Bad Thomas Sangster.

Chapitre 41:

- 2 JOURS PLUS TARD. -

PDV Léa:

Nous sommes samedi, et Thomas sort cet après midi de l'hôpital!

Je m'habille avec un pull gris, un pantalon noir et un ugg grises, car oui, nous sommes en plein mois de janvier, et on se les pelle!

J'enfile une grosse doudoune de couleur noire, avant de sortir de l'appartement.

Je prends le bus pour aller jusqu'à l'hôpital.

Arrivée la bas, je grimpe les marches de l'extérieur 3 par 3 tellement je suis pressée de le revoir. Même si je l'ai vu hier!

Quand j'entre dans sa chambre, ce dernier est entrain d'enfiler sa veste en cuir alors que le médecin est entrain de lui expliquer des trucs médicaux.

D'ailleurs Thomas a l'air de s'en foutre complément vu qu'il n'écoute rien à ce que le docteur lui dit...

Quand il me voit, un grand sourire illumine son magnifique visage.

Je lui rends son sourire, en attendant près de la porte que le docteur finisse son monologue sur les accidents de voiture, sur les médicaments à prendre, les soins à faire... Mais bref d'après Thomas rien de grave! Tu parles...

Quand c'est terminé, je sors dans le couloir, Thomas sur mes talons.

«Je pensais qu'il ne l'a fermerait jamais!» soupire t-il.

J'explose de rire, ce mec est vraiment impossible, si il n'existait pas faudrait limite l'inventer!

«C'est pour ton bien abruti!» lui dis-je.

«Mouais...» marmonne t-il.

On se dirige vers l'extérieur pour prendre un taxi, car la voiture de Thomas est restée devant notre immeuble, et puis avec sa jambe blessée, il ne peut pas conduire.

Quand la voiture du taxi arrive, on grimpe tout les deux à l'arrière. Je regarde l'heure sur mon portable. Ce dernier annonce 18h30. Et dire que la nuit est déjà tombée sur Londres...

Après quelques minutes, alors que le trajet se fait en silence, je sents une main glisser lentement sur ma cuisse.

J'eus un hoquet de surprise, il joue à quoi encore celui la?

Le son du frottement contre le siège prouve qu'il c'est rapproché un peu plus de moi.

«Arrête ça.» chuchote-je, très doucement, pour que le chauffeur n'entende pas.

Il ne répond rien, mais je le vois sourire dans la pénombre. D'un sourire vicieux qui me prévoie rien de bon.

Quand je disais que ce mec n'est pas croyable!

Sa main remonte lentement et dangereusement le long de ma cuisse, alors que moi, je bouge sur mon siège, mal à l'aise du fait qu'on ne soit pas seuls.

Mais lui, ça a plutôt l'air de l'amuser...

Le taxi s'arrête, et c'est ce qui me sauve! Thomas le paye, puis je sors en trombe, Thomas toujours sur mes talons.

Dans l'ascenseur, il me regarde avec désir, à croire qu'il est toujours affamé ce pauvre gosse...

Au moment ou il se rapproche de moi, les portes s'ouvrent! Encore sauvée, je sors de l'ascenseur, et il grogne.

Arrivés dans notre couloir commun, Thomas enfonce sa clé dans la serrure de sa porte, en s'appuyant sur sa jambe valide.

Alors que je m'apprête à me diriger vers la porte de mon appartement, il m'attrape la main, et me tire jusqu'à lui.

Je peux voir le désir dans ses yeux. Un sourire carnassier apparait alors sur son visage et il me pousse à l'intérieur.

«Ce ne serait pas plus sage de te reposer après tout ça?» tente-je.

«Sage?» me dit-il, en haussant les sourcils.

Je roule les yeux au ciel, alors qu'il me plaque brusquement contre le mur, ce qui me fair échapper un petit cri de surprise.

Mais quand il pose son regard sur moi, je vois tellement de choses dans ses yeux, tellement d'amour et de sentiments. Tellement de désir.

[Attention Lemon.]

Il plaque doucement ses lèvres contre les miennes, et c'est si doux, si tendre, que je décide de m'abandonner à ce baiser.

Je sens le désir monter en moi, et alors que je le pousse un peu de moi, un sifflement de douleur s'échappe de sa bouche, et il se frotte sa jambe.

«Pardon..» dis-je, gênée.

«C'est rien.» me dit-il, en me re embrassant.

Je n'ose pas me jeter sur celui suite a sa blessure, j'ai comme un bloquage mais j'ai tellement envie, envie d'être dans ses bras.

Je commence donc à le tirer tout doucement vers moi en le fixant droit dans les yeux passant ensuite mes bras autour de son cou l'embrassant à plusieurs reprises sur ses lèvres que j'aime tant.

Je suis tellement heureuse de le retrouver, je vois qu'il commence à avoir mal à sa jambe, je l'ai donc allongé sur le lit, je me suis glissée au dessus de lui venant l'embrasser de nouveau.

Il retire sa veste en cuir avec difficulté, car je suis assise en cheval sur son bassin.

Je prends sa chemise venant déchirer les boutons de celle-ci l'ouvrant fortement griffant ensuite son torse tout en l'embrassant.

Je commence ensuite à descendre petit à petit tout en le griffant légérement de plus en plus bas afin d'enlever son pantalon et son caleçon saisissant ensuite sa verge tout en le caressant.

Je sens une chaleur venir en moi, j'ai donc enlevé mon haut ainsi que mon soutif.

Thomas n'arrête pas de fixer ma poitrine alors que je remonte vers ses lèvres, en faisant attention de ne pas toucher à sa jambe blessée.

Je m'écarte pour enlever mon jean, toujours sous son regard très insistant.

Je me replace sur lui, en attrape sa lèvre inférieure avec mes dents, ce qui lui arrache un petit gémissement.

Ses mains glissent sur mes cuisses, en saisissant les deux côtés de ma culotte en dentelle, puis il tire fortement dessus, et cette dernière se déchire.

Je me soulève légèrement, en faisant glisser lentement sa verge à l'intérieur de moi, en gémissant doucement.

Je commence ensuite à faire de lents vas et viens, alors que la respiration de Thomas s'accélère.

Ses mains se posent sur mes hanches, essayant de me faire accélérer le mouvement.

Je fais alors des vas et viens de plus en plus rapides, c'était tellement... Indescriptible.

Il me donne tellement de plaisir, au moins autant que moi je lui en donne, vu ses gémissements.

On finit par jouir en même temps.

Je suis épuisée, je pose ma tête contre son torse, tout heureuse tout en lui fesant quelques bisous dans le cou.

Nos respirations se calment peu à peu, alors que je suis toujours allongée sur lui.

Je commence à fermer les yeux, pensant encore et encore à lui.

«Je t'aime.» me chuchote t-il, en brisant le silence.

Je suis surprise par cet aveu.

«Moi aussi...» murmure-je, juste avant de m'endormir.

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Hey! Ce chapitre est un peu plus long que d'habitude! Vos avis? JE PARS ME CACHER POUR CE LEMON MDRR.