visage, et je crois que c'est quand il a ouvert les yeux a son tour que je suis mort une seconde fois, mon coeur ratte un battement, ces yeux noir percent me regardais comme si j'etait la seule chose sur terre, comme si j'etait le premier pecher ou le plus beau diamant dont-il n'aurait jamais osé rever. Nos corps ne faisait qu'un quand je voyais la flammes qui animait ses yeux, quand je comprenais pas le sentiments immense qui me surmené dans l'instant, quand ses yeux se refermait au même rythme que les miens et que les miens et que sa langue ne cessait pas de dansé avec la mienne. Je ne savais plus bien comment je devais réagir, je ne savais plus rien, cela dépassait toutes les sensation que j'avais connu, quand je pensais que tout ces hommes âgées était la vérité, quand je pensais encore que je les aimais, ce soir j'en avais bien la preuve que non, ce soir je me rendais compte de ce que ça signifiait, l'amour, que ses mains sur mon corps n'avait pas le même sens que tout ses hommes bourrins qui me manipule à leurs guise, de ces femmes également dernièrement, de ceux dont je me souvenais ou de ceux que j'avais oublié dans la noirceur de mon mal être. Et ce soir, en cette instant, cette après midi, cette envie de désiré sur mon corps, ne me paraissais pas sauvage ou vulgaire, cette fois elle paraissait douce, légère, et cette fois mon esprit se mélangeait à cette envie, tout autant que j'en avais envie de vomir, cette pensée enflammait mon esprit, soudainement je m'agite.

"Ça ne va pas ? Tu sais on est pas obligé de faire quelque chose si tu ne veux pas...

-Non ça va, juste envie de vomir.

-C'est normal mon coeur."

Je le laisse faire, parce que son regard sur moi me rendais maladif, parce que je m'y sentais si bien, parce que bordel j'aurais souhaiter que cela ne s'arrête jamais, parce que j'attendais toujours de voir, la suite, ce qu'il se passerait après... tout, je cherchais tout, j'étais terrifié, et je n'attendais que ça en même temps, pourtant une lueur sembla passer dans ses yeux quand ses mains frôlait mon torse, et que machinalement j'avais attrapé les hanches de son corps au dessus du bien, quand je le vis trembloter alors que je voyais bien que sa main ralentissait a plusieurs reprise, sa semblait grouiller dans son esprit, dans sa tête, et c'était ça qui me terrifiait, à l'instant présent je commençais à être terrifié, quand je voyais son corps s'agiter malgré l'instant présent, je ne voyais plus que lui. J'avais peur quand son débat intérieur ne semblait ne jamais prendre fin, et sans crier gare il se relevait autant ses mains de mon corps qui frissonnait de maladresse et d'envie.

"Je ne peux pas faire ça."

Ces mots résonnaient en moi, ils le faisaient sans jamais s'arrêter, et ça me rendait malade, malade d'être suspendu dans l'incompréhension, malade de le regarder dans la suspension.

"Tu es mineur Axel, je suis totalement tarée de faire ça.

-Mais ce n'es...

-Chut... s'il-te-plait, attend d'être majeur, tu as seize ans je ne peux pas faire ça.

-Si tu veux..."

Je le regarde répéter les mêmes mots, "je ne peux pas faire ça", en boucle sans ne jamais s'arrêter, alors que j'étais assis il répétait ça en boucle en se bouchant les oreilles et s'appuyant la tête maladroitement avant de lui aussi fuir terrifier. Il ne restait plus que moi, assis dans l'incompréhension, dans l'attente seul, j'avais soudainement été refroidi ne comprenais pas pour quel raison il avait réagit comme ca, et peut-être que c'était ainsi que sa me terrifiait, et pourtant, pourtant, j'en aurais voulu plus, tellement. Mais je me relevais, marchant difficilement apres avoir recuperer ma canne, dans l'espoir de retrouver mon copain dans la maison, il était introuvable, et j'avais beau faire toutes les pièces j'ignorais où il avait disparu, c'était comme un cache cache géant, comme si il se trouvait dans une pièce qui comme part magie disparaissait, une salle à la demande.

Peace is not forgivenessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant