CHAPITRE XVI :ORAGE GRIS ET NAUFFRAGE

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Marcus se réveilla dans un bruit assourdissant. En se relevant hâtivement il se cogna la tête contre un planche de la planque ou il était. Un froid de canard n’aida point à le consoler lui qui se frottait le front. Ses habits étaient ramenés à l’avant dans une brise de mer et se trempaient par des fines goutes qui accompagnaient le vent. Il s’accrocha ensuite sur une épaisse corde lorsque le navire bacula. Il traversait une vague qui l’élevait a plus de cinq mètres au-dessus de l’OCEAN. Il regardait autour de lui, ne perçoit rien sauf les vagues hautes qui effectuaient leur plus belle dense grâce au vent. Le ciel était gris et les nuages chargés d’eau. Des éclairs raisonnaient au loin. Aucun signe du soleil. Quoi que le temps soit mauvais, Marcus sut qu’il était presque en fin d’après-midi. Avait-il dormi longtemps ?
Jetant un œil en bas, il vit le capitaine qui lui faisait signe de descendre. Il obéit et en s’accrochant difficilement aux cordages et aux marches en bois qui servaient de passerelle entre le pont et son poste d’observateur, il commença à descendre. A mi-chemin, par inspiration Marcus regarda une dernière fois les horizons pleins des vagues et ce qu’il vit le remplit de frayeur. De gauche à droite trois navires pointaient à l’horizon et camouflé par une brume épaisse. En fait il n’était pas sûr. Il aurait pu se convaincre d’halluciner, il se figea. Remarqua la différence entre les trois bâtiments. Les voiles noires de la veuve étaient à L’est et les deux autres, plus blancs étaient derrière eux et à l’ouest. Il pointa du doigt avant de se laisser descendre en toute hâte. Pas le temps pour la prudence. Il glissa et retomba entre le capitaine Barahk et Barbon
-Des navires, ils sont trois de ce que j’ai vu…reste à savoir s’il y en a d’autres.
Sans l’ombre d’une surprise Barbon dessina un sourire de Maniaque. Ses cheveux laissaient la marque du passage des crachins comme tout le monde. Marcus senti son sang bouillonner. C’était une situation désespérée mais intérieurement il se réjouissait à l’idée qu’il avait des gens beaucoup plus expérimentés que lui et qui connaissaient le danger, sinon pourquoi le sourire du capitaine barbon ?
-C’est bien ce que je pensais. Fut le capitaine Barbon. Il hurlait presque
Les vagues rendaient sourds toute communication et chaque membre devait s’accrocher à quelques choses pour ne pas glisser ou se cogner à quelques choses
-Nous ne pourrons pas fuir éternellement, intervint  capitaine Barahk en tenant le gouvernail, ce que nous pouvons faire c’est de trouver un refuge proche. Il y a bien des ilots a quelques heures d’ici si je me fie à mon expérience. On s’en servait pour conserver nos provisions de Rhum
UN rire nostalgique en suivit de deux capitaines
-Va dans la cale, réveille les autres et armez-vous. Si nous voulons nous en sortir il faudra être prêts.
Marcus obéit et se précipita. Il écrasa la distance des marches pour atterrir sur le plancher. Les autres pirates savaient déjà à quoi s’attendre. D’ailleurs il remarqua deux rangées dans le fond de la cale. Les uns étaient prêts des canons et ramenaient près d’eux les boulets entassés dans des trappes de filet et suspendu en hauteur. Narhak était au commandement mais se détourna aussitôt Marcus se trouvait derrière lui
-Que fais-tu ici, Marcus ? tu vois bien que ces braves rats de mer veulent nous couler. Dès qu’ils seront assez proches, nous attaquerons en premier. Trouve toi une cachette.
