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Tw torture, viol, mutilation sévère

00h36, Hôpital Lefebvre,

Tout était étrangement flou, Zac disait que c'était malheureusement les effets secondaire du médicament, que en hôpital psychiatrique on a pas tous les médicaments pour nous soigner a volé, mais plus le temps passait plus je trouvais cela étrange, Zac disait sans cesse que j'allais m'y habituer et que rapidement je serais soigné de leurs médicaments, mais moi je n'ai jamais vu Zac prendre ces médicaments, moi pour la première fois j'avais peur de Zac, peur de savoir ce qu'il advenait de moi quand je les prenais, pourtant Zac a toujours été attentionné, Zac m'a toujours aidé a m'installer dans ma chambre, alors pourquoi Zac ne prend il pas les médicaments, moi pour la première fois j'avais peur, moi pour la première fois je voulais voir Elias, et pourtant cette torture ne semble jamais prendre fin. Le jour ne se levait jamais et la nuit ne tombais jamais, ca ne cessait pas, et ca me terrifiait tant, mon sang en était glacé, et pourtant je passais mes journées assis non loin de Zac, sans bougé, pétrifié, c'était ainsi, je ne pouvais pas bougé, comme tous je ne pouvais plus, par moi même je ne pouvais plus, et c'est ce qui me terroriser, car si je venais a avoir le malheur de le faire, la mort m'attendrait au bout du couloir, et je ne le voulais pas, je ne le voulais plus, j'en avais longtemps rêver, mais ce soir je voulais voir les étoiles assis sur l'herbe fraîche, je ne voulais plus voir les étoiles.

"Médicaments !"

Et la boucle recommençais, ils se fichaient de nous donner plusieurs fois nos médicaments, car même a cela on ne pouvait plus nous référer, la femme s'approchais de moi quand se fu mon tour alors que de grand cris perçait le silence de la pièce, mais les médicaments de Zac m'épuisait, alors je ne fis pas bien attention, Zac cracha ses médicaments et puis se fit a mon tour.

"Axel..., souffle une voix dans mon dos."

Celle-ci me glace le sang, alors que je n'eu pas eu le temps de ranger les médicaments, une seconde d'inattention et je me suis laisser distraire, et j'ai laisser la jeune femme me quitter des yeux, et voila qu'on m'attrapais pour m'emmener quelque part.

"Mais Zac aussi il-

-On ne dénonce pas, fit une voix féminine alors qu'une douleur aiguë me traversa la main."

Je n'osais pas baisser les yeux, car le sang dégoulinant a vu d'œil, car ma main était grande ouverte et je le sentais alors que l'on poussait mon fauteuil dans une partie de l'hôpital que je n'avais jamais vu, tout était sombre, et on ne discerne plus la lumière, c'est la que tout me revenais, que tout ces moments d'inattention revenais, que sous l'adrénaline et le hurlement strident qui se faisait entendre au loin je réalisais, Zac m'avait drogué, Zac avait fait des choses avec moi que même Elias ne s'était pas permis, des choses que j'aurais espérer autrefois faire avec lui seulement, mon passé m'est revenu aussi vite que j'avais espérer l'oublier, et je me rappelais également des paroles aussi stridente de Zac qui faisait semblant d'être inconscient.

"Madame... Axel ne prend pas ses médicaments..., avait-il dit de sa voix robotique."

Bon sang, je n'en revenais pas, j'avais envie de pleurer, tout était prévu depuis le départ, ce lieux es un endroit de torture, et on s'apprêtais a me donner le coup finale, ou peut-être est-ce quand Zac a franchi la porte debout, il balançait de sa main un lourd couteau, avant d'embrasser une infirmière sur le coté, et la sans maquillage, et debout, je réalisais qu'il n'avait pas du tout mon âge, et qu'il était en vérité beaucoup plus vieux, j'était terrifier, au vu de la scène qui allait se dérouler, elle qui semblais marquer mon point finale, quand la seule couleur qui tachait la pièce était le sang sur ma mains. Les larmes coulaient automatiquement, lorsque Zac s'amusait de couper tout mes vêtements, la bande de médecins semblaient au complet, du moins presque, autour de moi, et j'était déjà dégouter de ce qui allait se produire cependant, je ne pouvais pas agir contre eux, je ne pouvais que me laisser faire, entre les médecins qui s'amusait de me couper la peau d'autre à boire le sang qui en découlait, et mon esprit ne pouvait pas se détacher de cette vision déroutante, surtout de ceux qui touchait mon corps, sans que je n'ai rien demandé, et je voulais pleurer sans m'arrêter, mais eux ça les faisait rire, si j'avais su plus tôt ce qui pouvait se découler d'une entreprise, je n'aurais jamais été la, si seulement j'avais su, et pourtant je n'étais pas là de mon pleins gré, et pourtant je n'avais pas le choix de les regarder s'amuser de mon corps a tour de rôle après m'avoir jeter, de s'échanger entre me prendre ou me monter dessus, ca ne s'arrêtait jamais, mon sort ne s'arrêtait jamais, ils avaient comme un ordre de passage et s'amusait à deux à la fois, sans jamais cesser de me vider de mon sang. Je perdais connaissance, je le sentais, je me sentais partir, jusqu'à que, crack, je ne pu pas même réaliser ce qu'il se passait car je me vidais de mon sang, cependant j'entendais des hommes se battre, et je les voyais de mes faibles clignement de paupière, un homme semble particulièrement blesser, de ce que je peux discerner c'est celui qui semble se battre le plus, les médecins et infirmiers n'étant pas préparés ils furent rapidement maîtriser alors que j'aperçu une médecin attaché dans une pièce voisine, soudainement un autre homme prend parole.

Peace is not forgivenessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant