Chapitre XXII, Everson

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Rodrigo se tiens face à moi, un grand sourire au lèvre qui me mets froid dans le dos.

Quelqu'un entre dans la pièce, une fine silhouette que je reconnais très bien.
-« Angela ! » - elle se précipite sur moi pour m'enlacer.
« Je suis tellement ! Tellement désolée ! » - Rodrigo la prend et la bouscule pour qu'elle se sépare de moi.
Qu'est-ce qu'elle fou la !

Je suis dans l'incompréhension complète.
« Je ne savais pas qu'il allait te faire ça je te jure ! » - Angela se met à pleurer et regarde Rodrigo.
« Pourquoi tu fait ça ! » - elle lui donne un coup au torse, celui ci ne dis rien.
-« C'est quoi se bordel Rodrigo ! » - l'es deux hommes ramène Klaus devant moi.
-« Klaus ! » - il m'adresse aucun regard, celui-ci est river vers l'homme en face de moi.
Plus personne ne parle, seul les pleures d'Angela se fait entendre.
-« Libérer nous ! » - il rigole et me répond,
« Non ma cher Everson » - j'ouvre légèrement les yeux.
-« Co - comment vous savez ? » - Klaus souffle un bon coup et baisse la tête.
-« Mais qu'est ce qu'il se passe ! » - je m'agace.
« Comment je sais ? Car on porte le même nom Anderson » - mon regard reste river vers lui.
Quoi ?

-« Le même nom ? » - mon coeur s'arrête.
Ça main viens se poser dans mes cheveux humide.
« Rodrigo Everson » - ma mâchoire tombe au sol, mon regard se pointe sur Klaus qui le fuit.
-« C'est pas possible, qui êtes vous ! » - mes larmes monte, il me mens.
C'est pas possible.

« Ton père Anderson » - Je me mets à pleurer toute les larmes de mon corps.
-« Cest pas possible ils sont mort ! » - je me secoue dans tout les sens.
Angela sort en pleure de la pièce nous laissant seul avec lui.
« C'est ce que j'ai dis à Stéphane et t'as mère biologique de te dire » - je laisse tomber ma tête.
Tout ce comprend.

-« C'est pa-pas possi-ble. » dis-je en pleure.
-« Tu me me-ens. » - ma respiration s'arrête.
« Pourquoi alors t'ont - ils pris avec eux ? » - mon regard se pose sur Klaus.
« tu ressemble à ça fille »

C'est pas possible...
Parce que je suis ça fille.

-« Klaus di-dis moi que c'est... faux ! » - il ne me répond pas.
-« Klaus ! Bordel ! » - ils m'ont manipuler de A a Z.
« Voilà la vérité, ils t'ont cacher de moi ma chérie, car je voulais te retrouver ! » - ca main s'approche mais je me recule autant que je peu.
-« N'ose même... pas me toucher ! » -
-« C'est à cause... de-de toi ! Que j-jai subit tout ça ! » -
-« Alors ne me to-touche pas ! » - mes pleures m'empêche de parler et me brouille la vue.
« Je viens juste te récupérer pour t'emmener à la maison ma puce. » - je secoue négativement de la tête.
-« Je ne... te suivrais pas ! Tout comme eux... » il rigole et une alarme retentit, il sort de la pièce nous lançant la.
C'est un rêve.

« Anderson ? » - me dis Klaus.
-« VAS TE FAIRE FOUTRE ! » - dis-je très énervée.
Crac...

-« VOUS MAVEZ TRAHIT ! » -
-« MENTIS POUR LA JE NE SAIS COMBIEN DE FOIS ! » -
-« ALORS VAS TE FAIRE FOUTRE ! TOI ET TAS PUTAIN DE FAMILLE DE MERDE ! » - j'explose complètement.
-« TES UN CONNARD, TOI, TES FRÈRES ET TON PUTAIN DE PÈRE ! » -
Je me remet à pleurer comme je ne sais pas quoi, mes pleures ne s'arrête plus.
Réveiller moi... crac...

« C'était pas mon idée » - je rigole nerveusement.
-« Rien à foutre que ce soit pas ton idée ! Tu le savais ! » -
-« Vous m'avez cachée et menti jusqu'au bout » -« Vous vous êtes servie de moi pour vous venger de lui » -
-« Vous avez mis ma putain de vie en jeu ! » -
Un silence s'installe.

Ils m'ont mentis, du début à maintenant, ils se servaient de moi bordel, j'étais juste une cible, un cobaye pour eux, je n'étais rien d'autre, n'y une secrétaire pour leur agence, n'y une pote ou une ami, je servais juste de pion principale.

