Les Secrets de la Couronne

Chapitre XXII

-- Mais non, arrête, genug, tu fais n'importe quoi, fais un effort.

Voilà les paroles que je reçoit du prince depuis ce matin.

Après les informations que l'on a aprises il y a deja presque une lunaison, nous avons décidé de s entraîner un peu chaque jours, simulant des entraînements avec des armes, on cherche à perfectionner nos pouvoirs.

Mais le problème c'est que le prince se débrouille deja parfaitement avec le feu et l'air et est sur le point de metriser l eau, alors que moi et bien j arrive à lire les pensées après plusieurs efforts et je suis capable de soulever un objet très léger, aussi léger qu'une plume.

Aussi il faut dire que depuis que j ai découvert, ce soit disant lien qui existe entre nous, ce lien de sestra dushi, âmes sœurs, plus courament, et que c est avec le temps que l on pourra reelement le voir, je ne sais pas si je dois m en réjouir.

C est tout de même une information de plus. Plus ou moins bonne.

On a aussi réussi à découvrir que c'était la version du livre et de dame Lilas, qui l'a sûrement apris la bas, qui est fausse. En effet, les pouvoirs ne se découpe pas en soleil et lune mais plutôt en matière et esprit comme notre comas de deux jours nous l a appris.

Peu importe après tout revenons au présent, cela fais plusieurs minutes que je suis sensé faire bouger une fine flèche poser au sol, ce que je cherche à tout pris à faire, mais rien y fais.

Je n en peux plus, sous cette chaleure  il fait beaucoup trop chaud, je m assis au sol, profitant du fait que le prince tourne le dos pour me reposer, mine de rien, contrôler des objet ou des pense à l aide de l esprit se révèle être tout aussi épuisant que manier des armes.

Je ferme les yeux quelques secondes, cherchant à faire le vide.

Mais de toute façon tu es nulle.

Tu sert à rien.

Tu as bien vu le prince lui fais des truc et toi.

Tu vas rien réussir tu t épuisé pour rien ma belle.

Nulle, voilà ce que tu es.

Je m'agrippe les oreilles, cherchant à faire taire ses voix. Mais rien à faire elle reviennent et d autant plus fort.

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Je me lève et regarde le soleil. Cet entraînement a commencé il y a deja plusieurs heures et je commence à en avoir assez.

Il faut dire que la princesse a beaucoup plus de difficultés que moi, et elle est de moins en moins participative.

Soudain, un vent me transperce le dos. Je me retourne vivement pour regarder et ce que je vois me choque.

De la neige.

Il y avait de la neige et au milieu des millions de flocon suspendu, Heidi était accroupi, regardant le sol d hors et déjà blanc de neige.

Je m approche doucement ne comprenant pas d'où préviens soudainement cette expression de pouvoir.

Qui d ailleurs me paraît plus que suspect, sachant qu'elle ne peut utiliser tout ce qui est de la matière.

Oh non.

Non, non, non, ne me dites pas que...

Je relève vivement la tête et me concentré sur mes mains cherchant à faire amuser une quelquonque étincelle ou à faire quelque goûtés d eau. Mais rien à faire les tours que j effectuer sans peine il a quelque minute me sont désormais impossible.