Marcus senti sa colère monter au créneau. Il se dirigea près de l’armeriez et se saisi d’une épée à double tranchant. Il prit entre ses doigts un poignard ressemblant à ce que maniait Narhak contre l’agent de la marine et le cacha sous sa ceinture. Il remonta sur le pont. L’espace d’une minute les navires proches d’eux n’étaient à quelques dix ou treize mètres autour d’eux. Les voiles allaient bientôt s’emmêler et les vagues se faisaient de plus en plus forts. Elles ne se calmaient pas et pire de tous, la pluie se décida de se joindre à la fête. A l’étage inferieure une série de détonation retentit et ce fut les navires proches qui en payaient les frais. Narhak n’avait pas menti. Le navire de la veuve eut quelques trous mais répliqua aussitôt par des coups de canons bien trop puissantes. Le navire rata de se renverser. Ils résistent en s’accrochant. Marcus glissa sur le plancher et tomba. Sur les voiles, les premiers crochets du navire de la veuve s’accrochaient déjà aux planches soutenant les voiles, puis sur les bords du navire. Ils étaient immobilisés. Cinq hommes volaient par les airs a. malgré les vagues intenses et la pluie, ils se jetaient par-dessus le navire en s’accrochant a des cordes. Ils atterrissaient sur le pont a trois ou quatre mètres d’eux. Marcus les observa. Ils étaient robustes. Deux étaient torses nus portaient des culottes renfermées au niveau de la cuisse. Des sabres à la main. Ils s’engagèrent dans la lutte. Sans comprendre pourquoi, Marcus charge en premier. Il se rappelait constamment de la façon d’attaquer. « Ne pas attaquer par la pointe de la lame » il avait toujours ce mal à prendre la décision. Entre attaquer ou défendre, il ne sut que faire. Il savait juste qu’il avait foncé sans réfléchir et une décision serait nécessaire. Avant qu’il n’arrive vers son adversaire, deux hommes tombèrent au sol après un éclat des balles. Le capitaine barbon et BArhak avaient éliminé leurs adversaires grâce à leur pistolet
-Ça sera plus équilibré comme ça. Disent-ils en chœur
Marcus croisa le fer avec l’homme en face de lui. Plus grand certes qu’il ne souffrait plus de ce complexe mais de force égale quand ils échangèrent quelques coups de lames qui laissaient des étincelles malgré la pluie. Il réfléchissait sans cesse. En croisant de nouveau, l’homme tenta de le saisir par le cou. Il se souvint de ce traitement avec l’officier de la marine et riposte aussitôt en plantant le poignard dans le bras de l’homme. Il innova sur ce coup en copiant sur la stratégie du second Barahk. L’homme recula mais à peine fut-il que Marcus se balança de toutes ses forces pour plaquer l’homme au sol et dans le même timing transpercer son ventre. Le sang tacha sa chemise et d’autres giclèrent sur son visage. Heureusement la pluie l’en débarrassa. Les capitaines aussi en avaient fini avec les deux autres sans montrer le moindre signe d’effort. Une petite accalmie s’observa. Marcus reprit sa lame et son poignard de la main du défunt. Il y a quelques semaines il ne s’en serait pas senti capable pourtant face à l’enjeu d’une vie, il se sentait capable de tout. Le capitaine Barahk descendit dans la cale. Barbon coupa les câbles qui les attachaient et les ralentissaient. C’est à ce moment qu’un orchestre de tambour se leva du côté du navire de la veuve. Un tambour annonça l’assaut. Marcus se sentit comme la proie. Barbon se saisit du gouvernail et sorti aussi un compas. Il le tourna dans le sens inverse de la direction qu’empruntait le capitaine. Le navire tourna, s’inclina presque et déchira les vagues il se dirigeait presque sur le navire de la veuve
-Que faites-vous ? proche, nous serons à la portée de leurs canons.
