Chapitre II

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-- merci de souhaiter une bonne arrivée au dauphin de France, le prince Arthur. Tona mon père d une voie forte.

Cela faisait maintenant plus d'une heure que j'ai trompé Morphée et que je suis réveiller. Quant à la cérémonie, il y a seulement une dizaine de minutes qu'elle a débuter, mais les courtisans et les gens du peuples se presser deja pour voire la spectaculaire arrivée du prince.

Quant à moi, je ne peux me résoudre à défaïr à mes devoirs royaux, surtout depuis l incidant de ce matin. Mon père ne supporterait pas un nouvel affront. Je ne suis pas enjoué de devoir assister à la cérémonie, ni de rencontrer le prince.

Le prince de France se trouve être une personne très arrogante, toujours sur de lui mais avec un penchant mystérieux. Je ne pouvais pas le nié sa beauté est indéniable, mais son caractère m empêcher de le considérer comme simple possibilité pour un futur mari. Il ne peut pas s'empêcher de m énerver, il est d une nature à me mettre dans des états non digne de moi, et encore moins de mon statut.

En parlant, le principal concerner arrive, dans un carrosse digne d'un compte de fée. J'ai toujours entendu dire que la France est le royaume de l art. Cependant je ne m mettait pas attendu à un simple carrosse d une telle beauté.

Le prince Arthur ne se fit pas prier pour descendre. Il prit une allure plutôt rapide malgré sa posture nonchalante. Arrivant à la hauteur de roi il esquisse une révérence avant de saluer mes frère d un simple signe de tête. Quant à moi, je lui donne ma main et il se penche pour y déposer un baise main. Je retire ensuite asser vite ma main et me presse à la suite de mon père, qui se dirigeait déjà vers la salle de balle.

Le buffet était déjà avancer et les convives se passaient en l attente du festin et du gala. Le daufin me dépassa me glissant à l oreille : "Quel beauté ravageante aujourd'hui ma princesse". Une réplique qui ne manqua pas de me glacer les sang, un frisson si fort me parcouru l'échine que je ne craint que le prince lui même l ai entendu.

Lorsque l on entrâmes dans la salle, les convives se turent instantanément. Mon père s'avança et pris place au centre de la grande table. Mes frère eux s'instalere tout les 4 du côté gauche. Tandis que moi je me mis à une chaise d écart du côté droit. Le prince me tira de façon très courtoise, trop courtoise ma chaise, avant de s'installer à son tour dans l'interval me séparent de mon père.

Ce dernier se leva rapidement et se mis à résister un discours préparer depuis des mois, mais d une façon si légère qu'il donnait l impression d'improviser.

-- Cher peuple de Prusse, Nous nous retrouvons aujourd'hui en compagnie de sa majesté le prince Arthur de France.

Le prince se leva à son tour avant d adresser une légère révérence au roi, et de se tourner vers le peuple pour les survoler du regard.

-- Nous organisons aujourdhui un gala en son honneur. Repris mon père. La soirée commencera avec un dîner auquel vous êtes bien entendu convier avant de passer au bal, qui sera ouvert par le prince en compagnie de la princesse Adélaïde, ma fille.

A l'entente de mon nom j esquisse une grimace. Je me suis bien préparer au bal, et que je danse avec le dauphin était plus qu'eventuel, seulement l'idée que cet étranger ne posés ses main sur moi m aie insupportable et me procure un des plus haut dégoût.

-- Je me retirerai pour finir vous laissant festoyer cette nuit, devant des mondanités de toutes sorte. Avant le début de notre repas je laisserait le prince Arthur vous dire quelque mots.

Mon père fini rapidement son discours. Le prince se leva à son tour et commença bien plus hésitant que le roi et avec un discours bien moin structurer. Sa simple posture nonchalante montrait tous l intérêt qu' il portait à l événement.

-- Hmmm... Bonjour, bonjour peuple de Prusse, je veux juste remercier votre humbles roi de m avoir inviter en ce jour, et je suis très heureux d être ici avec la princesse... hmm..... La belle princesse Adélaïde. Ce sera tout.

-- Et bien merci à vous cher prince et que le repas commence.

Le repas commença et les discutions plus ou moins importante fuserent de bon train. Les nobles debataient autant sur des stratégie militaires que sur le meilleur vain à boire. Quant à moi je me perdis dans mes penser loin des tracas de la cour. Mais soudain le prince se rapproche de moi et engagez la conversation me sortant de mes pensées.

-- Alors, ma cher heidi contente de me voir

-- Moi contente de voir un homme aussi nonchalant que vous, vous vous berner. Et ne vous permettez pas de m appeler heidi, ou je ne cesserai de vous nommer LE SANGLIER DE CORNOUAILLES.

-- très bien si ça me permet de me rapprocher de vous je suis prêt à prendre tout les risques.

-- Et bien prenez les risque de votre choix mais je vous prierais de me laisser terminer se repas sans ambarras.

-- A vos ordres

Le prince ce tue me laissant vaquer à mes pensé en attendant le bal. À la seul perspective de devoir danser avec le prince, je me sens étouffé par sa simple présence. Parfois je me demande s'il ne me serait pas plus simple de me procurer une monture et de partir loin dans la forêt la ou on ne me retrouverais pas. Malheureusement il a des personnes à qui je tien un peu trop pour m en eloinier, mais sûrement pas Arthur.

Le repas se termina rapidement malgré le nombres de pas plus gargantuesque l un que l autre. Toutes les spécialité du monde avait était servis.

Mon père se leva à nouveau et se dirigea d un pas contient vers la salle de balle. Je me lève à sa suite et m'agrippa au bras d Arthur autant pour commencer le bal que pour le déstabiliser, car je sais pertinament que cela l exaspère.
Je ne peux cependant pas l en blâmer ce n est qu' un ressortiment de sa personnalité mystérieuse, tout le monde a des manies inconscientes.

Mon père s'avança rapidement vers le trône. Il s assit et me fit un signe de teste avant de lever la main en direction des musiciens qui entamerent un slow. Mon père nous regarda avec instance sans se lever. Il dansera sûrement plus tard.

Le prince Arthur me dirigea vers la scène et me murmura au creux de l oreille : "laisse toi guider" avant de poser ses main sur mes hanches et que j enroule les miennes à son coup.

Il me guida avec tranquiliter me faisant virevolter avec ses bras muscler et de me reposer au sol recommençant avec des pirouettes. Je n avais quant à moi jamais vraiment était très doué dans le domaine de l équilibre.

La chanson se termina très rapidement à mon grand plaisir. Mais à peine me suis je extirpé des bras du prince, qu' un fracas de verre se fit entendre, entraînant la foule qui se mit rapidement en des états hystériques. Quant à moi je me contantais de regarder au alentour à la recherche de la provenance de ces bruit. Les gardes du corp se rangere cependant rapidement en rang serré près des sorti m empêchant de voir quoi que se soit.

Un cris strident attira par ailleurs mon attention. Il précède une personne sûrement une courtisane qui cria mon prénom. Tout devint soudenement noir et je m effondré dans le néant.
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Bonjour,
voici le deuxième chapitre de mon histoire. Je vous remercie toujours de lire et je remercie les 4 personne qui on lu cette histoire. Merci beaucoup. Et puis je posterais sûrement dans longtemps en se moment je vais bientôt passer mon brevet et je me dois de réviser. Merci tout de même.
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