Chapitre XVI

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7h00.

L'aube peine à se faire sur la capitale de la Prusse.

Moi cela fais au moins une demie heure que je suis levé et que je me prépare.

N'allez pas croire que je me fais belle pour le prince, non absolument pas je cherche seulement à être prête pour être à la bibliothèque à 7h30 pour l'ouverture et mener mes recherches avant l'arrivée du prince. Je lui est certe dis que je l'inclinaison dans l'histoire, dans les recherches comme dans le dénouement, mais je préfère m avancer seule et si je trouve quelque chose que je juge important de lui dire, je le ferai.

Après avoir revêtu ma robe, mon corcet, et que Constance c'est occupé de mes cheuveux. D'ailleurs elle aussi a eu vent de la mélancolie qui règne sur ce château, son regard est si triste que je décide d'intervenir, il me reste bien un demie heure à tué, autant en profiter.

Je lui attrape donc le menton pour qu'elle me regarde et articule exagérément :

-- Constance, qu'est ce qui t'accable tant, tu ne devrais rien avoir pour te déranger et profiter de ta vie...

Elle sorti ses petits papiers qu'elle emporte partout. Elle en prend un nouveau, s'empresse d'écrire des petits mots avant de me le tendre.

  Je suis juste triste, dans une semaine c'est ma nouvelle année et ma mère me manque. Je me dis que mes 13annee vont être révolu et elle ne sera pas .

Lire ces petit mots en pattes de mouche me firent tellement mal. Je ne me suis jamais imaginé que sa vie d'avant puisse lui manquer. C'est vrais qu'avec l'accord avec le dauphin, l'enlèvement de mon frère, la rébellion déguiser du duc de Berry, et les nouvelles de mon père, toutes ces histoires m'ont fais oublier Constance, la ou elle avait le plus besoin de moi. Je me promis d'essayer d'y remédier, en commençant tout de suite.

-- Nous allons organiser une fête. Un petit bal, et je t'emmènerai voire ta mère mais sèche moi ses larmes.

Je la prends dans mes bras, la sérénité dans une étreinte protectrice. Alors que je fermais les yeux pour profiter de ce moments, Constance ce retire précipitamment et quand je rouvre les yeux, je la voie comme horrifié.

Alors que je me demande ce que pourrais être l'objet de cette peure soudaine, un point au niveau de ma poitrine m'intrigue. En effet le collier que j ai découvert la veille emmet une lumière intense.

Ne pouvant m'empêcher de le fixer, j en oublie le monde extérieur et me noie dans mes pensées.

Je me sort finalement de ma léthargie quant le collier s'éteint et qu'il redeviens comme avant ne laissant aucune trace de cet épisode, si bien que je crus rêver. Mais le regard toujours appeurer mais un point curieux.

Ne pouvant pas lui expliquer, et déjà en retard sur mon programme, je lui dis précipitamment :

-- Je ne sais pas plus que toi ce que c'était et je vais justement à la bibliothèque chercher ce qu'il peut représenter. En attendant vas donc jouer dans les jardin, mais ne t'éloignes pas trop.

Sur ce, je me dirige vers la bibliothèque d'un pas pressent.
Je rentre et adresse un signe de tête à la bibliothèquaire et elle se courbe dans une révérence respectueuses, m'adressant son habituel : "avez vous besoin de quoi que ce soit pour quoi je pourrais vous aiguiller princesse".

Je la conjedie d'un signe de tête et me dirige vers les livres encient, les livres de légendes et autres histoires.

Je commence mes recherches, rassemblant certains livres qui pourraient m'être utile, mais aucun ne me semble très intéressant.

Je m'asoie tout de meme et les feuillette, lisant les paragraphes en diagonale. Je ne trouve rien d'utile comme je le prédisait et postait contre moi même :

-- Si seulement ce livre pouvait apparaître là !

Juste après avoire finie ma phrase, le collier s'illumine à nouveau moin fort. Je sens alors un poids s'écraser sur ma tête, et ensuite c'est le néant.

♤♡◇♧♤♡◇♧

Je sens une main me secouer et je repris peu à peu mes esprits. Je regarde autour de moi et me rendis compte que je me trouvais toujours dans la bibliothèque et qu'un visage que je ne reconnu pas était pencher sur moi, l'aire amuser.

Attends. Atttends. Bien sûr que je le connais, c'est le prince Arthur que s'amuse de ma situation.

Je le repoussé vivement et me relève m'asseyant sur le sol.

-- Alors je vois que la grandes Adelheid n'est même pas capable de récupérer un livre en hauteur sans le laisser tomber sur elle.

-- Oh, arrête.

Je le regard. Toujours hilar, il me tend le livre, boureau de ma souffrance, me soutien un regard provoquateur.

Quand je m'apprête à récupérer le livre il l'attire à lui m'assurant que l'on le lira ensemble.

Il part en avant et je le suis. Il s'arrête devant une râble haute et y pause le livre. Je m'approche de lui et lui reprend le livre que j'ouvre sur le début.

Avec étonnement, je retrouve les mêmes écritures étrange que dans le carnet de ma mère. Cachant mon étonnement je continue à tourner les pages en vain. Tout le livre est écrit dans cette même langue, je suis pourtant certaine qu'il n'est pas tombé pas hasard et qu'il me donnera des réponses. Cachant difficilement ma frustration je continue à le feuilleté quand je tombe sur une image curieuse.

Deux colliers était représenté avec l'un d'eux absolument identique à celui que j ai trouver dans la chambre la veille. Il était représenté avec un éclat qui commence désormais familier. L'autre collier, avec exactement la même chaîne, présentait au bout un soleil jaune oranger en cristal, lui aussi présentant l'éclat caractéristiques.

-- Tu sais quoi princesse, tout cela mérite vraiment d'être approfondis. Ces coïncidence me paraissent curieuses.

-- Oui tu a raison, je vais allez voire Dame Lilas cette après midi, elle pourrait m'éclairer.

Cette décisions m'avait paru une évidence, je ne voit pas comment faire autrement. Je sais très bien que c'est un act défendu, que d'aller voir cette sorcière, mais tout ça dépasse les entendement de mon esprit rationnel.

-- C'est défendu ! Je te le rappelle.

--  Mais avons nous le choix ?

L'utilisation du pronom nous, le destabilisa autant que moi. Cela sonnait comme une concrétisation de notre accord. Tout ce que je ne désirais pas mais c'était trop tard.

Je me rassurait en disant que ce n'est que temporaire et repris rapidement  :

-- Toi tu te chargera de me couvrir. Pendant le repas je dirais que nous allons organiser la fête pour Constance dans la salle principale, tu vas accrocher les décorations que je suis passez y déposer, et si on te demande ou je suis tu invante.

-- Mmmm... bon c'est d'accord

Je suis plutôt fière de moi pour cette fois, j'ai réussi à être couverte tout en avançant dans la fête pour Constance.

Je sort donc de la bibliothèque emportant le livre avec moi, et vais me préparer comme chaque jours pour le déjeuner.
__________
Bonjour,
J'espère que vous aimer toujours l'histoire.

Alors que pensais vous qu'il y a dans le livre ?📖

Qu'est ce que cette langue ?

L'autre collier ?📿

Pensais vous que dame Lilas va vraiment l'aider ?

- Carrément 😇

- Tout le contraire 🤮

J'ai hatte d'avoir vos théories ! 🙃🙂

Merci 😊

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