Chapitre XXVI

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-- Expliqué moi ce que cette garce fais la ?!

Cela faisait bientôt 3heures que l'on avait repris la route, et le soleil était à son zénith.

J avais du supporter les jaccasserie de madame pendant plusieurs heures et je n en pouvais plus. Heureusement, nous avons dessider de faire une pose et nous nous sommes séparés pour couvrir un plus grand espace, cherchant à trouver une source d eau, car encore une fois à cause de cette princesse nous n avons plus d eau.

Elle pensais sûrement que c était simplement pour jouer que l on allait à cette mission, mais c est bel et bien la vie de mon frère qui se trouve être en jeu.

Le prince relève les yeux à ma question et les baisse à nouveau marmonant quelque chose.

-- Je n en sais pas plus que toi. Et d ailleurs, elle refuse de me délivrer son message maintenant qu'elle est la. Et si tu veux tout savoir elle m est insupportable

J ai l étrange impression qu'il me cache quelque chose, mais je ne compte pas insister dans l immédiat. Il me dira bien un jours. Et je suis vraiment épuisé. Par contre je compte bien aller parler à cette misse parfaite.

-- Très bien, mais si tu ne le fais pas, moi je compte bien aller lui parler à cette fille.

-- Non, Heidi, s'il te plaît, ce qu'il y entre nous ne te regarde pas je m occupe d' Apolline.

Apolline. Voilà donc que ce casse pieds avait un nom, et bien je pense tout de meme que si elle continue j irais lui parler.

-- Et qui a t il entre vous, pour que tu ne veuille pas en parler. Un amour interdis.

-- Eurh... Jamais, mais ça ne te regarde pas.

-- ...

Avant que je ne puisse répliquer, une voix stridents nous proviens de l est. Criant beaucoup trop fort, dans cette forêt paisible.

-- LA.. MOI TROUVER... L EAU.

Avant que l on puisse faire un pas, elle repris en français, cette fois. Il faut vraiment que je pense à lui dire que je parle le français.

-- ET ARTHUR, SI TU TE RAMMENNE AVEC CETTE FILLE, JE TE TUE, TU NE PEUX PAS TROUVER PIRE, CE N EST PAS UNE FRÉQUENTATION.

De plus en plus insupportable.

☆☆☆☆☆

La nourriture, bien que pas exceptionnel était bien là bien venue. La nuit était déjà tombée depuis quelque temps. Et nous étions au abord du camps ennemis, demain l assaut commencerait.

Cela faisait maintenant 3jours que l on marchait avec ce boulet, en plus j avais l impression qu'elle passait son temps à s arrêter parce que, je cite "Je suis trop fatiguer et puis ce sol en Prusse, ce n ai impossible de marcher". Le prince avait fini par la porter.

Je n en pouvais plus, ils était grand temps que j aille m entraîner, ou plutot me défouler.

Je me lève et m éloigne du campement de fortune, me rapprochant d un arbre, je sort mon épée confience de son fourreau et commançant les prises de base.

Rapidement  je repris avec des techniques plus complexes.

Cela faisait maintenant presque une heure que je m entraîner d arraché pied, et la fatigue commençait à se faire sentir, je dessinais de finir sur cette lance de coup avant de repartir et de faire un bon somme, ce soir, nous partons à l assaut.

Soudain, des pas se firent entendre dans mon dos, je me retourne d abord doucement, sur ma garde, brandissant mon épée.

Une légère silouhete menu surgit des buisson, ce n était que cette Apolline. Enfin, finalement je ne sais pas reelement si c est meilleur que quelques enemis.

Son regard avais changer du tout au tout, elle ne se cachait plus derrière un sourire faut, d un côté elle avait l aire d'avantage vrais comme ça mais,  cela me prouvait tout de meme qu'elle ne se montrait pas reelement la quand nous étions avec les autres.

Avant que je n esquisse un geste, elle me pris par surprise et me poussa contre un arbre avant de s exclamé en allemand.

-- Tu écouter... bien moi.

Avant qu'elle ne puisse me faire son monologue dans un allemand approximatif, je me desside de lui apprendre que je comprends très bien le français.

Son visage se tourna dans un rouge pivoine, se rendant sûrement compte que tout ce qu'elle a pu dire au prince ne m était pas un secret. Elle reprit tout de meme assez vite ses esprits, et continua, en français cette fois.

-- Alors, bon, sache que le prince ne sera jamais à toi d'accord. Ce sera mon mari et je deviendrais reine, c est ce que l on a dessider vu que tu refuse de l épouser. Mais sache que moi il m'aime alors que toi il te supporte et encore.  Dans tout les cas dans 10 jours nous rentrons en France. Et surtout, ces derniers jours, ne t avise pas de l approcher, compris !

Et elle répartie aussi vite qu'elle était arrivée. Me laissant, pleine de questions. Le prince m aurais donc cacher qu'il était promis à cette bourgeoise sans manières ? Plus encore, son départ n était il pas prévu pour encore dans deux lunaison ?

Sa déclaration me laissait amaire, alors il l aimait. C etait donc ça ce qu'il y avait entre eux. Et bien, je vais complètement l écouter, je ne m approchera plus de lui, outre dans des circonstances professionnelles.

Je rentrai au campement sans plus d envis que cela. Et je me mis rapidement au lit, enfin plutôt adosser à un arbre. Cette Apolline dormais déjà, et Lothar aussi, le prince n était pas en vue, tant mieux  il avait du aller se promener pour je ne sais quelle raison. Moi je commençais déjà à m assoupir pour quelque heures de sommeil bien mérité.

Le plan de tout à l heure avait déjà été mis en place. J espérais de tout mon cœur que ce soit une mission réussi.

Les Secrets de la CouronneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant