VINGT-TROIS

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Brûlant de rage, la jeune femme fixa l'homme cinqs minutes durant, avant d'enfin se résoudre à se détourner. Elle le toisa enfin et aulieu de partir s'asseoir, elle fit demi- tour et retourna dans sa chambre.
Sa porte ne tarda pas à s'ouvrir sur Émilie, qui semblait surprise de son comportement.

- s'il te plaît, apporte-moi mon repas ici, je ne mangerai pas avec cette homme.
Fit Lydy avant qu'Émile ne dise quoi que ce soit.

Émilie, fit oké de la tête et s'exécuta. À peine 5 minutes plus tard elle ouvrit la porte sur une desserte chargée à l'extrême.
Mais malgré tout, Lydy mangea peu. Elle était si énervé qu'elle avait perdu l'appétit.
Comment cet homme pouvait-il se montrer si haustère?

Elle passa toute la journée dans cette mauvaise humeur, si bien qu'Émilie, pénant à lui desserer les dents, se plaignit plusieurs fois.

Lydy laissa passer le temps tout en restant cloîtré dans sa nouvelle chambre où la beauté et le luxe ne lui faisait plus aucun effet, comme s'était le cas avant, et dîna seule plus tard dans la soirée. Ou encore avec Émilie, qui toujours perceverante, refusait d'accepter de la voir comme ça, ni de la laisser seule et encore moins dîner seule, enfermé dans la chambre.

Lydy la trouva adorable et pu malgré elle apprécié sa compagnie car qui pouvait resister face à une fille si adorable, bavarde et gentille?

Quand elle se réveilla le lendemain, Émilie était encore là, rechargé d'énergie, si bien qu'elle communiqua sa bonne humeur à Lydy.

Celle-ci decida de descendre pour le petit déjeuner et reprit là où elle s'était arrêté avec le Mafieux.

- il faut qu'on parle de ce qui s'est passé la nuit dernière Ivan.
Dit-elle avant de soudain être surprise par le gène, car elle revit une fraction de seconde leur corps nus enlacés l'un contre l'autre, et entendit leur cris d'extase respectifs.
Elle se modit sa lèvre.
Ils avaient sincèrement prit un plaisir fou ce soir là, elle s'ouvrant pour la première fois à un homme.

- aujourd'hui n'est pas différent de hier Lydy, qu'est-ce qui te fait croire que j'ai changé d'avis?

Lydy plissa les paupières pour contenir sa rage naissante qui bouillait déjà au fond d'elle et repartit s'asseoir.

Elle piqua dans son assiette, cherchant les mots à dire mais pour son plus grand malheur, sa tête était une fois de plus vidé.
Le regard d'Ivan était glacé. Ça transparaissait qu'il n'était pas du genre à discuter de ce genre de choses, mais elle avait besoin de réponse, et le plus vite possible.
De toute sa vie elle avait clairement apprise que les rapports sexuels était des choses très importantes et donc il n'y avait pas moyen de songer à coucher avec un homme pour ensuite faire comme si de rien n'était. Elle n'était pas femme à pouvoir vivre de cette manière.
Elle laissa tomber à ce moment mais revint à la charge au milieu de la journée.
Cette fois elle était si déterminé que rien ne put l'arrêter.
C'était soit l'homme concédait à lui parler, soit il la renvoyait chez elle, pas une minute de plus à vivre en portant le poids de ce tourment.
Elle sortit de sa chambre, traversa toute la maison car le bureau était désormais à l'autre bout de la bâtisse, puis débarqua dans celui-ci, surprenant Ivan et Cruz qui duscutaient affaires au moment même.

- Cruz, sort s'il te plaît.
Lâcha-t-elle
Cruz lui jeta un regard à la fois surpris et brouillé.
Il était surpris à cause de l'intrusion de la jeune femme, et brouillé à cause de ce qu'elle se permettait de lui ordonner.

Il se tourna vers Ivan, mais celui-ci lui fit signe de partir en faisant oké de la tête.
Cruz jeta un dernier regard à la jeune femme et partit.

Ivan croisa les droigts sous son menton.

- alors à nous deux cara.

- tu as une manière, de traiter les femmes que jamais je ne pourrai accepter. nous devons immédiatement parler de nôtre relation, pour être plus précise, de ce qui s'est passé entre nous, c'est ce que je te dis pour la énième fois et tu peux être sur que je ne sortirai pas de cette pièce tant que tout n'aura pas été complètement clarifié.

Ivan ébaucha un sourire et fit oké de la tête.

- et tu veux savoir quoi plus précisément?

Et puis bam! Une fois encore le cerveau de la jeune femme se vida. Elle voulait savoir quoi en vrai?

- je euh....

Ivan se leva.

- tu veux savoir pourquoi nous avons couché ensemble?

Il se rapprocha doucement, mais tout de même trop vite, car trop rapidement il se planta devant elle, achevant de lui rendre impossible de dire quoi que ce soit de claire.
Elle fit oui de la tête puis tresailli quand l'homme lui attrapa le menton, pour lui soulever la tête,Pendant que la génitrice du mafieux pénétrait avec assurance dans l'enceinte de la somptueuse demeure.

PLUS JAMAIS NULLEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant