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PDV inconnu,

Je me noie, enfin c'est ce que je pense, quand ma respiration se coupait, mais je ne coulais pas, car je courais, je courais tant ma détresse était immense, et tant je me dégoutait en même temps, comment j'avais pu faire ca, comment j'avais pu y penser, des flashes sonnait en moi, alors que cette phrase en boucle dans mon esprit me rappelais ces images qui me dégoûtait un peux plus chaque jour, qui me paralysait, et elles apparaissait en moi comme des flashes qui me rendait malade.

Je riais à gorge déployée, ce minable qu'il était couché sur le sol, il est ridicule, il l'a toujours été, ce gros bouffon, mes amis rigolaient avec moi quand un cri aigu se fit entendre, et je crois que se cris fit alarme dans ma tête. Je cessais de rire et ouvrais les yeux dans la direction de ma victime, elle toussait, et puis je crois que c'est a cette instant que je vis du sang sauté sur mes basquette, quand il toussa, tout les mechanisme de mon esprit cessais, surtout quand j'entend mon meilleur ami hurler mon nom alors que les urgences, j'ignore lesquelles tant je suis sous le choc, débarque, mes amis pourtant eux ne cessent pas de rire. Mon meilleur ami essaye de me tirer de la zone alors que je baisse les yeux vers Haru, couché au sol celui-ci cris, dans un espoir, comme-ci celui-ci allait réveiller son meilleur ami, mais non, car son meilleur ami était mort, Takuji était mort à mes pieds.

"Degage gamin il es mort ! Hurle une femme alors que j'etait le seul a ne pas bouger."

Une bonne fois pour toute Austranne m'extirpe de la, et je ne réalise pas bien, je ne sais pas bien d'ailleurs comment mes amis se sont éloignés, et pourtant ils rigolent comme des hiennes. Austranne essaye de m'assoir tant bien que mal mais je suis sous le choque, je m'en veux tellement, tant que je me bouch les oreilles, car la voix de la jeune femme fait echos dans ma tete sans jamais ne s'aretter, et je voulais hurler, pourtant je n'y arrivais pas, je voulais tout faire, mais je n'arrivais pas a enlever cette voix de ma tete, c'est surement cela qui me paralisais, et pourtant, je voulais juste enlever cette idée de ma tete et toutes ces images. Car je ne comprenais pas, a quel comment j'avais perdu le volant de ma vie et je m'étais laissé faire cette offense, je ne savais pas quand, je les avait laissé me contrôler, et pourtant c'était de ma faute, c'était moi qui avait causé tout ca, et ca me rendait malade.

Sans crier gare deux mains m'aide à m'asseoir, celle d'Austranne et celle d'un étudiant plus jeune dont je ne connaissais pas bien le nom, je l'avais vu quelque fois, et je croyais bien l'avoir vu en seconde, bien qu'il ne soit pas bien musclé, il aide mon meilleur ami a m'asseoir.

Pourtant c'est bien après que je vomi le plus, c'est quand face aux juges j'entend un non coupable, quand ma tête tourne tellement, et que je me demande comment peut-on m'inocenter sous le coup de la détresse psychologique, que avec une bonne promesse de rendez vous psychiatre ont me relâche comme un vulgaire citoyens normal, comme-ci je n'avais jamais tué un homme, pourtant c'était bien vrai l'image de Takuji sans vie sur le sol, et le sang qui tachait mes chaussure si blanche ne cessait pas de tourné dans ma tête, quand je ne parvenais pas a réalisé ce que j'avais fait, et que je devais accepter ce que j'avais fait, comme si ce n'était pas de ma faute. Pourtant c'était bien vrai, j'avais frappé à mort Takuji, et à ce moment, tous les jours, a chaque instant, dans ma tête l'image de mes coup de pieds de cessait jamais, car c'était moi qui l'avait causé.

Quand une fois les séances chez le psy fini, il me lachais avec une vulgaire carte de visite qui me donnerait l'occasion d'acheter un local, une vague idée qu'il m'avait donné pour me racheter, pour qu'il n'y ai plus de victimes, et c'est comme ça qu'à l'époque tout avait débuté, un vieil apparte et avec quelques économies, je n'étais pas bien riche et Austranne non plus, mais j'avais taffé et comme ca on avait su créer une ligne d'écoute, une carte de visite et même un site web, a l'époque le compromis était simple, une ligne d'écoute, et grâce à la redirection, il écoutait les harceler, et j'écoutais les harceleurs, de cela tout le monde pouvait être compris, des gens qui dans mon cas ignorait pourquoi iels agissaient comme moi, mais eux avaient eu la chance de le comprendre avant qu'il ne soit plus tard. Mais rapidement nous avont crée un buzz, de plus en plus de gens appelé, tellement que nous avions du employes du monde pour repondre au telephone, tellement que nous fesiont de plus en plus de passage dans les ecoles pour sensibiliser différemment les eleves et pas juste par le harcelement c'est mal, jusqu'a arriver la ou on en es aujourd'hui, et le pire dans tout cela, c'est que la seule chose que je vois constamment c'est l'image de Takuji mort a mes pieds, tellement que ca gache toute ma vie, et bordel le plus affreux, c'etai qu'a n'importe quel moment je pouvais me sauvé en courant pour aller vomir tant je ne realise toujours pas ce que j'ai fait, et son corps me reste en memoire comme une pierre graver ou comme un tatouage qui grave une image a jamais dans ma peau, cette instant lui etait graver a jamais dans ma peau, et j'en vomissais, car je ne comprenais pas comment j'avais pu agir sans etre moi meme comme ca pendant une semaine, comment j'avais pu agir si horriblement, ca m'effreyais pas seulement, ca me degoutais, et il n'y avait rien a faire pour enlever cette image effroyable de moi, et j'etait comdamnée a m'en rappeler sans arret, c'etait peut-etre ca le pire.

Je n'étais pas la victime au contraire j'étais celui qui avait abusée, et pourtant c'était moi qui agissait en victime, c'était moi qui avait refais ma vie et qui était même devenu milliardaire alors que le corps de Takuji que j'avais tuer de mes mains restera à jamais dans une tombe, sans espoir de sortir de sa douleurs ou d'obtenir d'excuse, il devra rester comme ca a jamais, il n'a pas le choix, et pour moi c'etait ca le pire, car tout ca c'etait de ma faute et c'était moi qui avait la belle vie derrière, il n'a même pas eu la décence ni le pouvoir de s'enlever la vie délibérément de son propre chef, c'est moi, et moi seul, qui ai choisi sans son préavis de lui enlever moi même la vie, celle qu'il n'avait pas choisi, et pourtant qui aurait pu être bien meilleure, c'est moi qui n'ai jamais cherché à comprendre malgré les sensibilisation à l'harcèlement, que j'avais tords, et que j'aurais du l'épargner avant qu'il ne soit trop tard. Surtout qu'il n'a jamais demandé de recevoir tout ces coups, c'est pour ca que souvent Austranne doit récupérer mes appels, car bien que j'ai toujours refusé d'appeler les victime par honte et car j'ai dit que je n'étais pas capable de les entendre, rien que l'idée parfois d'entendre que ces gens subissait ce qu'il n'avait pas demandé, de la bouche d'un harceleur, qui en plus n'appellent pas toujours par choix ou par son propre chef me dégoûtait au plus haut point, car ca me faisait pleurer ou vomir, car je me rappelais tellement de ce que j'avais fait avant, et cela me rendait malade, horriblement malade.

Pourtant c'était moi, moi qui l'a traiter de bouffon, moi qui rigolait de ces vêtements, de sa nourriture, de son corps, de son visage, pourtant l'idée d'avoir avec moi quelqu'un qui a vécu cela avec moi ne me semble pas si lointaine, cela me terrifiait, car j'avais peur qu'il me prenne pour l'un de ses agresseurs...

"Hey bougnoule ! Criais-je en faisant rire tout le monde.

-La ferme, s'énerve Haru en s'interposant de sa voix fluette.

-Quesqu'il veut la pedale ? Ah il défend son petit copain, comme c'est mignon, mais vous n'êtes que deux petites pedales tu sais.

-On est pas ensemble, et puis tu sais que les premiers gays sont toujours ceux qui se moquent d'eux."

La classe avait explosé de rire, et je ne sais pas ce qu'il m'a pris, mais mon poing a fini dans son visage, comme si cela était normal, comme si cela était une simple défense, mais en vérité à ce moment là, la défense c'était Haru, c'était lui qui s'était toujours interposé quand Takuji n'avait pas la force de répondre, en vérité je crois que Takuji était comme quelqu'un que je connait bien aujourd'hui, dépressif, d'où son allure, et toute la difficulté qu'il ressentait, mais moi je n'ai fait que d'insister dessus, de m'appuyer pour mieux de faire faiblir. C'est peut-etre naturellement que le poing d'Haru a repliquer tout aussi vite, malgré qu'il soit plus petit par rapport a moi, contrairement a Takuji qui etait plutot grand, il a frapper fort, et je pense qu'il aurait pu me tuer ce jour la, si seulement il aurais pu il l'aurait fait, si le proviseur ne nous aurait pas arreter il l'aurait fait, et moi je l'ai laisser faire, je l'ai laisser m'attaquer comme ci cela etait normal, car au fond je savais deja que j'etait manipuler. Pourtant j'aurais aimé être arrêté, car ceux qui avait de l'emprise sur moi n'ont jamais été arrêtés, car ils ont toujours fait que d'être témoin, ils n'ont jamais été directement violent, et a ce moment la loi ne pouvais pas pénaliser la violence morale que j'ai subi, et qui parre defauts a fait souffrir Takuji et parfois Haru, pourtant Austranne l'a toujours senti, il m'a même averti, mais moi je l'ai ignoré et même lâcher, convaincu que c que je faisais était normal, convaincu que mes amis du lycée avait raison, convaincu de tout ca, alors que bien souvent ce genre d'ami, encore plus au lycée, ne sont qu'éphémère, de preuve ils m'ont tout lâcher quand j'ai réalisé.

J'étouffais, j'avais tant désiré Axel que je m'en était noyé, tant que ses images était revenu en moi, tant que j'avais accouru dans ma chambre pour prendre la porte derober et m'y planquer, me jeter contre un mur et y frapper ma tête également, dans le but de respirer, je me débattais pour m'en sortir, dans le but de m'enlever cette douleurs a mon tour, dans l'espoir que cela s'en aille, j'avais tant esperer, car a mon tour je me suis effondré dans cette douleur, a mon tour, car je me suis tellement remis la faute dessus que j'en suis tombé malade, tellement que j'en pleurais et que je me mordait violemment dans les bras pour que la douleurs s'en aille enfin, mais ils avait raison, mes amis raison, ce n'est qu'un con qui souffre ça changera rien, car aujourd'hui c'était moi le bouffon, c'était moi le bouffon, et c'était moi qui souffrait, c'était moi tout ca, pourtant je ne méritais pas de souffrir, pas même de ces images, car depuis le début c'est moi qui lui avait fait tant violence qu'il en était mort, c'était de ma faute.

Peace is not forgivenessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant