Chapitre XXVII

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La lune était haute dans le ciel. Et nous étions bien levé, en armure pour les garçons et moi j avais troqué ma robe toute sale et trouer contre une robe plus courte, et beaucoup plus pratique pour le combat.

Apolline elle avait récupéré ma robe, la sienne était dans un état bien trop propre pour le rôle qui lui était attribué.

On s appretai a partir à l assaut, mais juste avant de m élancé je repassé toutes les étapes du plan dans ma tête, à la recherche d'une faille qui pourrait nous être décisif. Mais ses trois derniers jours avait été pris pour étudier ce plan. Alors à moins d avoir oublié de prendre un élément en compte, il n y aurait sûrement pas de gros problème, et dans le pire des cas, il suffit que je figé le temps. Un tour que j avais appris il y a quelque jours pendant notre voyage, plus par maladresse.

--☆-- Flash-back

Je marchait doucement dans la danse forêt. Mes pieds me ferait mal, on marchait depuis si longtemps. Les autres était déjà bien plus en avant par rapport à moi, qui devait fermer la marche. J aimerait juste m endormir pour ne plus me réveiller, il se fait un temps en ce moment où je regrette les jeux de la cours, seulement basé sur les commérages des dames.

J entend mes bras. Ce soit nous devrions arriver à côté de la base, ensuite nous resterons la journée du lendemain juste devant avant d attaquer le soir.

Soudain, je rentrais dans quelqu un. Croyant que c était un arbre, je repris ma route, avant de remarquer qu'il s agissait de Lothar. Ne comprenant pas je lui dis qu'il se devait d avancer, mais sans engendrer la moindre action de sa part.

Je le regarde eberlué, avant de me tourner vers les autres qui étaient dans le même état, mais avant d avoir pu réfléchir un instant de plus, il se remirent tous en marche, comme si de rien n était.

--☆--

Depuis ce jour, j avais découvert ma capacité à faire cela et je l avais refait inlassablement, d'abord pendant un court laps de temps puis pendant de longues minutes.

Reprenanr mes esprit, je pris enfin un peu de terre et la jetait dans les cheuveux de la bourgeoise. Celle-ci protesta, mais elle se tue bien vite quand elle vis que les garçons se sont déjà lancé.

Je les suivi rapidement et elle bifurqua pour sa partie du plan.
Lorsqu à peine quelque mettres plus loin nous atteignons la porte de service, je murmurait une dernière fois le plan pour me le rappeler.

-- Très bien, alors Appoline va faire diversion devant, pendant que moi je vais délivré mon frère, vous vous me couvrer.

Tous aquiessaire, et comme prédit on ouvrit la porte qui ne mis aucune résistance, on avait en effet observer des domestiques passer de jour comme de nuit, sans jamais fermé la porte. Je me fofilait à travers les couloirs, ne croisant personne à cette heure tardive. J'arrivai rapidement devant les cachots et retrouvait mon frère.

Le problème était maintenant de trouver le moyen de le délivré, ce n était pas si simple, il m aurait suffit de glacer les bareau en tant normal, mais je n'arrivait pas à utiliser mes pouvoirs, sauf celui du temps, que je libérait sans résistance, et qui était mon seul atout dans l immédiat.

Je figeais donc le temps, et parti à la recherche d'un garde, je le trouvais sans mal, et m emportait des clefs. Mais avant que je n ai eu le temps de me retourner vers l autre salle avec les cellules, le garde en question me sauta dessus. Je ne savait pas que je pouvais faire rentrer des personnes dans ma sphère de temps, mais apparemment si.

Je ne pardi pas une minute et degenait mon épée, que je visais sur le garde, qui n avait pas l aire le moins effrayé mais plutôt blasé, comme si une routine c'etait installé.

Je fis en sorte d enflammé l'épée, ce que je réussi avec mal et la raprochait dangereusement de sa gorge. Il n émis encore une fois aucune réaction et j ettein confiance, que j abats sur sa tête, de sorte qu'il sombre pour quelque temps.

Je rejoint ensuite les autres, remet le temps en place et délivré mon frère sans mal.

