Chapitre XXV

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J'ouvre lentement  mes yeux, la nuit dernière à été plus ou moin fatiguante. Je ne pensais pas que l on aurait des problèmes aussi tôt. Mais je me doutais que l expédition ne se déroulera pas dans la joie et la bonne humeur.

Le prince se réveillais lui aussi, d'ailleurs, il ne m'a pas réveillé pour mon tour de garde, il a dû rester éveillé toute la nuit.

Il grogne encore en se réveillant, ce qui provoque mon illarité, je me décalé pour le laisser se lever, tout en faisant de même.

Ne sachant pas réellement, le chemin de retour, je le regarde fixement, mais il me répond à nouveau en grognard avant de prendre la route légèrement boitant, encore peu réveillé.

Nous somme malheureusement dans l obligation de retourner au camps sans manger, notre descente nous avait mener dans une crevasse et, il était difficile de trouver à boire ou manger dans un trou. Cependant, si l'on arrivai au sommet, il serait possible de trouver à manger au abord du lac, ou l'on a laisser nos affaires.

La monté fut longue, et je pennais à reprendre mon souffle, j arrivais tout de meme en haut plus que laborieusement, et le prince ayant vraisemblablement retrouver toutes ses capacités, ne peux s empêcher de rire de mon état désolant depuis plusieurs minutes.

-- Alors, la princesse si bonne en art gerrier est incapable de monter une légère pente, répétait il hilare.

-- genug* JE ne suis pas fatiguée, dépêche toi par contre.

Le campement était comme neuf, et les corps des suspect avait mystérieusement disparu. Bientôt  on fut rassasier des restes du voyage et on pouvait a nouveau reprendre la route, ayant rassembler les provisions dans deux sacs  transportable.

Mais quand je demandais au prince de reprendre la route, il me dis que l on passerais la nuit ici, qu'il attendais quelqu'un.

-- Qui peux tu bien attendre, nous sommes seuls et rester ici est risquer si l enemis revien.

-- J attend une personne qui va nous aider, au cas où tu ne l aurais pas remarqué, pendant ton long sommeil, j ai envoyé un message à ton père, il nous envoie, le chef des armées, il nous accompagnera à bon port, et il apporterais des armes.

 Lothar. Mon père avait décider d envoyer Lothar, le général des armée, cette idée me paraît plutôt étrange, mais soit. J'attendrais. Mais je ne me laisserais pas guider par ces muscles sans cervelle.

Lothar, bien que très jeune, sûrement dans les 19ans, ne manque pas de talent. Pour autant que je sache, c'est le plus jeune général, mais il ne se laisse pas faire pour autant. Cependant, je ne l avais jamais réellement aimer, et ça ne changera pas. Il a toujours eu tendance à vouloir tout contrôler, mais sans prendre le temps de trop réfléchir.

Quelque annee plus tôt, alors que j avais 14ans et lui 17, il m entraînait sans vergogne, pourtant quoi je lui dise, il n en fesais qu à sa tête, et ne reflechisser pas à mon état, j avais perdu ma mère, je fesais tout pour satisfaire mon père, qui n avait de tête que pour mes quatre frère, "oui ils serait sur le trône", "oui eux sont important"  "tu n a pas ton mot à dire princesse", fesais parti de mon quotidien, et  il ne me facilitait pas la tâche dans ses entraînements. Je le soupsonne même, à un moment, d avoir des sentiments pour moi, mais dans se cas, il c etait certe adoucie, mais entraîner une personne à force de coup n est pas ce que j appellerais un parfais contact.

J acceptais donc qu'il se joigne à nous dans cette histoire, mais je reste une princesse sur mon territoire, et il m avais bien appris, que la meilleure defence était l attaque, alors il en payera le prix.

A ces mots, je m'assoupie attendant son arriver sans conviction.

☆☆☆☆☆

Ce n est que quatre heures plus tard que des voix me reveillèrent.

Mais quelque chose clochait. Il y avait une voie beaucoup trop aiguë pour appartenir au générale.

Jouvrie précipitamment les yeux, deguenant mon épée pour faire fasse a un combat, mais ce n était que le prince qui discutait avec le général et une autre fille.

Celle ci, brune aux long cheuveux lui tombant sur les épaules et au sourire sur fais était très joyeuse  mais quand elle me vis son regard azur s assombri et elle me regarda étrangement  reprenant un sourire de fassade, elle s approcha de moi et se présenta dans un allemand approximatif.

-- Euh... Je suis Appoline, je donnais... euh... une message du roi de France... mais j'apprendre... vous parti en mission, donc... je dessinais... partir avec lui, elle désigna Lothar, pour aider.

Aider, non de dieux, dans sa carrure toute fine et ses aire de princesse, elle serait plus un poids qu autre chose, je me tournais vers le prince et lui addraissais un regard, plein de question, auquel il repondi par un haussement d épaule.

La poupe sur patte se tourna vers le prince reprenant son sourire faut et lui dis en français, pensant certainement que je ne le parlais pas

-- Mais Arthur, avec qui voyage tu las, tu ne peux pas t abaisser à ce point .

Ce qui m etonna le plus ne fus pas qu'elle osé dire ça d une princesse, mais plutôt que le prince baisse seulement les yeux sans répondre.
Il peut être sur que nous aurons une discussion la dessus sur la route.

Pour faire cesser le malaise ambiant le général qui jusque là était resté en retrait,s avança, effectua une rapide révérence devant moi et le prince avant d annoncer notre départ.

Je pense que la route sera longue.

Les Secrets de la CouronneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant