Chapitre VI

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Un cadavre.
Seul un cadavre tenais lieu sur la petite couchette. Je m'effondre mes jambes ne soutennais plus mon poids. Alors que je m'attendais à rencontré le sol en bois dans un fracas, des bras puissant me retenait.

Je relevait la tête un peu déboussolé et nauséeuse. La vue du cadavre de le mère de constance m'a retournée l estomac et mon coeur ne répondais plus, qu'allait je donc bien pouvoir dire à Constance. La pauvre serais effondré.

Je relève la tête et remarque que le prince me soulevait toujours dans ces bras et je m'extirpe avec hâte. Je sort rapidement de la pièce suivit du prince qui lui aussi avais revêtu une expression inquiète sur le visage.

Alors que je m'apprête à prendre le parole, il me devança :

-- Alors, qu' allons nous lui dire..

-- j'a ne sais pas laissé moi réfléchir...

Je ne pouvais décemment pas la laisser ici livrer à elle même, mais était ce une bonne idée de l amener au palais ? Oui. Je ne pouvais pas faire autrement.

-- Je... Nous allons l'enterrer dans ce bois et amener constance au palais. Je la prendrais comme dame de chambre et elle sera nourris et logé dans le château jusqu' à bon lui semble.

-- D'accord, mais il va falloir lui annoncer des qu'elle te verra revenir elle aura compris.

-- Oui, va la chercher et dis lui de me rejoindre ici, pendant que je lui parle habille sa mère d une belle tenue.

Je me préparais mentalement pour ce qui allais suivre. Je ne veux en aucun cas briser la jeune fille je veux juste l aider mais je ne sais pas comment m'y prendre. Sa mère était la seule chose qu elle  avais je ne peuxme résoudre à lui briser le coeur mais je le dois, je dois lui dire la vérité et plus rapidement ce sera fait plus elle pourra passer au dessi de la douleur.

Quand la jeune fille arriva à ma hauteur elle avais dejas les larmes au yeux elle avais compris. Je lui attrapé les joues de sorte à la tourné vers moi et je pris une grande inspiration, prenant soin de bien articulé toutes les sylabespour qu'elle comprenne.

-- Constance, je dois te dire quelque chose.

Elle hocha la tête retenant avec peine les larmes qui perlais au coin de ses yeux. Je pris mon courage à deux mains et me lançais.

-- Ta Maman est partie, elle est partie pour un long voyage, mais elle sera bien loin de la douleurs et elle te regardera depuis les cieux.

Comme je m'y attendais elle secoua négativement la tête refusant certainement d'y croire. Je n'était pas bien placé pour lui dire que tout ira bien ou que les choses allait s'arranger mais je ne voulais pas la laisser se morfondre non plus. Alors je pris à nouveau son visage entre mes mains.

-- tout iras bien ne t'inquiète pas.

Je ne savais pas quoi ajouter, elle éclata à nouveau dans un sanglot et je la serait dans mes bras. Et je lui pris la main pour la faire rentrer dans la chambre.
Elle écrit à sa mère un instant dans un silence rempli de douleur et de culpabilité.
Elle sortit un petit bout de papier et se mis à écrire rapidement avant de me le tendre.

Nous nous devons d'enterrer ma maman dans cette forêt c est ici qu' elle a toujours vécu et je ne veux pas l abandonner dans cette chambre. Mais après comment vais j'a faire pour me nourrir.

-- Ne t'inquiète pas, nous lui verrons un très grand enterrement au pied de la maison et pour la nourriture je te propose de venir habiter chez moi, tout iras bien.

Je le répétée encore une fois pour lui montres que c est vraiment le cas. Je ne sait comment l'aider autrement. Elle hocha à nouveau la tête et me regarda avec un regard rempli de reconnaissance. Son regard exprimait tout ce qu'elle ne pouvais exprimer avec les mots.

2h. Cela fais environ 2h que le prince et moi creuson sans relâche une petite tombé pour enterrer le corp. Le travail est maintenant terminé et nous portons la jeune femme jusqu' à la tombe.

Nous laissons la petite fille enterrer le corp et le recouvrir de terre. Elle me rejoint ensuite les larmes au yeux et me rand un petit papier avec un petit discours qu'elle a elle même écrit. Je le lis doucement pour ne pas la brusque et qu' elle profite de son dernier moment.

-- Moi, toi
J'ai posé ma tête sur mes genoux et j'ai pleuré parce qu'e tu avait vécu
Parce que tu était mort
Un océan asséché, un désert d'émotions
Triste-heureux ombre-lumière joie-chagrin m'ont submerger, engloutie
J'ai perçut le bruit sans saisir les mots
Puis j'ai compris que je bruit était moi, me cassant
En un instant j'ai tous ressentie et je n ai rien ressentie
J'était brisée, j'était sauvée
J'avais tout perdu en recevant tous le reste
Quelque chose en moi estmort, quelque chose en moi estné
Je sais seulement que la fille était partie
Qui que je soit désormais je ne serais jamais plus de cette façon
Ainsi s'achève le monde sans éclat mais sur un cris plaintif.
Amour et haine
Joie et tristesse
Tous cela n'as plus de sens. Vide.
D'abord le vert et saint mais rien de se qui est vert ne perdure.

Son texte est beau, bien plus beau beau que je n aurais pus faire et il m'émeut. Je pense qu' elle a un grand talent dans l écriture ce texte est vraiment très beau, de tel fait que moi même je lâche une larme en finissant ma lecture.

J'attrape la main du prince pour le tirer vers la petite maison laissant ainsi Constance faire un dernier adieux à sa mère avant de rassemblé ses affaires et de se dirigeait vers le château. J avais appris plus tôt qu' il ne se trouvais seulement à une dizaine de kilomètres d ici. Je prend la carte ou j ai vu l information et je récupère une robe de la mère de constance que celle ci à insister que je porte à la place de ma vieille robe déchirer.

Nous sortons ensuite de la maison et l attendons dehors. Mais à peine 10min plus tard elle sort à son tour muni d'un petit sac qu' elle porte sur son dos et d'une malle. Elle me rand un petit papier avec une expression déterminé. Je lis l inscription je suis prête dessus. Je me lève donc et nous nous mettons en route.

Cela fais maintenant plusieurs heures que nous marchons et je commence à me fatiguer. Je tien cependant parce qu à en croire la carte nous devrions être arriver d ici environ quelque minutes.

A l instant ou cette pense me traverse enfin l esprit j'apperçoit le château et je me dirige vers celui ci, vite suivi par Constance et Arthur qui pour te la malle derrière. Je m approche encore et je suis ravie de sentir à nouveau la sensation de familiarité avec cet endroit. Je rentre sous les yeux ébahi des gardes de l entrer et les grandes portes s'ouvre d elle même.

Je trouve nez à nez avec mon père qui penche sur moi un regard sévère il nous de visage tous les trois tour à tout avant de me serré légèrement dans ces bras et d'adresser une poignet courtoise au prince en continuant de envisagé constance.
Il ouvre alors grand les bras et nous enjoint à le suivre dans la salle de réunion pour être plus à notre aise pour parler.

J attrape la main de constance et me dirige à sa suite. Son discours promet d être long et remplis de reproche.
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Salut.
Je vous ai promis un chapitre plus long et bien le voilà. J espère que l histoire vous plaît et n hésiter pas à me donner votre avis sur le chapitre comme d habitude. Merci vraiment beaucoup à ceux qui vont lire. Et joyeux fête nationale.
A plus. 💜

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