Chapitre I

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Je me réveille en sursaut. Les matins n'avaient jamais été miens. D'un jour à l'autre chaque réveil me révèle une épreuve, un jeu, une journée à la cour.

Aujourd'hui ce n'est guère ma meilleure nuit, je n'ai point trouvé le sommeil et d'horibles songes me hantaient, troublant mon someil. Ce matin encore ne faisait pas exeption.

Je marchai à la hauteur de la fenêtre en quête du soleil qui m'indiquerait l'heure actuelle, hélas les nuages gris en amas dans le ciel Prusse cachaient le soleil naguère bien visible cumulant comme au dessus de tous.

Je tendis ma main près de mon lit à baldaquin vers le chambranle recouvrant la corde de service pour appeller mila ma meilleure domestique. La seule m'offrant une oreille attentive, sans toutefois rendre libre cour a sa curiosité.

Elle arriva si vite que je n eu le temps que de m assoir sur ma chaise devant le grand mirroire. Mila se présenta rapidement et se mis au travaille tressant mes cheuveux blond en une longue natte élaboré.

-- votre altesse, la princesse Adélaïde me permettrait elle de lui demander si elle a passé une nuits légère

-- mila je t ai dejas demander de ne pas t appuyer en distaigtions honoriphique avec moi.

-- Hélas mon rand me l obligé princesse Adélaïde.

-- Et puis appeler moi Heidi. Retorquai je sur un ton sans appel, mettant fin au cour échange

Je ne suis pas d humeurs ce matin pour continuer à parler de mondanités, mon devoirs m appelle. Je suis contrainte d assister aux réunions stratèges de mon cher père ce matin et de me préparer pour le gala en l honneur du dophin de France, le prince Arthur.

Confuse de m avoir mise en colère mila se retire me laissant seule, mes cheuveux tressée et ma robe posé sur mon lit. J arrache non sans mal mon corset et enfile ma robe bleu neutre, mêlant courage et sobriété. Je m occupe ensuite de mes bottes que je lasse en des nœuds serré. Je glisse mon épée, confience dans son fourreau et la passe à ma taille.

Étant la seule de la fraternité Royal a avoir reçut une éducation dans les art de combats, je me dois de garder mon épée, montrant ainsi la force de la famille. Par ailleurs une fois l idée étrange que puisse être pour une princesse de manier les armes appréhender, le poids de confience devient quelque peu confortable et rassurant. Ce n est pas d ailleurs sans état  d âme que je lui aie associé se nom, elle représente ma seule force et la seule chose qui ne me trahira jamais.

En éco à la question du nom le mien à été choisi par ma genetrice. Il peut signifié l amour et la passion, l idée qu' à reçut ma mère, feu la reine Elisabeth. Mais mon père lui me l a confié en vertu de sa seconde significations, le courage et la réflexion, image qui m aie favorite. Quant au diminutif d'Heidi, c est moi qui me l aie attribué, il est plus marquant et me permet de le confié à un entourage restrain à qui ma confience est accordé.

Ma toilette accordé à quelques bijoux supplémentaire, je me dirige humblement vers la salle des stratèges. Malgré mon réveil relativement tôt, je risquait d être en retard, ma suite étant à l opposé dans la partie est du château.

J'ai passé depuis longtemps le temps de me faire battre, mais mon père m accordait des sanctions plus atroce. Sachant pertinament que j'excecre les gala et les bals, il m'intime ou plus exactement m'ordone d assister à nombre d'entre eux, dansant jusqu'au enflement de mes chevilles, espérant trouvé le prince d une digne contrer étrangère, qui demanderait ma main. 

Moi, je ne puis m y résoudre, le simple fait de penser a un mariage me répugne. Mais le devoir de seule fille de la fraterie royale, m oblige à épousé un des princes vaniteux des peuples frontalier afin de stabiliser la paix entre les royaumes. Parfois, il m arrive de me perdre dans mes pensées m imagine vivre comme une paysanne, sans devoirs et sans représenter le royaume.

M étant perdu dans mes sombres pensé, je n ai guère vu le temps passé, arrivant devant la salle des stratèges ou les cris du roi et des généraux se faisait deja entendre.

J entre, frappant au préalable, et salut mes supérieurs, le roi, et mes frères par une révérence se voulant gracieuse et les autres d'un simple signe de tête.

-- bonjour, je vous pris de bien vouloir excuser ce retard inopiné, je me suis vu contrainte de me préparer en vitesse, alors je vous paierai aussi de ne pas tenir compte de mon ecoutrement.

-- Prenez place parmi nous, Princesse Adélaïde. Me réponds poliment le général en chef.

-- reprenons tona le roi, les anglais ont attaqué pendant la lunaison dernière comme vous le savez, les attaques ont été vaines. Nos troupes armé, assisté du général De Rosenblatt, on repoussé l ennemis avec vigueur et se prépare pour une contre-attaque sur l île de jersey.

-- Heu, puis je me permettre de vous couper, interviens je, il ne serait pas préférable de rester sur la défensive. Je ne pense point que les anglais ai effectué de vrais attaques, il semblerait plutôt qu'ils aient eu recours à une diversion. Les attaques etait dans des lieux très peu stratégique et qui plus est en plein jour.

-- Ne contrecarrer pas mes plans. L attaque aura bien lieu et ce des demain dans la soirée. Général, je vous pris d'organiser l'assaut. Le conseil est levé.

-- Bien, j emporterait mes deux divisions au sol ainsi que une petite partie de la flotte navale.

Très bien, moi comme dans nos habitudes, personne ne prend ne serait ce que la peine d'évaluer mes doutes. Je retournai déçu, pour changer, à mes appartement, me laissant choir dan un fauteuil en attente de mon déjeuné . 

Celui ci arriva bien vite, accompagné d'un message très insistant de mon père :

Ma fille,
En tant que princesse, seule princesse du grand royaume de Prusse tu te doit un comportement correcte et digne des exigence que je mets en toi.

Je te paierai ainsi de ménagé ta langue dans le prochain conseil. Tu n y est pas convié dans le but de me provoqué mais seulement pour amélioré ta connaissance sur les stratégies militaire.
          LE ROI RESPECTÉ DE PRUSSE

Le message a été grifoné à la hâte, et ne cache point le caractère de mon père, montrant encore une fois l hostilité qu il m associe.

Mon repas terminé je le remet à Otto mon cuisinier, avant de m accorder une courte pause de someil avant le grand gala.

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