Le capitaine ignora les remarques de Marcus et continua à maintenir son cap. Barahk vint aussitôt avec quatre hommes à eux. Il ne fut pourtant aucune remarque et laissa faire son ami. De plus en plus proche, il s’éloigna du gouvernail et tira son sabre du fourreau. Aussitôt un vent souffla. Les voiles tinrent comme si elles étaient habitées d’un nouveau souffle. Le navire sauta presque d’une vague et une autre et passa la coque du navire de la veuve, il s’y heurta presque. Le choc fut intense et ils s’accrochèrent de nouveau pour ne pas se faire entrainer par les secousses
-Nous devons trouver terre, sinon nous sommes perdus.
Les navires à leur trousse ne perdirent pas du temps pour autant et continuèrent à les coller malgré les vagues et la pluie qui les empêchaient de s’entrevoir. Le bâtiment se secoua violement comme s’ils avaient été heurté par quelque chose d’autre. Par intuition, Barahk secoua la tête en regardant barbon
-Nous avons été harponné et par plusieurs cordages.
L’autre respira doucement. Força le gouvernail pour tourner mais la manivelle semblait bloquée. Les harpons l’en empêchait. Le navire émit un grognement de détresse. Un bruit ressemblant a un gong sous l’eau. Peu de temps après Le second et les hommes sous la cale qui manœuvraient les canons vinrent en hâte
-L’étage inferieure est perdu. Ils ont une plus grande force de frappe que nous et nous avons épuisé le stock. Fut un homme
-Ce n’est pas malin. Après notre interception du récent navire marchand nous n’avions plus fait le ravitaillement et nous voilà dos au mur. Barbon, sommes-nous toujours loin d’une quelconque ile ou nous pouvons nous retraiter ?
-Il y a un archipel à quelques minutes d’ici. Fut Barbon en restant fixé sur son compas. Tournant le gouvernail tantôt à gauche, tantôt à droite. Ce qu’il faut surtout c’est tenir bon jusqu’à ce qu’on y arrive ce qui est mal barré vu que nous nous sommes faits harponner. Il faudra se défaire de ces liens pour les devancer. Bien sûr tu auras ton rôle à jouer BArhak. Il finit avec un ton doux et se reconcentra sur sa tache
-Nous devons gagner du temps alors.
Barbon sorti sa lame et se dirigea vers la poupe
-J’aurai besoin des volontaires pour aller sur le navire de la veuve. Nous devons à tout prix se défaire de ces liens.
-Je viens avec vous. Fut Marcus en passant devant. Il ignorait d’où lui venait cette fougue mais fut le premier. Narhak fut pareil. Le capitaine lui adressa un regard de mécontentement. Elle ignora. Marcus fut le premier à le remarquer. Il avait su pour leur relation.
Marchant cote a cote, trois autres personnes se joignirent à l’appel du capitaine. Il fut un brief de ce qu’il attendait d’eux. Cinq hommes monteront sur le navire de la veuve et les autres empêcheront les pirates d’atteindre le navire
-Je me dois de vous dire combien c’est une entreprise périlleuse alors soyez très vigilants. Sur ce navire, la veuve qui utilise de la magie pourra vous embrouiller l’esprit. Même moi je le crains.
Il marcha ensuite jusqu’à la poupe. Scrutant, trois cordes en acier avec des harpons qui s’enfonçaient dans les planches du navire. L’équipe monta sur l’échelle fait en cordages et qui se balançait de gauche à droite à chaque fois ou l’on avançait d’un pied. Quoi que le bateau de la veuve soit proche, le brouillard et la pluie aida à camoufler leurs intentions si bien que le seul fait d’essayer d’enlever les pointes d’harpons sur le bâtiment suffit à attirer toute l’attention vers le capitaine BArhak et les deux hommes à ses cotes.
-Es-tu prêt ? lança Narhak a Marcus, C’est comme sauter à la corde. Tu vas vite t’habituer Marcus. J’ouvre la voix.
