La boule au ventre je ressert là mains d'Asher. Je prit pour que cette fois ci tout ce passe bien. J'ai obtenue d'eux qu'ils cèdent à mon caprice, me laissant venir avec Asher. J'ai mit un costume, coutume dans ma famille le jour de noël, et bien pratique car il cache entièrement les bleus. Seul ma lèvre couper est visible, comme la sienne d'ailleurs. Je sonne, un membre du perso elle de maison m'ouvre. Comme chaque année la maison est magnifiquement décorée, je le félicite et avance jusqu'à salon. Mon tout entier se tend, venant presque me faire souffrir. Je regard quelque seconde, qui semblent durée une éternité, ma mère dans le blanc des yeux. Elle a toujours était douer pour cacher ses émotions, même les plus puissante, mon père nous rejoint. Dans un silence de mort on s'i talle autour de la table déjà dressée.
-Tu as trouver un travail, demande mon père pour briser le silence.
-Je fais toujours mes vidéos sur internet, ça marche plutôt bien. J'ai également fait quelque placement pour assurer mes arrières.
-Je vois. Tu as penser à investîtes dans la pierre? Le marcher est très intéressent en se moment.
Nous voilà parti sur une discutions totalement neutre, investissement, placement, bourse... on ne peut pas faire plus banale et sans risque. Je remarque qu'Asher voulais intervenir sur un sujet mais oublie cette idée. J'imagine qu'il ne veux pas risquer de dire ou faire quoi que se soit qui pourrai fâché mes parents. A ma grande surprise ma mère l'a également remarquer, dans un effort qui lui semble surhumain et tout la tête vers Asher.
-Il semblerai que vous aviez eus envie de rebondîtes sur les placements, dit elle froidement.
Asher relève les yeux vers elle puis les détourne légèrement vers moi. Il fini par demander pourquoi tel ou tel placement est plus intéressent car il saisie pas toute les nuances. Mes parents prennent le temps de lui expliquer presque gentiment les différences. On explore le sujet en long en large et en travers pour continuer à éviter les sujet qui fâche mais arrivons à épuisement de nos ressources. Constamment sur le qui-vive pour savoir quand la bombe va exploser je ne fait pas vraiment attention à mes mouvement, étant en mode automatique pour manger. Seulement je réalise trop tard que mon doigt se trouve sous mon couteau. Je jure en secouant la main. On pourrait croire qu'après la nuit que j'ai passer ce n'est pas cette simple coupure insignifiante qui me ferra mal et pourtant.
-Fait moi voir, s'inquiète Asher en prenant mon doigt.
-C'est rien juste une coupure débile.
-Tu devrais quand même désinfecter vue que c'est entrée en contacte avec de la nourriture, m'intime t'il avec un aire paternel.
Je ne peux m'empêcher de sourire, j'aime cette manière qu'il a de s'inquiéter pour moi pour presque tout et rien, même si ça peut paraître étouffant parfois. Ça révèle parfaitement sa douceur et contraste avec l'image de l'homme server qu'il peu faire paraître.
-Je vais le passer sous l'eau je reviens.
Je n'y suis pas aller de main morte mine de rien, je vais devoir mettre un pansement vue que ça n'arrête pas de couler. Je reviens avec le pansement et le tend à Asher par habitude. Je pensais que ça allais déplaire à mes parent de le voir aussi prévenant avec moi mais au contraire ils sembles presque, je dit bien presque attendrit par cette vision. Ne ris quand plus de me tacher ni faire couler du sang dans l'assiette je reprend mes couverts pour continuer à manger. Ma mère fini par aborder le sujet qu'on cherchais tous a évité depuis presque une heure et demie.
-Et entre vous comment ça se passe?
Asher tourne les yeux vers moi, un peu comme dire que se sont mes parents c'est à moi de parler avec eux. J'affiche mon plus beau sourire, après tout pourquoi je me cacherai du fait que tout vas bien et que je l'aime chaque jours un peu plus.
-Tout va bien, dans quelque mois nous irons voir la migration des baleines au Canada.
-C'est une chose qui t'avais énormément plus quand tu étais enfant, dit ma mère calmement.
-Je me souviens que tu nous avez demander de mobilisé les garde-côtes pour qu'il empêche les baleine de partir et que tu puisses les admirer encore et encore, rit mon père nostalgique.
Asher me regarde en souriant je pense que l'image du petit moi qui fait un caprice l'amuse.
-Tu avais déjà un sale caractère du haut de tes six ans tu exigeais qu'on reste les admirer, ajouta ma mère.
-En même temps je voulais les regarder, je bougonne pour me défendre.
Asher souri et s'amuse dès image qui lui traverse l'esprit. Le voyant ricaner discrètement je ne peux m'empêcher lui envoyez mon poing dans l'épaule gentiment en l'intiment d'arrêter de se moquer de moi.
-En même temps t'as pas changer, t'es toujours un enfant pour certaine chose, rappelle moi qui fait des caprices pour avoir des crêpes?
-Bah t'as qu'à en faire plus souvent, je râle en levant les yeux au ciel.
-T'en a une fois par semaine au minima depuis le début du mois, s'exclame t'il en riant.
-Bah c'est pas assez, j'aime avoir des crêpes au petit déjeuner, je réponde avec une voix enfantine.
Il retiens son rire en secouant légèrement la tête pour éviter que ça ne parte trop loins, par principe de bonne éducation, mais je sens qu'au plus profond de lui il a envie d'exploser de rire.
-Arrête je sais que te moque de moi intérieurement.
-Je n'oserai pas, murmure t'il entre ses dents.
On échange une long regard complice avant de se remettre à manger. J'aime quand on se comporte comme ça. J'entend le téléphone d'Asher vibrer plusieurs fois il appuis le rouge pour couper à chaque fois mais les vibration s'est font incessante.
-C'est qui, je demande inquiet?
-Lys, Noël est une période compliqué pour lui.
-Tu devrais répondre.
-Non je rappellerais quand on sera à la maison.
Il se veux rassurant mais ses yeux le trahissent, je pose ma main sur le sienne et sourie tendrement.
-Décroche, tu peux t'installer dans mon ancienne chambre ou le jardin pour être au calme si tu veux.
Il regarde brièvement mes parents puis s'excuse et quitte la table. Lys m'a vaguement parler une fois de quand il était enfant, le jours de Noël chez son oncle, sans s'étaler sur le sujet il m'a simplement confier avoir été témoins de ce que je cite : « L'être humain est capable du pire ».
-Tout vas bien, demande ma mère.
-Oui et non un de ces ami d'enfance vis très très mal cette période.
-Tu n'avais jamais porter un regard aussi attendrit et pétillant envers tes conquête féminine, constate mon père en posant ses couverts.
Le moment est venue.
-J'aime Asher et il me fait ressentir des choses que je n'avais jamais éprouvé auparavant. C'est en parti pour et grâce à lui que j'ai arrêter l'alcool et les soirée défoncé, je confesse.
-Pourtant nous t'avons tout donner.
-Et j'en suis conscient mais je ne peux pas vivre sans lui. Quand vous l'avez envoyer en taule vous m'avez détruit. Dû jours au lendemain j'étais privé de mon oxygène, de la seule personne au monde à me procurer un véritable sentiment d'amour. Je vous en voudrai toujours pour ça mais ça ne m'empêche pas de vous aimer quand même. C'est pour ça aussi que je suis là, vous forcer à faire un choix. Soit vous m'acceptez tel que je suis et arrêtez par tout les moyens de me pourrir la vie, soit c'est le dernier repas de famille que nous faisons.