31 — Loin l'un de l'autre.
Point de vue : Steeven Atkins.
J'étais rentré de Jamaïque depuis maintenant 4 jours un peu près. Une semaine s'est écoulée depuis que Servane avait rompu avec moi, je crois toujours que c'est un rêve qui ne se finit pas. Pour moi c'est faux, elle ne peut pas me quitté du jour au lendemain sans raison. J'ai du mal à avaler la pilule en étant honnête.
Pourtant, faudra bien un jour ou l'autre que je l'entre dans ma tête que Servane et moi, c'était terminé. D'ailleurs depuis mon retour en France, j'ai eu aucunes nouvelles d'elle. J'ai essayer de l'appeler ça sonne mais elle répond pas. J'ai débarqué chez elle à de nombreuses reprises pour avoir des explications mais pareil, aucune réponse. J'avais même l'impression que l'appartement était vide, carrément.
Elle faisait littéralement la morte.
Je soupir un bon coup afin de chasser mes pensées et enfile mes chaussures avant de prendre quelques affaires nécessaire puis de sortir de chez moi. C'était bien beau la Jamaïque au départ mais c'était l'heure pour moi de reprendre le travail à présent. J'ai pas envie d'y aller mais je n'ai pas vraiment le choix. Je me demandais si, j'allais la revoir au travail ou non ?
J'espérais la revoir en réalité même si la dernière fois qu'on s'était vu c'est quand elle m'a tèje. Au départ, j'étais en colère contre elle et maintenant j'aimerais juste au moins qu'on ait une discussion tout les deux.
C'est tout ce que je demande.
Je descend les escaliers et me rends dans ma voiture. Par la suite, je démarre le véhicule pour prendre le chemin direction le travail. Une fois arrivé, je stationne ma voiture avant de pénétrer dans le bâtiment. Je me rends dans notre bureau dont les lumières étaient éteins...ok. Elle n'est pas encore là.
Je m'installe et commence à remplir la paperasse. 10 minutes passent. 15 et 20 minutes mais toujours pas de Servane en vue, je commençais à sérieusement m'inquiéter mine de rien. Cinq minutes plus tard, ça toque à la porte. Je relève les yeux en pensant que c'était elle mais à la place, j'y ai vu mon responsable.
Raphaël — Bonjour Atkins tu vas bien ? T'as su bien profiter de tes vacances à ce que je vois, t'as bronzé !
Je me lève et on se serre la main.
— Je te retourne la question t'es de bonne humeur là.
Raphaël — J'ai passé un bon week-end c'est pour ça.
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Le mental d'un guerrier
Ficção Adolescente«L'amour c'est comme la guerre, facile à démarrer, difficile à finir...et impossible à oublier». Histoire terminée.