Narhak passa en avant. Saisi une longue corde et s’assura qu’elle était solidement attachée. La vue en hauteur donnait le vertige. Marcus concentra son attention sur un point fixe. Narhak se lança, un autre le suivit et puis vint le tour de Marcus. Inspira une bouffée d’air frais, il se lança aussi dans les airs. Le vent froid mêlée a quelques crachins lui éclaboussaient le visage. Il passa au-dessus de l’eau agitée et perçu quelques hommes qui se servaient des harpons pour essayer de passer jusqu’au bâtiment du capitaine BArhak. Apre un instant ils atterrirent sur les charpentes des voiles. En dessous c’était des bruits de tambours. Qu’une vingtaine d’hommes. Marcus trouva bizarre qu’un tel assaut soit composé d’une si petite équipe. Malgré cela elle était encore plus impressionnante que la leur. L’attention portée sur le navire qu’ils allassent intercepter, les pirates de la veuve ne s’aperçurent de rien. Ils glissèrent le long des cordes et passèrent par l’arrière. Il y avait une grande fenêtre verrouillée. Marchant sur la pointe des pieds, ils s’en approchèrent sans le moindre bruit
-La veuve n’est pas sur le pont…se peut-il qu’elle soit dans ses quartiers ? si tel est le cas nous pouvons y entrer et attaquer par surprise. Avec cet effectif, nous aurons l’effet de surprise et pourrons mettre fin à cette querelle en un rien de temps. Un homme chuchota ces mots a Narhak. Malgré la situation, son avis comptait. Il était le second et tous le respectait. Sauf Marcus qui ne se considérait comme un membre à part entière de l’équipage
-Pensez-vous pouvoir surprendre une louve de mer ? fut remarquer Narhak avec pessimisme, elle utilise un sabre élémentaire et la sorcellerie…ce n’est pas rien. Nous sommes là pour essayer d’endommager le gouvernail ou semer la panique pour qu’ils ne nous rattrapent pas. La marine si vous l’avez remarquée ne suit que l’itinéraire de la veuve. Sans son bâtiment ils abandonneront la course.
Marcus considéra la remarque. Il avait toujours trouvé la participation de la marine tant redoutée. Et si quelque chose clochait ?
-Je comprends bien votre argument, fut l’homme en faisant passer son sabre entre les bords de la fenêtre. Il crocheta habillement ensuite la serrure de l’intérieur.
Il était trop tard pour l’en empêcher. Il fut aux autres le signe de s’éparpiller. Marcus obéit et prit la gauche, Narhak la droite et l’homme, costaud voulu passer par la fenêtre. Il rentra et un brin de silence s’observa. Tous tendirent oreille jusqu’à l’éclat d’une verrerie. Ils vinrent alors leur compagnon sortir par la fenêtre comme s’il n’était qu’une brindille qu’on projette. Il s’écrasa sur le plancher quand un cri de rage raisonna dans la pièce. Une fureur dans la voix d’une femme
-Attrapez les. Je vais les faire rôtir.
Des bruits des pas qui accourent. Il n’y avait plus place à la panique. Tous prirent la même direction avant que les adversaires ne les encerclent. Narhak ouvrit la voie, Marcus derrière lui et a peine foulèrent-ils les pieds sur le pont qu’un gardien sautait de l’étage supérieur et amena Narhak au sol. Ils se débattirent. Marcus tourna le regard et vu un homme venir vers lui. Il en avait désormais l’habitude. Tenant fermement son épée dans une main ils échangèrent les premiers coups. Au vu d’œil l’homme était imprudent et lançait la plupart de ses coups au hasard. Que les leçons de Maximus étaient précieuses. Dès que l’homme frappa un coup à l’horizontale, Marcus se courba et le tacla, il tomba et Marcus l’acheva d’un coup d’épée dans la tempe. Quant à Narhak, l’homme qui avait foncé sur elle gisait aussi au sol, baignant dans son sang. Tout se passait à une vitesse folle. Ils accoururent et d’autres déferlaient, il y avait trois hommes près du gouvernail. S’il s’en débarrassait, ils seraient tranquilles pour fuir
-Je vais leur dérouter mais pour ça il faudra que j’atteigne le gouvernail. Dit-il dans une respiration saccadée par l’effort
-Quoi ? Tu n’y arriveras pas Marcus.