« Anderson je suis désolée ! » - mon regard se pose sur lui.
Il s'excuse pour la première fois.

Mes pleures s'intensifient.
Je ne peux plus lui faire confiance.

J'ai fait ma première fois avec cet homme...
-« Je t'ai donner ma virginité, je t'ai donner de mon temps et de ma patiente, je t'ai donner ma confiance entière, tu avais le droit de me toucher et de me voir sous des formes que personne d'autre me voyait ! Je t'ai suivie et remercier un nombreux incalculable de fois. »
Crac...
-« Après tout ça, j'ai réussi à t'apprécier Klaus, vraiment beaucoup ! » -
Mon coeur de déchire pour la centième fois depuis que je suis née.

Et la, c'est une toute nouvelle sensation de douleur et une qui fait le plus mal.
-« Mais maintenant t'es mort à mes yeux » -

Aiden

Nous avons trouver l'emplacement, nos voitures se gare et nos hommes sortent armée.
Comment nous l'avons trouver ?

Après avoir été dans l'appartement de cette femme, nous avons fouillé de font en comble son chez sois, après avoir trouver diverse document, un d'eux indiquée l'emplacement d'une maison au plein milieu d'une forêt, avec situer dessus, un bunker en ses recoins. Sans plus attendre nous nous sommes dirigé vers celui-ci.
Nous sommes à 100% que ce soit ici, nous avons abattu une dizaine d'homme déjà, nous venons à l'instant de rentrée dans cette fichue baraque plus grande que n'importe qu'elle des nôtres.
« Plus personne ici » -
« Rien ici aussi » -
Nos hommes reviennent vers nous.
« Ici ! » - il nous montre une porte qui mène à un sous sol.
Ont descend lentement les escaliers pointant nos armes.
Je fait signe de faire attention derrière nous et ont continue la marche, une trappe est ouverte en hauteur avec une échelle qui mène à l'extérieur.
Et merde.

On s'avance vers une salle avec une porte en métal qu'on pouce à plusieurs.
Et la...

Anderson

Des tires se font entendre. Bordel qu'est ce qu'il se passe ?

« Je crois bien qu'on ne vas pas crever » - dit-il. Je ne lui répond pas et pousse de mes dernières force le cadavre de Stéphane a mes pieds qui me donne la gerbe.
Mes poignées craque de douleur et je retombe épuisée à genoux me fessant mal pour la millième fois.
Des bruits se font entendre et la porte s'ouvre soudain sur plusieurs silhouette.

« ILS SONT LÀ ! » - Aiden, ont est sauvée.
William se précipite sur moi accompagné d'un homme que je ne connais pas.
Il détache la chaîne en haut laissant tomber mes bras au sol, je m'échoue et ne bouge plus.
Mon sang reviens petit à petit a mes mains.
Bordel.

« Mon dieu Anderson » - William s'approche de moi pour me recouvrir mais je lui répond,
-« Ne me touche pas enfoirer » - je m'en recule le plus possible, chaque mouvement me tue le dos.
« Anderson c'est moi ! » - William se rapproche à nouveau.
-« Je sais ! » je me relève difficilement. Mes jambes me font super mal, mes genoux son hériter sous toute forme, mes poignet violet du au frottement de la corde, puis mon dos...
Je préfère pas en parler.

Une fois relevée, je regarde tout le monde, Klaus se lève à son tour.
C'est le moment de partir, je fait un pas, puis un deuxième, un devant l'autre, la porte se rapproche difficilement de moi.
« Anderson laisse moi t'aider » - me dis William qui me suis à la trace. Je ne m'en occupe pas et m'avance.
Aiden me rattrape et me prend le bras pour m'enlacer.
-« CASSE TOI ! » - je me dégage de lui.

Énervée je leur dis,
-« NE ME TOUCHER PAS ! NE ME PARLER PAS ! ALLER TOUS VOUS FAIRE FOUTRE ! » Klaus s'approche comme un zombie aider de son grand frère.
« Anderson s'il te plaît » - je me recule et part dans le couloir, comment je vais rentrer, comment je vais partir d'ici, les fuirent.

Je m'avance avec tout les molosses derrière moi.
Je m'aide des rembarres pour monter les escaliers, ce qui est difficile, une fois en haut une voix familière me reviens,

« Anderson ! » - Elle est la.
-« Angela » -

A suivre...
- Jaden Cyr-

The Dark Shadows - Jaden Cyr - TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant