Chapitre 11 : Bleus.

334 9 0
                                    

Point de vue de Daisy :

J'ouvre difficilement mes paupières, moi qui voulaient ne plus jamais les ouvrir.

Et dès que les yeux sont ouverts je tombe nez à nez avec ces yeux, ce bleus.

Je regarde ce visage qui se situe à coter de moi et qui me regarde.

Mais on dirait Rafaël en femme, cheuveux noir, yeux bleus d'une couleur glace, tout pareille mais en femme. Alors c'est sûrement sa soeur.

-Holà.. comment tu va ? Me demande cette femme.

-Holà.. sincèrement je ne sais pas et vous ? Dis-je.

-Bien, tutoie moi, je m'appelle Rosalia, je suis la jumelle de Rafaël. M'annonce-t-elle.

-D'accord.. je m'appelle Daisy.. Dis-je.

-C'est très beau, dit moi j'ai une question ? Dit-elle.

-Je t'écoute ?.. Dis-je.

-Esque Pablo t'as ?.. Me demande-t-elle.

-Non.. il as essayé de nombreuses fois mais je finissais toujours avec des coups et je pense que ça peut se voir.. Dis-je difficilement.

-Humm, et pourquoi as-tu fait une tentative ? Me demande la jumelle de Rafaël.

-J'étais à bout.. je voulais juste m'enfuir de ces cauchemars interminables.. Dis-je.

Une larme à automatiquement couler sans que je le veuille, alors rapidement je l'efface.

Elle pose sa main sur mon épaule droite en me fais et un léger sourire.

Alors je lui donne également un petite sourire.

-Si tu as besoin demande à me voir. Dit-elle.

J'hoche positivement la tête et la porte s'ouvre, nos regards ce posent sur la personne qui est entrée.

Et c'est personne d'autres que Rafaël Valasco.

Alors Rosalia ce lève et sort de la chambre, mais Rafaël entre dans la chambre et s'assoit sur le bord du lit sans parler.

Et je pense que tu fait que Rafaël m'est sauvée je lui en devrais une.

Et sans rien dire il prend mon menton et il regarde chaque recoins de mon visage.

-Merci.. Dis-je.

Il ne répond pas mais il continue de regarder chacun de mes recoins de visage, son regard tombe sur mes lèvres, il regarde un certain moment puis son regard revient dans le miens.

-Chez moi, je pense que c'est mon beau-père. Annonçais-je.

-Tu pense que ma cargaison ce trouve chez toi détenu par ton beau-père ? Me demande-t-il en répétant.

-Oui.. dans une cave, personne n'a jamais pue entrez dedans à part lui. Dis-je.

Puis il me fixe sans répondre ni rajouter quelque chose, il le regarde seulement sans le lâcher du regard.

-Je te l'avais pourtant dit que je décider quand tu mourrais ? Alors puisque je ne l'ai pas décider tu ne l'ai pas. M'annonce-t-il.

Alors cette fois c'est moi qui le regarde sans répondre.

Et cette fois je peux mieux le décrire puisque il n'a pas de rage que son visage, il est neutre.

Il as les cheveux noirs, les cheveux coiffée avec des ondulations décrite sûrement par une mousse coiffante pour l'effet mouiller, les yeux bleus d'une couleur glace, les cils de la même couleur que les cheveux, une peau de la même couleur que la mienne, des tatouages du cou jusqu'au pied sûrement. Il as des boucles d'oreilles des deux oreilles en diamant blanc, et une chaîne en argent. Et il a l'air vraiment calme pour l'instant.

-On part demain matin à neuf heures. Dit-il en ce levant.

-On ? Répétais-je.

-Oui « On », toi, moi, et l'équipe, repose toi même si il n'est que quinze heures. Annonce-t-il.

Alors il sort de la chambre en fermant à clés pour ne pas que je m'enfuis sûrement.

Je me lève de ce lit dans le quel j'étais assise, il y a une autre porte reliée, c'est sûrement une salle de bain alors je baisse la poignet mais c'est également fermé à clés, ils ont pensés à tout.

Alors je me retourne et rien qu'à la décoration je sais que c'est la chambre de Rafaël.

Un lit deux places, une armoire, un bureau, et j'aperçois sur le bureau une photo de famille et une photo du Cartel.

Dans la photo de famille s'y trouve une femme et un homme qui sont sûrement les parents, puis deux jumeaux d'environ dix ans qui sont Rafaël et Rosalia, et une petite fille d'environ trois ans qui est sûrement leur petite sœur.

Le papa est brun et les yeux bleus, comme Rosalia et Rafaël et je comprends mieux d'où viennes leurs yeux, la maman as les cheveux d'une couleur noir est les yeux marrons caramel, Rafaël et Rosalia vous savez déjà à quoi ils ressemblent, puis la petite fille est brune au yeux marrons caramel. Une photo de famille ou les filles sourissent mais les garçons ne sourissent pas.

Puis la photo du Cartel, il y a des hommes qui sont sûrement les hommes les plus proches de Rafaël, mais j'en connais deux, seulement Rafaël et Liam.

Ils sont environ une six hommes, armés sur cette photo, Rafaël est habillé comme d'habitude en full black mais les hommes eux sont en jean bleus et en chemise blanches, tous on les manches remontes au coudes, et rien qu'à la carrure de cette photo on comprend que c'est un shooting photo.

Mais je redirige mon regard sur la photo de famille parce que ça me fait de jolie souvenirs.

Le moment où c'était seulement mon papa, m'a mère, moi et ma petite soeur.

Juste nous quatre mais non un jour tout est partis en miette, et je suis partie en miette par la suite.

Je dirige maintenant mon corps et mon regard sur une fenêtre qui me montre le paysage.

Je baisse le regard sur moi et j'aperçois un bandage autour de mon poignet, mon avant-bras et une chemise qui est sûrement à Rafaël. Et j'avoue que que le coup je veux la retirer mais si je la d'égide je me retrouve en soutien-gorge alors on va éviter.

Alors je continue de regarder le paysage qui s'offre à moi, ça faisais longtemps que je n'avais pas vu de la nature.

Mon observation ce fait arrêter par le bruit de pas dans la chambre, alors je me retourne et j'aperçois Rosalia avec un t-shirt à la main et un plat.

-Tiens Daisy, tu en as besoin, j'ai quelque chose à faire mais je reviens dans la journée d'accord ? Dit-elle.

Je lui souris en la remerciant puis elle sort de la chambre en fermant à clés certainement sous la demande de Rafaël.

Je retire cette chemise que je plie puis j'attrape un top noir que ma donné Rosalia.

Puis j'attrape l'assiette de nourriture, et je mange tranquillement en regardant la vue qui m'est offerte.

Et j'avoue que je je ne sais combien de temp je suis rester devant cette fenêtre.

Il fait toujours autant jour mais je me fatigue, et j'ai beaucoup trop honte d'aller me coucher dans le lit de mon kidnappeur alors je m'assois contre le mur qui contient la fenêtre, je me recroqueville en collant mes jambes à ma poitrine et en enroulant les jambes de mes bras puis je pose ma tête sur mes genoux.

Et doucement la fatigue me rattrape et je ferme les paupières, pour tomber dans un sommeil profond et réparateur.

DaisyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant