❝𝐓𝐇𝐈𝐒 𝐈𝐒 𝐋𝐎𝐕𝐄 ?❞ 𝓗𝒂𝒊𝒕𝒂𝒏𝒊 𝒙 𝓞𝒄.

𝐜𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐨𝐮𝐳𝐞.

☾︎❤︎☽︎

Je descends du bus avec du Brtiney Spears à fond dans mes oreilles. Je traverse la route en oubliant se regarder à gauche et à droite. Cette journée m'a épuisé.

Comme une conne j'ai rater mon arrêt car je me suis assoupie.

Je marche nolonchament sur le passage piéton. L'envie de dormir commençait petit à petit à monter alors qu'il n'était même pas dix-neuf heure.

J'entendis au loin un moteur de moto s'approcher. Peu intéressé par ce bruit, je continue ma route en fixant le vide.

L'horreur bruit du moteur se fit de plus en plus entendre et grace à eux, je pus sortire de ma bulles.

Plusieurs grondement se font qui ont eux le don de captiver mon attention.

Je me retourne en enlevant un ecouteur d'une de mes oreilles et lance un regard agacé vers les rugissement de cette moto.

Je vis un groupe de garçons me regarder d'une façon obscène en grondant le moteur de leur véhicule. Ils me souriaient d'une manière perverse. Ils étaient tout les trois assis hormis deux autre qui étaient debout, adossé à leur motos.

Je roule des yeux de leur stupidité et souffle bruyamment pour qu'ils mentende.

-Eh mademoiselle m'interpelle un des garçon il est quelle heure ? Me demande t'il alors qu'il n'avait pas coupé le contact de sa moto

-Regarde sur ta moto idiot. Lui repondis-je froidement en remettant mon écouteur dans mon oreille

Les autres motards ricane tandis que l'autre, irrité, s'avançait vers moi à grand pas

-Tu crois parler à qui la ? Me dit il en s'approchant vers moi en tentant de m'intimidé

-Je parle à toi à qui d'autre je parlerai ? Je roule des yeux d'agacement et repris ma route

L'homme visiblement assez remonté m'attrape brusquement le bras et me tourne vers lui. Son visage s'approche du mien et je pus sentir sa mauvaise odeur corporelle. Il puait le fauve.

Instinctivement je coupe ma respiration et fronce les sourcils. Ce gars ne se douche t'il pas ?

Il s'approche de plus en plus et je tente de recule pour ne pas finir intoxiqué par l'air qu'il pollue.

-On est finalement effrayée ? Me demande t'il en prenant mon visage en coupe

-Non tu pues juste. Lui avouai-je Et je t'en supplie ferme ta bouche. Je tente de me défaire de son emprise mais vu sa grosse masse, je n'y arrive pas. Mais lâche moi ! Criai-je c'est pas parce que tu es irrité que je t'ai pas donné l'heure à toi et tes collègues que tu dois être comme ça ! Je fais la mou désintéressée.

Son visage se crispe à l'entente de mes dures mots. Ses sourcils se foncent et ses yeux se plissent. Il va avoir des rides à tente ans lui.

-Je vais te-

-je le coupe dans sa phrase Quoi ? Tu vas me quoi ? Dis-je d'une manière insolente pour l'énerver

Les ricanements de ses amis se font de plus en plus bruyant ce qui énervé plus mon agresseur et augmente la prise qu'il avait sur mon poigné

-Petite salope ! M'insulte-t'il

Il commence vraiment à me faire monter la tension

Je suis envoie un coup de pied très bien placé à l'entre-jambe du jeune homme. Celui-ce se courbent en me lâchant et en mettant ses mains à l'endroit où j'ai taper