Tout cela me paraissait bien étrange, ce n était pas normal, tout était silencieux, aucun garde ne se trouvait dans les parage, le seul que j ai vu ne semblait vouloir exercer la moindre réaction, les cléf des cachots n était donc pas complexe à récupérer, et nous avons pu rentrer bien trop facilement. Alors soit notre ennemis était vraiment trop négligeant, soit nous avions toujours un temps de retard et ils avaient préparé un plan pour nous piéger.

Quoi qu'il en soit, ce fut toujours aussi simple de ressortir du bâtiment, et Appoline n avait trouvé personne au devant. Nous décidons tout de meme d'avancer quelque temps avant que l on ne s arrête.

Mais mon cœur commençai à s affolait, oh non ça recommence...

♤♡◇♧♤♡◇♧

C etait bien trop simple, pour une fois Adelheid avait raison. Et en tant que prince, je sais tres bien que ce genre de situation n'arrivait presque jamais. Donc je suis sur que quelque chose arriverais, ou se préparait, c était un pré sentiment que j avais.

Soudain, la princesse s'écroula, je me mis rapidement à son niveau, vérifiant si elle allais bien, mais elle commença à trembler, et sa respiration commençait à se hacher.

J'exohrtait les autres à continuer à avancer, que nous arrivons.

Je pris la princesse dans mes bras et lui répétait de respirer, je sais que l on ne s est pas parler depuis longtemps, mais sa chaleur m avait manqué.

Au bout d un moment, elle se calma, et me regarda dans les yeux avec un sentiment indescriptible. Elle avait l aire à la fois reconnaissante et réticente. Je me permis tout de meme de lui demander.

-- Je... ça va, que s est il passé.

-- Je vais bien... merci, me répondit elle avec le souffle toujours haché, ça m arrive souvent... c est quand je panique.... c est compliquée... Kristal... elle m a dis... que je devais arrêter de paniquer... mais c est... pas possible.

Je continuait de lui caressé le dos de ma main, et l aide à se remettre debout, afin de reprendre la route.

Elle se fandit en remerciement avant de partir rejoindre les autres, rapidement remise sur pied, me laissant pantois.

Cette princesse, m est de plus incompréhensible, quand j arrivais enfin à nous rapprocher, elle se remet à me fuir, mais quelque chose me dis que c est du a son entrevue avec Appoline. Car je ne suis pas dupe, la dernière fois, quand Appoline a "voulu remettre les choses au clair" avec la princesse, il s agissait sûrement d un de se nouvelles manigances. Reste à savoir ce qu'elle lui a dis.

Pour le moment, je rattrape les autres et nous reprenons notre avancée sans plus un mots.

♤♡◇♧♤♡◇♧

Le petit moment que je viens de vivre avec le prince, m a davantage stressé qu au paravent.

C etait pour moi plutôt intime, ce n était pas quelque chose que je vivait avec les autres. Meme mon père ne l à jamais vu dans cet état. Les seules qui était au courant pour ça était Kristal, qui m avait surprit une fois au détour d un couloire, et ma défunte mère a qui j avais confié toute ma vie.

Je pense que c est aussi à cause de tout ce que je vis, depuis la mort de ma mère, je n avais plus personne à qui me confier, et je n aurais sûrement jamais personne.

Apres, je ne pense pas que ce soit cela le déclencheur. Notre combat n à servis à rien, on s était préparer pendant plus de 3jours pour un bâtiment vide ? Ce n était pas concevable. C est autre chose. Il nous préparer quelque chose, que je finirais par découvrir j en fais le serment.

Pour le moment, je ne pouvait rien faire de plus que faire, parfois un guerrier doit apprendre que face à une menace plus grande, la fuite était une victoire. Quoi que je n aille jamais apprécier ce concept plutôt erronée celon moi, ici il était plutôt valable.

Je me remis donc en route vérifiant de temps à autre si mon frère allait bien, sur le dos de Lothar.
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Mon plus long chapitre, et bientôt le fin... je vous laisse sur ses mots donner moi vos avis !

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