CHAPITRE 25

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          Une semaine avant qu'Emma ne se remette avec Louis, Axel et elle était toujours dans leur relation secrète, c'était le soir et ils faisaient un pique-nique dans le parc. Axel était assis, les jambes tendus et Emma était allongé sur lui, la tête sur ses jambes.

-Louis continue toujours de te courir après ? (Axel)

-Oui mais je ne suis pas intéressé.

-Peut-être que tu as ouvert les yeux.

-Peut-être.

Ils regardaient les étoiles quand Emma se releva et regarda Axel droit dans les yeux.

-Quoi ? (Axel)

-Je dois te dire un truc.

-Quoi ?

-Je crois que...je t'aime, enfin non, je ne crois pas, j'en suis sûr.

Axel écarquilla ses yeux, il voulait lui dire qu'il l'aimait aussi plus que tout mais au lieu de ça, il prit peur. Il se leva, elle se leva aussi, elle prit ses mains.

-Non ! (Axel)

-Qu'est-ce qu'il se passe ?

-Tu ne peux pas m'aimer, je ne t'aime pas.

-Quoi ?

-Tout ça, ce n'est pas réel.

-De quoi tu parles ?

-C'est juste pour emmerder Louis, je ne t'aime pas vraiment, c'est qu'un mensonge.

-Tu mens.

-Non, je ne mens pas, tu es trop princesse pour moi, trop superficielle et idiote. Tu ne me plais pas.

Emma s'était mise à pleurer, Axel voulait tellement la prendre dans ses bras, lui dire que ce n'était pas vrai et qu'il l'avait toujours aimé. Mais il ne le fit pas.

-Retourne avec Louis, lui au moins ça ne le dérange pas de sortir avec ce genre de personne.

-Qu'est-ce qu'il te prend ?

-Ma pauvre, ce n'est pas ma faute si tu es tombé dans le piège.

Elle le gifla.

-Connard ! Va te faire foutre !

Elle partit en courant, une fois qu'elle était partie, il retourna la serviette et cassa toutes les bières.

          Emma n'en revenait pas, c'était écrit noir sur blanc, c'est lui qui avait envoyé la photo, elle avait milles questions et s'imaginait déjà les réponses.

-Emma ?

-Tu as menti.

-Non, je n'ai pas menti.

-Tu m'as laissé croire que c'était le singe qui m'avait envoyé cette photo alors que c'était toi.

-Tu veux vraiment avoir cette conversation devant tout le monde ?

-Pourquoi tu as autre chose à cacher ?

-Non mais...

-Tu sais quoi, je n'ai plus envie de t'écouter, tu me déçois toujours.

Emma partit énervé, Axel la suivit.

-Eux deux, c'est sans fin. (Greg)

-Ils ont qu'à recoucher ensemble, ça les détendra. (Eliott)

-C'est un mélange de tous les couples insupportables. (Victoria)

-Sauf qu'il ne le sont pas.

-On ne sait pas ce qu'ils font quand ils sont tous les deux. (Greg)

-C'est trop compliqué, leur histoire. (Victoria)

           Emma était allée se réfugier dans les vestiaires, Axel l'avait suivi mais elle ne voulait pas lui parler.

-Mais pourquoi tu me colles tout le temps ?

-Je ne te colle pas.

-Pourquoi tu me suis ?

-Tu devrais plutôt me remercier, au lieu de m'agresser.

-Te remercier ?

-Oui, je t'ai ouvert les yeux.

-Pour pouvoir profiter de ma souffrance ?

-Tu m'as dit que ce n'est pas ce que j'avais fait.

-Je ne sais plus rien du tout.

Emma alla pour sortir mais la porte ne s'ouvrit pas. Elle poussa de toutes ses forces mais la porte ne s'ouvrit pas.

-Laisse-moi essayer. (Axel)

Il essaya à son tour mais il n'y arrivait pas, et c'est normal puisque de l'autre côté de la porte un balai les empêchaient de sortir.

-On est coincés. (Axel)

-Génial !

             Oliver et Charles étaient en train de faire évacuer le country club à cause de la tempête qui étaient en train d'arriver, le vent soufflaient très fort, la pluie tombait, des tables se retournaient ainsi que des tronzat, l'électricité se coupa.

-Les jeunes vous devez partir. (Charles)

-On ne peux pas laisser Emma et Axel ici. (Victoria)

-Ils sont toujours là ?

-Oui, ils sont partis il y a 10 minutes.

-Où ?

-Je ne sais pas.

-Oliver !

Le père d'Emma arriva.

-Quoi ?

-Emma et Axel sont toujours ici.

-Où ?

-On ne sait pas.

-Il faut les retrouver.

          Emma et Axel étaient toujours enfermés dans les vestiaires, Emma était assise par terre contre un casier, Axel essayait toujours d'ouvrir la porte.

-Arrête, tu vas te faire mal, on est enfermés. (Emma)

Axel arrêta, il s'asseya en face d'Emma.

-Faut croire que c'était le destin.

-C'était le destin de rien du tout.

-Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu m'en veux.

-C'est toi qui est idiot finalement.

-Emma...

-Non chut !

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