-Il le faut pourtant. Ils se lancèrent de nouveau dans la lutte. L’homme qui vint vers lui fut évité. Marcus se fraya un chemin, il passa sur les escaliers de gauche d’où aucun homme ne venait. Il fit trois pas mais fut rattrapé par l’homme qu’il évitait. Il était sale avec des cheveux en boucles. Dans l’étroite allée, ils échangèrent deux coups ensuite Marcus le frappa d’un coup de pieds dans le ventre, il en profita pour le désarmer et continua sa route. L’homme gisait au sol en se tordant de douleur
Il continua son ascension, plus que quelques marches, il fut rapidement à leur niveau. L’homme qui tenait le gouvernail fut surpris à le voir. Ordonnant ensuite à son compagnon de se jeter sur Marcus. Il n’en fut rien puisque les trois furent emportés par des violentes secousses
-Merde pas ça. Marmonna l’homme, ça devait être lui le navigateur de la veuve
-Quoi ? qu’est ce qu’il y a ?
-C’est le cap des rochers. Avec cette tempête nous ne pouvons la traverser.
Ils furent de nouveau secoués. Marcus regarda par-dessus le bord et vu une formation étonnante des roches dans laquelle ils naviguaient depuis. Des rochers qui s’élevaient dans l’eau. Atteignant les vingt mètres. Il se ressaisit et se releva. Les deux hommes le regardèrent et sans crier garde s’enfuirent. Marcus se précipita alors vers le gouvernail. Le navire se heurtaient à chaque progression. Tantôt les vagues, tantôt les rochers. Des bruits de gong raisonnaient partout quand le bois se heurtait aux pierres. Il commença à frapper avec son pied sur le gouvernail. Il s’y acharna avant d’abandonner et regarder autour de lui. Il vit un bout de planche sur laquelle était plaquée un métal. Le ramassa et se remit à la tâche. Il était à sa cinquième tentative et si près du but qu’il sentit une présence derrière lui. Une femme de la même taille que lui mais presque son double par le poids et la masse. Portant une ceinture en acier et une armure d’argent. Protégée par-dessus tout par une cote des mailles jusqu’aux bras. Elle laissait ses cheveux flotter au vent et pointait son sabre vers Marcus. Un long nez crochu et des cernes sur le visage ou bien s’agissait-il d’un maquillage. Elle dégageait une méchanceté sans pareil a la perception de son aura. Marcus fut surpris et n’y compris rien de premier abord. Il la voyait comme de l’intérieur et elle était entourée d’une fumée semblable à un crane dansant dans les flammes
-Comment pouvez-vous être aussi téméraire ?
Au son de sa prononciation, Marcus fut confus entre la voix d’une femme et celle d’un corbeau. Il savait que ces créatures ne parlaient pas mais à l’entendre c’était presque le cas. Un croassement dans ses mots. Marcus avala une goutte de sueur. Il se sentait paralysé. Il jeta un dernier regard sur le gouvernail près de lâcher et voulu y porter un dernier coup avant de chercher un moyen de s’enfuir mais à peine voulu-t-il mettre en exécution sa volonté qu’il senti son corps soulevé dans les airs par une force invisible. On y dit que c’était un géant qui le jeta par-dessus le bord. Tournant plusieurs fois il senti une dernière fois son dos taper contre l’eau froide et s’enfonçant dans la mer. Plus profond et incapable de bouger, il se laissa aller à cette paisible sensation en s’éloignant de plus en plus de la lumière du jour. Seule sa main restait en hauteur pour espérer une quelconque aide. Conscient qu’il était trop tard. Ses poumons étaient remplis d’eau et ses narines aussi. Marcus sentait la mort venir a lui

RÊVERIE : UNE NOUVELLE ÈRE DE LA PIRATERIE (TOME I)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant