Oh non.
Oh non, non, non, non, non.Mince. La seule chose que je devais respecter pour ma sortie c'était de rentrer à temps à l'infirmerie pour ne pas faire attendre ma famille et surtout pour qu'ils ne sachent pas que je suis sortie. Et qu'est-ce que je fais ? Je m'endorme et me réveille à 17h alors que je devais les voir à 16h30.
Il faut maintenant que je me dépêche. Leur mentir est proscrit. Je ne pense pas qu'ils acceptent l'excuse "Je suis allé me soulager" sachant que j'ai trente minutes de retard.
Bon je me dépêche il ne s'agirait pas de perdre encore plus de temps en pensée inutiles. Je referme rapidement la porte en faisant le moins de brut possible, et retourne sur mes pas en direction de l'infirmerie.
Le couloire est assez vide, les nobles doivent etre dans un salon en ce moment ou savourant la chaleur dehors sur la place centrale ou dans les jardin. Je ne croiserais surement personne ici. Peut etre des domestique mais seul un regard ternirais leur curiosité.
Je suis presque arrivée, l'infirmerie se trouve dans le couloir adjacent. Une silouhete se dessina soudain au loin. Avançant a grands pas... dans ma dirrection. Je voudrais me soustrere derriere un pan de mur mais trop tard pour moi, il m'avait dejas apperçut et je ne pourrait esquiver la discution.
--Prinsesse adelheid, comment vous portez vous.
--bien duc de Berry que me vaut votre presence a mes coté..
J'était déjà en retard, alors maintenant que le duc m'importune c'est le comble. Mais il faut bien que je lui reponde pour soigner mon image, d'autant plus qu'avec les derniers evenement c'est loin d'etre le cas. Et père me tuerais s'il apprenais que je me suis mal comporter devant le grand duc son plus fidel accolite.
--Je me demandais princesse avec quelle prestence suivez vous les avancement de la cour. Des agissement plutôt impudant, ont été noté aupres de votre frere, son Altesse le prince Marc. Et avec l'enlevement de votre frere cadet, il ne faudrait pas que j'observe de nouveau debordement...
Pardon. On ne m'a rien dit de tous ça, et qui plus est la disparition de mon frere ne devrait pas encore etre rendu publique. « non mais de quoi vous vous meler les affaires du roi ne sont pas les votre. Ne vous soussiez pas de nous, vous cherchez non pas a nous aider mais seulement a trouver la gloire. » Ça c'est ce que j'aurais aimé dire mais je repond simplement :
--oui, il me semble en avoire pris compte ressement mais etant rester en convalescence ces dernier jours, il me faut encore reprendre les detail de l'affaire.
--oh, princesse Adelheid, je voie que vous vous porter mieux qu'il y a quelque temps...
Oh non. Ma journee part de deception en deception. Il ne manquait plus que la femme du duc pour m'inportuner. Cette femme n'a aucune pudeur, elle passe ses journee dans des salons et ne prend soin que de porter une nouvelle robe plus denuder que la precedente ou de collecter les derrnier ragot de la cour. Cela ne serait pas etonnant que les information u duc provienne d'elle. Je ne la suporte pas et sa presence me gene encore plus que celle de son mari.
--bonjour Frau Berry, je suis ravie de vous voir, comment vous portez vous ?
Mon sourire focer avait la de quoi faire palire les dent de requin. Mais cela ne tient pas que de moi, tout l'equilibre precaire de la cour repose sur des sourrire forcer et sur des mensonge. Mais celui la devait convainquant parceque la femme du duc me repondit, toute contente d'avoire attirer mon attention.
--bien, tres bien meme, mais je suis sur que ça pourrait aller mieux.
Voila, toutes les femmes qui m'aborde sont pareil, aucune ne derange a la regle. Elle ne me parle seulement et seulement si elles ont une faveur a me demander et qu'elles ne penvent directement la soumettre au roi ou a mon frere ainé.
--voyez vous je serais ravie de vous ecouter et je me ferais une joie de vous aider mais je suis attendu et je ne saurait me retarder, au plaisir de vous revoir Frau.
J'adresse un leger signe au duc et me dirige vers ma première destination ruminant sur ce que je vais bien povouire dire a mon frere et a mon père. Mais la porte arrive bien vite, ne me laissant pas le temps de poser d'avantage de question.
A peine eu je frapper un petit coup que celle-ci s'ouvre a la vole et que je suis attirr a l'interrieur par mon frere furieu. Lui et mon per me devisage d'une expession tout sauf accueillante.
Je me mordis la levre. Je ne pris meme pas la peine d'escisser un geste, sachant pertinament que je serait vite couper. C'est mon père qui prends la parole en premier ayant surement convenu avec mon frere qu'il se taise. L'infirmiere quant a elle s'enfuit discretement preferent surement ne pas participer a notre dispute.
--TOI, Ou était tu donc passer !
--Je...
--Non, tu est aller la bas n'esse pas tu est reparti alors que je t'avait dis de ne pas perdre ton temps en recherches inutile. Ta mere aussi tetu était elle n'avait aucun secret et elle me disais tout. Alors cesse tes enfantillage et arrete de croire en des histoire d'enfant. Tu a seize ans pardis !
Ma pus grande ereure me retombe encore dessus. Quand j'ai retrover le carnet, je l ai immediatement montrer a mon père mais il m'a dis de le jeter qu'il n'avait aucune importance. Mais evidement je ne l'ai pas ecouter et il l'a apris me repetant ce sermon encore et encore.
--je suis seulement aller la bas pour me detendre et sortir de ma torpeur père, je n'ai meme pas ressortit le carnet. Mentis je
--Bien sur que non, nous le savons tous. Mais soit je vais faire l'impasse et te croire mais ne sois pas si soulager, pour y etre aller sans permission et en plus revenir en retard tu vas me netoyer toute la chambre pendant que je m'occupe de la cour, le prince français sera la pour te surveiller je vais de se pas le prevenir. Et ne t'avise pas de t'y deffaire, tu n'en feras rien. J'y veillerais ou tu sera reelement exclu du pallais pour de bon.
--Bien père... conclus je une boule dans la gorge.
Ils sortirent et me laissèrent seule. A peine ais je entendu les pas sortir que j'eclate en sanglot. Cette journee n'est vraiment pas la mienne. Je ne peux.. je ne peux pas la netoyer, j'effacerais tous les souvenir de ma mere. Mais au fond de moi j'ai toujours su que ce moment arriverait. Il faut que je me reprenne. Je vais aller de se pas dans la chambre et recuperer le carner pour le cacher dans la mienne ensuite je pourrais netoyer demain aux aurore et mon père me reconsidérera enfin.
Oui, a partir de se jour, je desside de ne plus jamais me laisser faire et de reprendre en main.
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Voilà mon dernier chapitre en avance, je n en ai plus donc c est possible que je ne puisse pas publier avant un certain temps, mais je m engagé à finir cette histoire coûte que coûte et à aller à son terme même dans un grand délai...
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Les Secrets de la Couronne
FantasyQuand la petite fille timide reste presque la personne la plus puissante de la cour. Entre les intrigues politiques, les menaces d'attaque et ces nouveaux alliés. Pour la Princesse, tout les coup sont permis. Afin de naviguer entre tous ces dangers...