Daisy

Chapitre 7 : Pablo.

Point de vue de Rafaël :

Après avoir refermé la porte à clés derrière nous on cours dans les escaliers en étant armés de nos flingues.

Les tirs partent dans tout les sens vu au bruits des balles, on cours ce réfugiés derrière le canapé vu le nombre de balle, il n'y as pas beaucoup de monde à l'intérieur en parlant d'ennemis mais je sais qu'à l'extérieur ils sont énormément.

Je tourne légèrement la tête à droite et j'aperçois quelques hommes de mon équipes qui se protègent des murs en même temp qu'ils tirent.

-Liam regarde tout autour de toi, la maison est entourés d'ennemis et il y a des ennemis dans la maison alors fait attention à chaque mouvements que tu fait. Dis-je en chuchotant.

Il hoche positivement la tête, alors je tourne légèrement la tête est au loin j'aperçois un homme alors sans attendre je lui vise entre les yeux puis il s'écroule au sol.

-Putain c'est les hommes de qui ça ?! Crachais-je.

-Aucune idée mais en tout cas la personne a fait ça pour te faire chier. M'annonce Liam.

-Je l'avais bien compris ça. Dis-je.

Les tirs s'accélèrent encore et encore sans arrêt, mais rien ne nous arrêtes et rien ne nous arrêtera.

Un tir m'effleure le pied, notre « cachette » c'est faite répéter apparemment, et Liam la compris alors je lui fait signe de partir ce réfugié dans la cuisine.

Il sait que je vais surveillé ces arrières, alors il part en courant dans la cuisine en restant armés.

Puis à mon tour je me lève et je surveille mes arrières, je pars dans la cuisine en tirant à plusieurs reprise sur des hommes.

Mais puisque j'ai étais le fils élevé entre la drogue, l'alcool, le sang, les meurtres, le Cartel et j'en passe je suis comme une machine de guerre sans expression, seulement de la colère qui peut prendre la place, par contre la peur, la tristesse, l'amour, la joie et tout le reste n'existe pas sur moi.

Alors je tire encore et encore avec mes autres hommes.

Je tourne la tête à gauche et j'aperçois un homme ennemis armés qui tient Daisy par les avant bras.

J'allais m'apprêter à courir pour ne pas qu'on me prenne ma prisonnière mais ma course ce fait arrêter par Liam qui m'a attraper le bras.

-Ni va pas, tu va y passer aussi non, ils la veulent elle, et si tu met le pied dehors alors tu mourra sans attendre une seconde, laisse simplement et on la retrouveras. Dit Liam.

Et j'avoue qu'en réfléchissant j'allais faire une connerie en me jetant dans la geule du loup, alors pendant que Liam tire de l'autre coter je me place.

Je vise et je tire dans le crâne de l'homme qui tient Daisy des deux avant-bras.

L'homme s'écroule au sol et Daisy recule par la peur du cadavre, elle pleures, son regard et planter sur le corps sans vie.

-Daisy viens. Chuchotais-je pour ne pas me faire repérer.

Son regard ce plante immédiatement dans le mien, j'agite rapidement ma main pour qu'elle vienne alors en pleurant et en tremblant elle avances.

Mais sa course ce fait arrêter par un homme qui l'a attrapé par le cou en lui mettant une serviette sur la bouche ainsi que le nez pour l'endormir.

Ces pleures ne font que de s'accumuler, l'homme n'a pas remarquer que Liam et Moi on est là mais le regard de Daisy et toujours dans mon regard.

Alors que ces paupières commencent à s'alourdir j'allais m'apprêté à tirer sur l'homme qui l'endors mais mon avant bras ce baisse a cause de la main de Liam poser sur mon bras.

-Ils sont plusieurs derrière lui, si tu te tire ils vont tirez. Chuchote Liam.

Alors discrètement je regarde derrière l'homme et Liam dit vrais, j'allais me jeter dans la geule du loup une deuxième fois.

Son regard est toujours planter dans le miens et également, alors Daisy fini par s'endormir.

L'homme la pose sur son épaule puis tout le monde sort de chez moi, plus de bruits de balle seulement des bruits de véhicules qui nous indiquent qu'ils sont partis.

-Où est Théo ?! J'ai besoin de lui maintenant ! Hurlais-je.

-J'suis la jefe. Dit Théo notre hacker.

-Va dans mon bureau, et les autres enlever mon tout ces cadavres ça m'arrangera qu'on évites de tomber sur eux. Dis-je.

Ils hochent tous la tête positivement puis Théo et Moi montant les escaliers rapidement jusqu'à atterrir dans mon bureau.

Rapidement je referme la porte derrière nous et je m'assois sur ma chaise et lui sur la chaise en face.

-Théo, tu est notre hacker, Daisy à étais enlever par des hommes qui m'est inconnu pour l'instant, je voudrais que tu trouves l'identité de ces hommes pour qui ils travaillent et qu'on la retrouve le plus vite. Dis-je.

-D'accord, tu as un ordinateur ? Demande Théo.

Sans répondre je sors un ordinateur portable, je l'ouvre en mettant le mot de passe puis je lui donne.

Rapidement il tape des touches sur l'ordinateur alors je m'installe à coter de lui pour regarder.

Théo est un homme très bon pour l'informatique, c'est pour ça qu'il est engagé depuis quelques années en tant qu'hacker.

Il est sur un logiciel, un logiciel privée seulement avec le droit des Cartels dessus qui est interdit par la loi mais comme je l'ai dis seulement les Cartels y ont accès, même pas les flics, alors il inscrit le nom du Cartel « Valasco » puis il entre le mot de passe hacker de mon Cartel.

Il est maintenant sur un logiciel pour réformer un visage, alors en quelque minutes il forme le visage d'un des cadavres qui nous as attaquer il y a moins de dix minutes.

Une fois le visage de former on valide pour voir son identité. Ça consistera, le nom, le prénom, la date et le lieu de naissance, l'adresse, et pour qui il travaillait.

Alors Théo appuie sur valider et le rond de chargement ce met en route. Alors on attend patiemment.

« Problème de navigateur, veiller ressayer dans une semaine ».

-Putain de mierda ! Hurlais-je.

-On devra ressayer dans une semaine on as pas le choix. M'annonce Théo.

-Mais il n'y a pas d'autres site où je sais pas quoi ?! On peut pas attendre une semaine, sois elle mourra dans les mains d'un autre sois elle ne souviendra pas de la personne qui as ma came ! Elle ne peut pas mourrir dans les mains d'un autre, elle doit mourir sous mes mains à moi ! Crachais-je.

-Non il n'y a pas d'autres sites, une semaine jour pour jour. Dit-il.

Alors rapidement je sors de mon bureau et la porte claque derrière moi.