Nos cœurs brisés

XI

Pdv Victoria Jung :

Je me réveille avec un mal de tête insoutenable. J'essaie de me rappeler de la veille. C'est compliqué.

Je sors du lit, et je me rends compte que je ne porte plus ma robe mais bien le t-shirt vert de Tom. J'essaie une nouvelle fois de me remémorer.

Je reste assise au bord du lit pendant un petit moment. Je veux me rappeler. Si j'ai le t-shirt de Tom, c'est qu'il a été mignon avec moi.

5, 10, 15, 20 minutes s'écoulent et toujours rien.

Aussi, je me rends compte que je ne suis ni dans le salon, ni dans ma chambre mais bien dans celle du guitariste.

J'observe la pièce, regarde le sol et y vois nos 12 verres à shots et la bouteille de Tequila que nous avons plutôt bien consommée.

Soudain, les événements me reviennent peu à peu à l'esprit. J'ai bu, même trop bu. J'ai fini bourré et je me suis humilié en me pensant être drôle. Résultat, je n'ai pas assisté au repas car je suis allé me coucher.

Mais où est le rapport avec Tom ?

Il a sûrement dû s'occuper de moi. Je vais aller questionner Bill.

Pdv Tom Kaulitz :

Je suis sur le canapé, j'ai laissé ma chambre à Victoria.

J'ai terriblement mal dormi. Elle a intérêt a avoir eu une bonne nuit de sommeil.

Je repense aux événements d'hier. J'ai osé lui dire qu'elle était sublime ? C'est tellement pas mon genre. Je suis plus du style à embrasser les meufs qu'à leur faire des déclarations. Mais à elle, je lui en ai fait une, en quelque sorte, sans qu'il ne se passe quelque chose entre nous.

Ça ne m'étais jamais arrivé avant.

Elle doit vraiment être spécial pour que je puisse lui avouer ce que j'ai sur le cœur. Surtout une chose aussi intime.

Il est 6h30 et j'entends des pas descendre les escaliers.

J'aperçois la silhouette de Victoria entrain de porter mon t-shirt.

Putain, qu'est ce qu'elle est belle.

Tom : Coucou toi.

Victoria : Oh salut ! Bien dormi ?

Elle s'assoit à coté de moi, sur le canapé.

Tom : Pas vraiment, le canapé n'est pas très confortable.

Victoria : Ça je te le confirme.
Ahaha.

Tom : Sinon toi comment ça va ? Tu étais dans un sal état hier.

Victoria : Olala m'en parle même pas. J'étais pitoyable.

Elle mis ces mains sur son visage. Elle est toute gêné. C'est mignon je trouve.

Putain, qu'est ce qui m'arrive ? Non, Victoria n'est pas mignonne. C'est ma meilleure amie. Oui une meilleure amie beaucoup et qui est beacoup trop fraîche.

Tom : Tu sais qu'on va se faire engueuler ?

Victoria : Eh oui. Mais ça en valait la peine !

Tom : Oui, c'était drôle de te voir soule. Ça fera des anecdotes à raconter à nos enfants.