The Cycle of Wolfes, The wolf lost - I

Chapitre 43

Attention ! Lire commentaire à la fin svp ! Très important pour la suite !

Bonne lecture !

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                On s'écroule tous les quatre au sol. Jimmy reste bouche-bée. Je me redresse, sort un couteau de ma ceinture, le lance sur le type. En plein cœur. Mort sur le coup. Katleen a plus de mal avec John. Je viens a son aide. A nous deux, on le pousse contre une étagère qui s'écroule sur lui. Il en reste inconscient. Katleen et moi, on se retourne vers Jimmy en même temps. Il est encore sous le coup de la surprise. Katleen s'approche de lui. Braque son arme sur lui. Il se pétrifie.

- « Je devrais te tuer. Pour avoir tué Mary. Et nous avoir trahit. »

Elle le frappe avec son P4. Il s'écroule, inconscient.

- « Ordure. »

Je m'installe à l'ordinateur où Jimmy se trouvait. C'est trop facile. Tout est déjà ouvert : caméras, pièges, micros. Micros !!? Heureusement qu'on n'a pas parlé mais échanger des signes, avec Katleen ! Je fais ce que Scott m'a dit. Bientôt, le programme des pièges est détruit. Ensuite, celui des micros. Et enfin, celui des caméras. Sur l'écran, je vois les autres Chasseurs entrer en silence dans le Q.G., avant qu'il ne devienne noir. Bingo ! Juste à temps. J'entends du bruit dans mon dos. Je me retourne, prête à frapper. C'est John qui s'enfuit. Avec Jimmy sur les talons. On les poursuit. Ils montent à l'étage par un escalier situé juste à côté de la salle de contrôle. Escalier gardé par un homme. Katleen est la plus rapide à agir cette fois. Le gars s'écroule à terre, un couteau au milieu du front. On monte quatre par quatre les marches. Sauf qu'en haut... Il n'y a personne. On suit le couloir, sur nos gardes. De temps en temps, Katleen regarde derrière nous. Soudain, je me fige. Katleen me percute. Je ne l'ai pas prévenue. Je lui fais « chute » du doigt. On écoute. Un homme sifflote distraitement de l'autre côté de l'angle où l'on se tient. Katleen me fait signe de reculer. Je m'exécute. Elle se penche, lance un couteau et reviens vers moi. Un corps lourd s'effondre, le sifflotement cesse. Katleen regarde derrière l'angle. Elle me fait signe que c'est bon. On reprend notre vadrouille. Puis on entend... des pas discret, très proche. On ne réfléchit pas. J'ouvre la première porte que je vois et on s'y réfugie. Quatre personnes passent devant sans bruit. L'un d'eux ouvre la porte. On se colle au mur, derrière celle-ci. C'est un garçon, mais on ne voit pas son visage. Il referme sans nous voir. Ils s'éloignent. Katleen et moi allions laisser échapper un soupir de soulagement quand on entendit d'autres pas. On se retient. Ce n'est pas loin. Vers la droite. Puis vers la gauche. Un couloir parallèle devinais-je. Je longe le couloir. A l'angle, j'hésite. Me penche. Personne. Les pas se rapprochent, s'arrête puis repartent. A l'autre bout, le couloir tourne dans la même direction que celui-ci. Je fais signe à Katleen. Lui explique. Elle part devant. Je la suis. Mais en passant, je distingue une porte dans la pénombre. Je la retiens, lui montre la porte. Elle hoche la tête. J'ouvre la porte. On entre dans la pièce. Il n'y a personne. C'est un bureau. Sauf que...quelque chose cloche.

- « C'est le bureau de Peter » Me dit Katleen.

Je ne sais pas. C'est...différent de celui où j'ai trouvé le cadran de maman.

- « On va pouvoir fouiller un peu. Avec un peu de chance, on trouvera quelque chose qui le jettera en prison pour le reste de ses jours ! » S'enthousiasme-t-elle.

C'est trop facile. Beaucoup trop. Et ça me gêne. Non pas que j'aime lorsque c'est compliqué. Non. C'est juste que je connais Peter. Il m'a élevé après tout. Et ça... Ça ne lui ressemble pas. Absolument pas. Sauf s'il pense que personne ne peut l'atteindre, il n'aurait jamais laissé libre accès à son bureau. C'est comme pour sa chambre. On n'avait interdiction d'y entrer. Sinon... on risquait gros. Son bureau privé... C'est censé être pire, non ? Katleen, elle, ne trouve rien d'anormale. Elle farfouille un peu partout, dans les tiroirs et les papiers. Je fais le tour de la pièce. Observe le moindre meubles, murs, cadres...à la recherche d'un indice me prouvant que j'ai raison. Que ce n'est pas son bureau. Juste un trompe l'œil réaliste à souhait. Katleen se redresse.