11. Les aveux

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Angel.

11h14, Appartement d'Angel et de Ace.

Je ne me suis pas rendormis depuis la crise de Yuna en pleine nuit, je n'y arrivais pas je me posais beaucoup trop de questions.

Est-ce que ça lui arrive souvent ?

Depuis quand ?

à quel point est t'elle brisé ?

Toutes ces questions restent bloquées dans mon crâne, je n'y parviens pas à m'en débarrasser.

J'ai passé le restant de la nuit à la regarder dormir et à surveiller ses faits et gestes, histoire de m'assurer que ça ne recommence pas.

J'ai aussi réfléchis à la vie qu'elle aurais avec moi et le contraire, la vie qu'elle aurait si je n'étais pas dans la sienne et j'en ai conclu qu'elle en aurait une bien meilleure sans moi, alors au lever du soleil j'ai été faire des achats afin qu'elle se réveille avec le sourire tout en lui disant que notre jeu s'arrêter là, même si je meurs d'envie de le continuer mais je ne peux pas pour elle comme pour moi, c'est dangereux.

Ace avais déjà fait la même chose à June, sauf que lui ne le pensé pas vraiment, c'était seulement pour voir d'autre fille et non pour éviter celle qui aimé vraiment.

-Monsieur Salvatore, je vous ai ramené l'homme que vous m'avez demandé.

- Bien mettez le là, à genoux.

- Comme on se retrouve Isaac, vous l'avez trouvé où ?

- Il était bien au Nightclub, comme vous avez dit.

- Et en plus tu continue de traîner dans mon club, dis-je en retirant le drap qu'on lui avait mis sur la tête.

- Pourquoi je suis là putain, j'ai rien fait, je comprend pas, commence t'il à pleurer.

- Tu ne comprends pas, lui demandai-je en sortant mon arme.

- Si c'est pour Yuna, je ne l'approcherais plus et de votre boîte non plus.

- Si seulement il n'y avait que ça.

- Je ferais tout ce que vous voulez, crie t'il.

- Très bien, dit moi d'abord ce qu'il c'est passé, le soir où tu as fait du mal à Yuna.

Il jongle entre mes yeux et le sol, il n'ose pas me fixer car il sait que je pourrais le tuer à tout moment.

- Tu ne veux pas répondre, je l'interroge en chargeant mon flingue.

Il me regarde avec de gros yeux, il a peur.

- S'il vous plait, je n'ai rien fait je vous jure.

- Et en plus tu jure, je vise sa tête.

- Non, non attendez.

- Si tu parles c'est seulement pour avouer ce que tu as fait.

The True LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant