15h09, Villa forestière,
Changer,
Cela était mon mot d'ordre du jour, enfin ça devait l'être, pour moi ce n'était pas un choix, c'était un ordre, le reflets malodorant de moi même, de ses actes qui m'avaient lentement brûlé la peau.
La vie en rose, je voulais les pétales mais je n'ai eu que les épines. Un sourire gravais mes levres, car au fond je savais depuis le debut que mes démons ne me laisserait pas, pas maintenant, jamais, putain c'est moi, putain je suis ses ombres dans ma tête. Putain je m'en sortirai jamais, ta gueule, putain... je ne comprends plus rien, tu ne vois pas que tu dérange tout le monde. Suis-je vraiment ainsi ? Comprendre est-il si difficile pour mon idiotie qui semble déborder du plat de mon existence, évidemment que s'a l'es, je n'ai jamais eu de décence dans le cours de ma vie, stop...
Mais je n'arrivais pas a me stopper, peut-etre que sa l'ete si bien, si douloureux que je me frappais la tête contre le murs, que j'esseyais de m'arracher la tete pour enfin laissez ces pensées s'envoler loin de la, mais rien ne semblais y faire, seul cette solution encore et encore, je la voyais mais je refusais de l'utiliser, pourtant je ne pensais pas avoir le choix, je pensais a Elias, que penssera-t'il de moi en me voyant, cette folie, tout ves geste, et evidement ca, tant de temps que je n'avais pas fait ce geste, et pourtant, la lame joignais mon poignet comme une mere retrouvais son fils, ce jeuc habituel, sans cesse, dans ma tête il n'y avait que ca, je suis un putain de tarée, je ne savais plus quoi faire, quoi dire, je ne savais plus agire par mes propres moyens, et pourtant... pourtant je ne pouvais que me regarder vide, le miroir de ma chambre me refletais, vide. Mon visage blanc etait livide, semblant d'inexistence, alors que mon bras en sang semblais lui rappeler etrangement que j'etait vivant, mais j'en avait pas fait assez, pas assez car je ne voyais pas tout le sang qui s'ecoulait au sol, alors que je continuai a tracer ses lignes habituel ma vision se noircit, et c'est dans une tentative desesperer d'attraper un bandage que je semblais perdre le contacte de l'engin que j'avais demmaré plus tot s'eteindre, je lache soudainement la bande pour le rattraper mais c'etait trop tard, l'objet etait inanimé sur le sol, sauf que je n'avais jamais eu a demarré un engein.
"Monsieur Axel Delmas ?"
J'ouvre les yeux alors que des dizaines de personne etait autour de moi, ou alors peut-etre quatre ou six, je ne savais pas bien tout etait flou, enfaite tout ce que je savais c'est que la femme qui venait de parler avait repris la parole.
"Je suis psychologue au centre psychiatrique de la Fontaine.
-Je vous demande pardon...?!"
Je me redresse violemment et un homme vu ses mains me cloue immédiatement au lit après que ma tête ai tourné subitement, je suis figé, le regard remplis d'incompréhension, je ne sais même plus comment parler, et pourtant yeux dans les yeux, je croise le regard de la psychologue qui a evoquer cette endroit, que je redoutait tant, mentalement je lui suppliais de répéter ce que j'avais entendu, et avec espoir que ces mots changent autant que cette voix dans ma tête, et pourtant je sais que malgré les centaines de fois qu'elle le dirait ca ne changera jamais alors seul un mots tournait dans ma tête.
"Je veux voir Elias.
-Non cela est possible.
-Je veux le voir maintenant !
-On ne vous laisse pas le choix ! Alors ferme ta gueule !"
Une femme avai hurler, elle etait cacher au fond de la piece depuis le debut, et pourtant actuellement la seule chose qui raisonnait dans ma tête c'etait elle, et cette agacement visiblement present, ma seule envie etait de lui faire comprendre que elle n'avait aucun droit de me parler ainsi, et pourtant, pourtant j'etait figé, ces mots tournaient en boucle dans ma tete, car je le savais, et pourtant je refusais de les entendre, ma tete tappais a cette idée, mais je le savais, je devait l'accepter, ce sort qui m'etait reserver depuis tout ce temps, mais malgré tout, encore, je souhaitais infiniment les oublier, et pourtant ils encraient ma peau, et les infirmiers et je ne sais quoi quittait la piece, alors que les mots refusaient de sortir de ma bouche, les seules que j'etait parvenu a prononcer c'etait un appel, un appel a Elias, j'avais tant besoin de lui, et ca me brisais le coeur rien que d'y pensé, de se souvenir, cette idée qu'il ai enfin rencontré quelqu'un, et cette idée de ne pas le voir, et qui sait ne plus jamais le voir, j'ignorais si il m'avait jeter dehors ou si il m'avait simplement placer ici, cependant je n'ai meme pas le droit de l'appeler ou de lui ecrire, donc le choix ne s'imposais pas a moi, il ne m'appartenais plus, iels me l'avaient volé, on me l'avais dérobé, et je n'avais pas le choix de reagir, de repondre, on m'avais comme cousu la bouche, et je n'avais plus moyens d'exprimer mes ressentis et ma colere et tout les sentiments qui fusaient en moi a l'instant meme. C'est a cette instant que je baisse les yeux dans l'espoir de me dechainer et de m'acharner sur quelconque objet que je trouverai, cependant... je realisais que me redresser semblais etre ma seule possibilité, dumoin si j'en croyais les attache qui serrais et bloquais le sang de mon poignet, mon coeur se serrais a cette realisation, bordel, qu'allais-je faire ?
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Peace is not forgiveness
RomanceAlors qu'Axel se fait soudainement virer de stage de chez lui, un mystérieux homme fait son apparition et accepte de le loger chez lui, Axel quitte alors tout y compris le lycée... mais que va t'il se passée quand il va réaliser ce qu'il ressent pou...