Je jouis enfin sans aucune retenue. Je pense que si il y avait des passant dans la rue il m'aurai entendu. Je tremble, je pleure car je suis complètement submerger par mes émotions. Il s'assoie à côté de moi et me prend sur ses genoux, il mordille mon cou, caresse mon corps...
-J'ai encore envie de toi, susurre t'il au creux de mon oreille.
Je répond par un baiser, je faufile ma langue pour trouver la sienne. Il s'enfonce en moi et maintient ma tête contre la sienne pour étouffer mes bruits. J'agrippe ses cheveux, sa peau, je ne sais plus quoi tenir entre mes ains tellement je brûle de plaisir. Il me donne un second coup de grâce qui me fait finir sur lui. Il attend quelques secondes puis recommence à me marteler. Je m'abandonne totalement à cet état délicieux de transe, comme si l'orgasme ne quittait plus mon corps. Mon coeur bats tellement vite que j'ai l'impression qu'il va lâcher, je perd totalement le contrôle de mon corps et de mon esprit...sa main ressert ma gorge...
-Azur, respire mon amour.
Ses lèvres déguste ma peau et me ramène sur terre, j'ouvre les yeux en complètement perdu, j'ai arrêter de compter les orgasme après sept. Je reprend mon souffle, allonger sur le lit. Je ne me rappelle même pas qu'il m'est allongé. Il est au dessus de moi, un sourire béa au lèvres.
-Ça va mon amour, demande t'il en caressant mon visage avec son pouce.
-Je ne sais pas ce que tu m'a fait mais j'adore ça, je dis en extase.
-J'avais besoins de me défouler, rit-il.
-Défoule autant que tu veux sur moi.
-Tu va déjà essayer de respirer correctement et de reprendre une couleur normale.
-Je t'aime, je sanglote.
-Bah alors qu'est ce que t'arrive.
-Trop d'émotion.
Il embrasse mon front et se lève pour aller nous faire couler un bain. Il semble aussi épuiser que moi.
-Mon coeur, porte moi, je soupir.
-Non, j'ai plus aucune force, déjà marcher c'est compliqué.
On s'installe dans le bain pendant une petit heure puis partons immédiatement nous coucher après.
Son réveil sonne, il s'étire et se lève avec difficultés.
-Bonjour, je murmure encore plein de sommeille.
-Bonjour. Dors il est encore tôt.
-J'ai envie d'un restau.
-On ira ce soir mon amour, je rentrerai plus tard j'ai un court de soutiens à donner.
-D'accord.
Il part, quant à moi je dors jusqu'à midi. Je mage l'assiette d'hier soir que je n'ai pas manger tout en répondant au message, je me lave, tourne quelques TikTok puis réalise qu'il a un court de soutiens à donner. Je lui demande par message si le court et collectif ou individuel, il me répond le deuxième choix. Je n'aime pas ça sachant comment on s'est rencontrer mais n'en fait pas un drame. J'y fait suffisamment confiance pour ne pas m'inquiéter.
Je fais le ménage, m'ambiance sur la musique et rapidement, l'heure qu'Asher rentre sonne. Ce dernier m'embrasse rapidement puis se prend une douche et se prépare pour le restaurant. Vue qu'il sort le costume je déduis qu'il a opté pour un restaurant chic. Je m'habille en conséquence et monte en voiture avec lui.
-On va manger ou?
-Au N&B.
-Tu sors le grand jeu. Que me vaux l'honneur d'un reste au ou rien qu'une entrée vaux plus chère que dix menue McDo.
-J'avais envie d'essayer.
-D'accord.
On arrive devant le restaurant, Asher signale qu'il a une réservation, le maître de salle nous installe au niveau de la baie vitrée. Je suis hypnotisé par la vue sur la ville, c'est magnifique. Sa main se pose sur la mienne, son pouce caresse délicatement ma peau. Je souri timidement.
-Au faites, je ne t'ai pas dis. J'ai discuter avec mes parents, je soupir.
-Et?
-Ils ont acceptés de débloqué mes comptes.
-C'est une bonne nouvelle, au moins tu n'auras pas à te soucier de l'argent.
-Oui, je me suis dit qu'on pourrait en profiter pour partir en voyage.
-On part déjà voir les baleines, rit-il, maintenant que je travaille il va falloir programmer les voyages sur les vacances scolaire.
-Je sais, je sais, je bougonne.
Le serveur nous amène les entrées, on commence à manger en discutant de son travail. Il semble épanoui pour mon plus grand bonheur. Même si la philosophie et l'école de manière générale ne font pas partie de mes points fort, je pourrai l'écouter en parler pendant des heures tellement il est passionné. Le dessert arrive, il réalise que ça fait deux heures qu'il parle.
-Désolé, tu dois en avoir marre de m'entendre parler des cours et des élèves.
-Non, ça faisait longtemps que tu n'avais pas parlé de quelque chose avec autant d'entrain.
-Tu as des nouvelles de ta collaboration?
-Oui, ils ont apprécié les vidéos, on doit les publier demain à dix huit heures.
-D'accord.
-Et avec ton élève en cour particulier, ça a été?
-Oui, il est simplement perdu entre les différents styles de philosophie.
-Bah oui alors que c'est évidant, je mens.
-Azur t'abuses, j'ai passé un an et demi à te les apprendre.
-Et je m'en rappelle parfaitement, je rit à moitié.
-Tu m'écoutais pendant les cours au moins?
-Oui, mais à partir du moment où j'ai eus mon diplôme mon cerveau a fait un tri. Puis j'avoue que je me rappelle plus de ton désespoir au début des cours puis quand on s'est mit ensemble de tes mains quand elles se posaient sur mes épaules.
-Dis moi que tu peux au moins me citer un style, que je ne perde pas espoir.
Je roule des yeux puis cherches quelques secondes.
-La philosophie comporte plusieurs branche, selon le type de question posé. Il existe plusieurs position philosophique, idéalisme, solipsisme, nihilisme, réalisme, rationalisme et je ne me rappelles plus de tout les types.
-Tu m'écoutais vraiment alors?
-Oui. Je ne sais pas à quoi vont me servir ces information mais elles sont dans un coin de ma tête.
-Ça te sert à comprendre la pensées des gens.
-J'imagine oui. Ça me manque de ne plus être ton élève.
-Pourtant vue le comportement que tu avais en cours...
-Ce n'est pas parce que je n'aime pas l'école que ça ne peux pas me manquer.
-En effet.
-Je trouvais ça tellement excitant les jeux de regards, je dis nostalgique.
-Moi aussi mais tu ne vas pas te réinscrire à l'école alors que tu es déjà diplômé, rit-il. Puis c'est quand même agréable de pouvoir être ensemble sans avoir à ce cacher constamment.
Je souri tendrement puis nous partons, il a insister pour payer donc je l'ai laisser faire. Il nous conduit jusqu'à la maison, j'attend que la porte soit fermée à clef pour me jeter sur ses lèvres.