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CHAPITRE VINGT QUATRE: « on va profiter. »

LOS ANGELES — CALIFORNIE.
TP SMITH POV.

JE PENSAIS QUE j'allais mourir ce soir là, les coups que les personnes m'infliger ainsi que ceux de Kendall, malgré mon message à Lou les minutes étaient devenus comme des heures.

Quand j'ai vu Payton, Lou et Tubbo s'approchaient de nous j'avais l'impression d'être dans un rêve. Les bras de Tubbo qui m'entoure et m'embrasse me demandant si j'allais bien je ne pu m'empêcher de sourire en sentant sa main caresser mes cheveux.

Je n'avais jamais vu Payton aussi énervé, Lou non plus elle était prête à briser les jambes de Kendall. Après que ce cauchemar se soit terminé, nous étions allés à la voiture, J'étais sur la plage arrière avec Tubbo d'un côté Lou de l'autre, mon meilleur ami avait entrelacé ses doigts avec les miens en la caressant doucement avec son pouce.

Il sait comment me rassurer.

Lou de l'autre côté me caressait les cheveux et avait une main posait sur mon bras. J'avais qu'une seule envie: dormir. Payton conduisait, il ne parlait pas, mais je le voyais à ses bras qu'il était tendu.

Une fois que la route se fini, nous sortons de la voiture je fus soutenu de chaque côté par Lou et Tubbo, on monte les quelques marches avant d'atteindre la porte d'entrée et d'enfin retrouver notre lieu en sécurité.

— Tu as besoin de repos. Tu vas aller dans la chambre à Payton, si tu veux. Me propose Troy en refermant doucement la porte.

— Ça me va. Je réponds d'une voix faible.

J'avais mal partout, mal au corps entier, mes côtes me faisait mal à mourir et mon ventre était dans un sale état. Mais je n'avais pas envie d'aller à l'hôpital, si ils appellent mon père ?

Toby me pose délicatement dans le lit, je lui souris comme pour le rassurer - sachant pertinemment que cela n'allait rien changer -. Je m'installe confortablement puis Tubbo s'installe à mes côtés au bord du lit.

— Pourquoi tu m'as pas prévenu ? Il me demande, tristement.

— Je n'avais pas envie que vous sachiez que j'allais voir John. Répondis-je en grimaçant.

Chaque paroles me coûtait une grimace de douleur. Toby baisse les yeux, laissant ses cheveux long retomber devant ses yeux, mon meilleur ami s'inquiète toujours pour moi et fait toujours attention que j'ai tous ce que j'ai besoin.

Quand je fais une crise d'angoisse ou que je stresse un peu trop il sait pertinemment comment m'aider et comment me rassurer. Et ça sans même que j'ai eu besoin de lui en parler.

— J'ai vraiment eu peur que tu sois morte. Je sentais dans sa voix qu'il allait pleurer. J'ai pas envie de perdre ma meilleure amie.

Son regard se redresse vers moi, ses yeux brillaient, je fronce les sourcils et sentait ma gorge se nouer, ne pleure pas ou je vais pleurer.

— Si il t'arrive un malheur je sais même pas si je pourrais me relever. Ne fait plus jamais ce genre de connerie sans rien nous dire. Il me dit ça énervé mais avec les larmes qui coulent le long de ses joues.

Je me redresse rapidement comme si je ne ressentais plus la douleur et j'entoure mes bras autour de sa nuque en me mettant à pleurer.

— Je suis désolé je t'aime. Je lui dis en essayant de cacher mes sanglots.

Tubbo pose ses mains dans mon dos avant de me serrer contre lui en enfonçant sa tête dans ma nuque.

— Vient te reposer t'en a besoin. Je lui dis en me remettant coucher.

— Et Payton ? Demande mon meilleur ami.

C'est vrai que nous étions dans sa chambre. Tant pis.

— Tant pis. Il prendra le canapé.

Tubbo rigole avant de s'installer à mes côtés.

- UN PEU PLUS TARD -

Je me réveille soudainement car je ne sentais plus la présence de Tubbo à mes côtés. Je fronce les sourcil en tapotant la place à mes côtés, soudainement la porte s'ouvre délicatement.

— Oh tu es réveillé ?

Je reconnais la voix de Payton, je soupire légèrement avant de dire que oui vu que je ne sentais plus la présence de mon meilleur ami. Payton s'installe à mes côtés, droit comme un pic en regardant son mur.

— Pourquoi n'avoir rien dit ? Me demande t-il froidement.

— J'avais pas envie que vous le sachiez. C'est mon histoire pas la votre.

— Excuse nous de vouloir faire attention à toi ? Rétorque t-il aussi tôt agacé. Tu te rends pas compte que t'aurais pu mourir en fait ?!

— BIEN SUR QUE SI ! J'AI MERDÉ J'AI COMPRIS. Me m'ai-je à crier en me redressant pour le regarder. Je savais que si j'allais dire « je vais voir Johnny ! » Je savais déjà ta réaction Payton.

— Ohhh tu veux m'engueuler parce que je m'inquiète pour MA PUTAIN DE COPINE QUI SORT COMME UNE INCONSCIENTE LE SOIR ! S'énerve t-il.

Je m'arrête de parler, son ton énervé m'avait coupé le souffle mais sa fin de phrase m'avait d'autant plus mise sans voix.

— Ta copine ? Je demande confuse.

— Tu crois que j'embrasse sans signification ? Réponds t-il toujours aussi froid.

— Tu- tu veux qu'on se remette ensemble ? Malgré que je retourne à Londres dans deux semaines ? Je demande, comme intimidée.

— Putain T/p. Ça fait un mois que JE TE VEUX. Tu crois que je vais refaire les mêmes erreurs et te dire « ouais t'as raison pour la distance on va éviter » ?

Je le regarde dans les yeux malgré qu'il faisait sombre dans la pièce, les lampadaires éclairaient sa chambre correctement. Je ne savais pas quoi dire.

— Profitions jusqu'au dernier jour. Et on verra si je vais t'abandonner. Propose t-il.

— D'accord.

Ses bras musclés m'entoure soudainement et me serre contre lui, je grimace avec la douleur mais je me sentais bien dans ses bras je n'avais pas envie de lui dire qu'il me faisait mal.

— Repose toi.

Sa voix était redevenue calme, il passe une de mes mèches de cheveux derrière mon oreille avant de m'embrasser tendrement. Je souris malgré moi avant de m'installer contre son torse et me rendormir.

ꨄWhere stories live. Discover now