Death-Blood 1

MANOIR DE HEATHERBLOOD

Les nuits étaient particulièrement froide a Death-Blood, bien plus que la journée et a n'importe quel saison de l'année pour le plus grand malheur des habitants de la ville même si quelques-uns avaient le courage de sortir lors des nuits glaciale pour aller se balader et qui plus est, même après le meurtre qui avais été commis au Death-Blood Park, malgré les avertissements des enquêteurs qui proclamaient qu'il était fortement déconseiller de sortir la nuit. Mais malheureusement, cela eu pour effet inverse pour certains.

Près de la sortie de la ville où il fallait traverser une sombre forêt qui était surnommé par les habitants "la forêt maudite" qui après derrière celle-ci laissait place a un immense manoir laisser a l'abandon que la forêt s'évertuait pour le plus étrange voir même inquiétant, a cacher. Mais avant de réussir a pénétrer l'intérieur de ce lieu inhabité depuis ce terrible évènement qui s'était produit il y a plus d'un siècle faisant des victimes, il fallait oser avec courage traverser la forêt maudite, passer la grille en fer forger ou passer les murs de pierres entourant la vieille bâtisse puis enfin, réussir a trouver une entrée pour s'aventurer à l'intérieur du manoir qui n'était pas chose facile. Mais quand on avais un objectif bien en tête et qu'on été persévérant malgré les échecs, tout été possible. N'est-ce pas ?

Et effectivement, ce qui n'allais pas tarder a être inévitable le sera...

- Éteint cette foutu lampe ! chuchota une voix mais assez fort pour que la personne qui l'accompagne l'entende.

- D'accord, d'accord, répondit la personne en question sur le même ton mais moins fort que son interlocuteur.

Il s'agissait de jeunes adolescents âgés entre seize et dix-sept ans qui avaient voulu comme beaucoup d'autres avant eux, explorer l'immense manoir abandonné où tout de sortes de rumeurs circulaient à son propos comme beaucoup de ces lieux-ci qui subissait un drame. Parce qu'il était évident que ce manoir n'était pas le premier a être sujet aux rumeurs et ne serai certainement pas le dernier. Pas vrai ?

Les jeunes adolescents allâmes se prostrés devant la grande et lourde porte aux doubles battants de l'immense bâtisse avant que l'un d'eux, qui avait rallumé sa lampe ne marmonne des jurons en voyant que des énormes chaînes entouraient les grosses poignées avec, comme si ce n'était pas suffisant pour éloigner les indésirables, d'un cadenas.

- Viens ! s'exclama l'un d'eux avant de descendre la marche pour contourner le manoir et essayer de trouver une autre entrée, son complice sur ses talons. Nous allons vérifier la porte de derrière.

En contournant la grande bâtisse, ils ne furent pas déçus de tomber sur une autre entrée dépourvu de chaînes et de cadenas. L'un d'eux se dépêcha de retirer son sac de ses épaules avant d'en sortir deux épingles à cheveux et de s'accroupir pour se mettre à la tâche d'ouvrir la porte.

- Euh... Mathis ?

- Pas maintenant, j'y suis presque !

- Mathis ! s'exclama son complice entre ses dents.

- Quoi ? grogna son interlocuteur en se retournant pour le fusiller du regard, même si malgré la semi-pénombre son ami eu dû mal a le remarquer.

- Je crois que la porte est déjà ouverte. Et aussi que la baraque est squatter, ajouta-t-il en regardant par-dessus l'épaule du dénommée Mathis.

Ce dernier se retourna avant de froncer les sourcils en constatant que l'un des carreaux en verre de la porte était briser.

- Pff... qui aurait envie de vivre là, marmonna-t-il sans attendre de réel réponse. Forcément des sans-abris qui n'ont nulle part où aller.

Sans laisser le temps a son ami de reprendre, Mathis prit son sac avant de faire signe a son complice de le suivre et de pousser la porte où une grimace leur barra le visage quand ils entendîmes celle-ci grincer mais aussi le plancher dès qu'ils eurent passer le seuil. Ils passâmes la cuisine avant de traverser un long couloir qui donna sur un immense hall pourvu d'un grand escalier en son centre qui donnais sur l'entrée principale où un gigantesque tapis qui devais être autrefois d'un magnifique rouge était dans un état pitoyable avec des déchirures et des trous par-ci-par-là. Et même si l'endroit paraissait sinistre, poussiéreux, infesté de thermites, d'araignées etc... il n'en restait pas moins que l'intérieur de ce lieu restait magnifique et qu'il devait l'être encore plus a sa propre époque.