les oiseaux noirs

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- Bonjour ! J'espère que tu as bien dormi Mélody, parla le premier homme que la jeune fille avait rencontré.
- Alors de une, non je n'ai pas bien dormi et de deux, comment vous connaissez mon prénom ? questionna l'élémentaliste.
- On ne fait jamais quelque chose sans se renseigner.
- Ah oui ? Et, c'est qui on ? Vous êtes qui vous ?
- Nous sommes...
Un homme passa devant Mélody en chantant.
- Ils m'entraînent au bout de la nuit, les démons de minuit, m'entraînent jusqu'à l'insomnie, les fantômes de l'ennui !

L'inconnu se racla la gorge.

- Pardon, patron. Je ne recommencerai plus, pleura le chanteur à la pire voix du monde et chantait avec une brosse à la place d'un micro.
- Où en est t'ai- je déjà ? Ah, oui. Nous sommes...
- On communique dans le skeu skeu, trop de méchants ils veulent nous skeu skeu...

L'homme se racla encore la gorge.

- Oh, mon dieu. Désolé patron.
- Enfin bref, nous sommes les oiseaux noirs.
- Drôle de nom, répondit Mélody. Comment va Damon ? Allez dites le moi.
- On m'a appris qu'il était devenu vert de rage hier soir. Y paraît que c'est parce qu'il a oublié de te dire quelque chose et qu'il a peur de ne plus te revoir, mais il ne faut pas s'inquiéter si tu coopères, tu pourras le voir.

Toute la matinée, l'homme et ses complices sécurisa la pièce pendant que Mélody essayait de trouver le moyen de libérer Damon.

Mais elle ne trouva pas d'autre solution que de gagner la confiance des oiseaux noirs. Et c'est ce qu'elle fait le soir même.

Mais ce groupe rebelle est bien plus intelligent qu'elle ne le pensait. Mais la jeune fille réussit à venir à bout de ces horribles ravisseurs. Mélody vola les clés des cachots, elle trouva Damon et dut essayer toutes les clés pour rentrer et libérer le jeune garçon.
- Tu as réussi à leur échapper ! Bravo !
- Tais-toi on va se faire repérer, rétorqua Mélody. À moins que tu ne veuilles rester, ah oui, ça doit être ça. Bon allez au revoir alors.

Elle commença à partir avec un petit sourire aux lèvres.

- Non, non ! Revient je ne veux pas rester ici, en plus la nourriture est dégoûtante.
- Ok, je reviens, dit-elle en revenant, fière de la blague qu'elle venait de faire. Allez, lève toi nous devons sortir de cet endroit.
Ils sortirent à pas de loup et atteignirent la sortie au bout de quelques heures.
Enfin arrivée, cette grotte est un vrai labyrinthe, songea Mélody.
Le vent doux et mélodieux soufflant sur leurs visages faisait un bien fou aux deux adolescents. Mais bien-sûr, il fallait que quelqu'un remarque leur absence, et là, un course poursuite fut déclarée.

- Ça, c'est la cerise sur le gâteau, pensa la jeune fille.
- Alors qu'est ce que tu as appris sur eux ? demanda Damon.
- Tu trouves que c'est le moment ?
- Bah oui, quelle question, continua-t-il en courant.
- Pour commencer, leur groupe s'appelle les oiseaux noirs, puis, j'ai rencontré un gars qui chantait super méga giga mal et qui chantait avec un brosse à cheveux.
- Et ? insista son meilleur ami.
- Et rien du tout.

L'homme qui les poursuivait se rapprochait de plus en plus et les deux ados durent mettre le turbo et courir plus vite.

- En même temps, ils sont coriaces, continua Mélody. Ils m'ont dit des choses publiques par contre toutes les informations personnelles ils les gardent pour eux.
- Nous devons courir comme ça pendant combien de temps encore ?
- Je sais.
- Et ?
- Accroche toi.

Mélody fit apparaitre une tornade qu'elle contrôla parfaitement. Cette tornade emporta loin, très loin Damon et Melody. L'homme dut abandonner sa course poursuite.

La tornade se posa et disparut.
- On est où là ? demanda Damon.
- Nous devons être à Rouen. Regarde ce panneau, il nous indique où on ai. Et on ai à Rouen.
- Ok mais, je n'aime pas cette ville. On ne peut pas changer de destination ?
- Si. Mais on est bien là et...
Damon lui fit son regard de chien battu.
- Non, non Damon, non.
- Je vais être tout triste si tu ne m'emmènes pas ailleurs.
- N'importe quoi, n'importe quoi, rigola Mélody.

Alors, avec tout l'insistance des deux jeunes ados, ils finirent par rester que jusqu'à la tombée de la nuit.
Le soleil partit, Mélody créa une tornade (pour la deuxième fois) qui les emmena au sud de Paris.

Arrivé à destination, Damon montra le chemin à son amie. Mais Mélody, étant fatiguée, pouvait sentir que ses jambes étaient sur le point de la laisser tomber. Et c'était le cas.

Au bout de quelques minutes, Mélody s'effondra par terre et heureusement, Damon, qui était devant la vit et l'attrapa à tant.
- Ça va ?
- Oui, oui ça va, ne t'inquiète pas, répondit-elle en se levant mais elle retomba aussitôt.
- Je ne suis pas d'accord. Laisse moi te porter.
Sur ce, il porta Mélody. L'élémentaliste pouvait sentir la chaleur que reflétait le corps musclé de Damon. Et, comme tout le monde peut s'attendre, elle finit par rougir un peu.

Mot de l'auteur
Coucou mes lecteurs adorés ! Petit mot que je voulais vous dire :
Si vous en êtes à ce chapitre, c'est que vous êtes de vraies merveilles ! 😍
Enfin bref, désolé si j'ai fait des fautes d'orthographe et merci pour votre grand soutien. Ça me touche vraiment. 🥰😊☺️
Mon cœur va fondre si vous continuez. 🫠 Au prochain chapitre !

Gardienne De La NatureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant