Je fus réveillée par les papouilles d'Ezio, j'ouvris petit à petit les yeux.
« Coucou toi »
« Coucou »
Je me tournai pour enfoncer ma tête dans son coup. Pour respirer son odeur que j'aimais tant.
« Pas trop mal »
« Cela tire un peu mais c'est normal je pense »
« Oui ça l'est malheureusement »
On entendit dans le salon les garçons parlaient on se dirigea vers la salle de bain pour enfiler une tenue plus adéquate.
« Coucou les amoureux »
« Coucou Alex »
« Alors votre nuit » demanda Alex en bougeant ces sourcils je ne comprenais pas le sou entendu.
Je me tournais vers Ezio pour voir s'il avait compris je vis seulement un grand sourire sur son visage. Je ne comprenais vraiment pas ce qu'il voulait dire par là. Grâce à Aron je compris enfin.
« On vous a entendu cette nuit Romy »
Et là je me décomposais je gène, je crois que depuis que je les connais je n'ai jamais été aussi gênée. Je me tournais et donner une tape sur le bras d'Ezio.
« Eh toi tu aurais pu me le dire »
« J'aime te voir gêné princesse »
Oh ça je le sais mais bon malgré tout je les aimais beaucoup ces quadruplés. Je savais qu'il fallait que l'on parle du message trouvé hier.
« Les garçons ont fait quoi pour hier »
« Ce matin j'ai envoyé un message à Pops pour lui expliquer la situation »
« Et il t'a dit quoi Alec »
« On devait porter plainte »
« Bon ben on sait ce que l'on fait ce matin »
Chacun va se préparer pour cette super activité, comme vous pouvez voir je fais preuve de grande ironie. Je ne savais pas comment aller ce passait cette entrevu avec la police.
Vingt minutes plus tard nous étions en route pour le commissariat arriver devant j'avais peur, très peur même comment ça va se dérouler.
« Ne t'inquiète pas Romy on est là pour toi »
« Merci les garçons d'être là pour moi »
On entra dans le commissariat à l'accueil se trouvait une jeune femme je m'avançais vers elle anxieuse.
« Bonjour je voudrais porter plainte »
« Bonjour oui bien sur pouvez me résumer la situation s'il vous plait »
« Euh comment dire »
« Madame si c'est possible je pense qu'elle préférait le faire en intimité »
« Pas de souci je comprends, suivez-moi »
« Merci madame »
Elle nous installa dans une salle, on attendait le policier.
« Bonjour »
Un homme d'environ une quarantaine d'année venait d'entrer dans la pièce.
« Bonjour »
« Allez-y je vous écoute »
Et c'est partis je repris le discours de ma vie.
« Je suis Romy Meyers, la sœur du tueur Ivan Meyers »
« Je vois je me souviens de cette affaire »
« Mon frère me menace, apparemment il est sorti de prison »
« D'accord j'étais présent au procès j'étais chargé d'accompagner notre psychanalyste »
Je fus rassurée de ne pas tout raconter une énième fois.
« Quels sont les menaces »
« J'ai reçu des lettres, et dernièrement leur appartement à été fracturé avec un message écrit pour moi sur le mûr »
Pour la première fois, je voyais quelqu'un autre que les garçons me croient et je devais le reconnaitre c'était très agréable.
« Je vois nous allons mettre une voiture de patrouille à votre disposition, voici mon numéro de service si vous me contactez je comprendrais que vous êtes en danger et je vous géolocaliserais »
« Merci beaucoup pour tout monsieur »
On sortit du commissariat quand le téléphone de Ezio sonna. On le regardait en attendant qu'il nous explique.
« C'est Pops on doit le rejoindre à la patinoire »
« Pourquoi » demanda Alex
« Il y a un problème avec l'équipe »
« Écoutez les garçons je vais rentrer je suis fatiguée »
« Ce n'est pas une bonne idée Romy »
« Pourquoi Aron »
« On ne sait pas ce qu'il peut se passer »
« Ne t'inquiète pas au moindre problème je vous appelle, ok ? »
« Princesse tu me jures de faire attention »
« Je te le jures Ezio »
Je sais que les garçons avaient peur mais je ne me sentais pas de supporter le regard de l'équipe je voulais me reposer.
Chacun partait dans une direction différente.
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Apparences
Romansa« Rien au monde, après l'espérance, n'est plus trompeur que l'apparence » Charles Perrault On m'a haï pour quelque chose que je n'ai pas fait je dois porter le poids de ces actes. Tout le monde me déteste jusqu'à qu'ils comprennent que dans les his...