28 — Poison.
Je me lève lorsqu'une personne toque à la porte puis lui ouvre. Je culpabilisais en le voyant. Pourquoi il faut toujours que je foires tout ce que j'entreprends ?
Moi — Salut, toi.
Il m'observe sans rien dire et sans émotion avant de sortir son cellulaire. Mon cœur battait. Était-il au courant de ce qu'il s'était passé entre Yohan et moi ?
Il tend son portable que je prends. Une vidéo tourne, on pouvait y voir Yohan et moi être entrain de s'embrasser et c'était...hier soir. Je voulais me cacher.
Je me sentais tellement honteuse vis à vis de lui. Les larmes me montaient aux yeux, je voyais dans son regard qu'il était blessé et tout ça part ma seule faute.
Moi — Qui est-ce qui t'as envoyé cette vidéo ?
Konan — C'est pas le sujet.
Son ton était glacial, j'en avais pas l'habitude. Ça me mettait mal à l'aise. Il doit sûrement pensée que je m'en fou de ses sentiments alors que c'est pas le cas.
Je l'aime. Je le respecte mais j'ai l'impression que le monde est contre nous. Le baiser d'hier, je ne le voulais pas. Yohan m'a totalement pris par surprise.
Konan — C'est tellement facile de pleurée quand tu sais que t'as fait de la merde, arrêtes un peu. Dans cette histoire, c'est toi qui s'est faite cocu peut-être ?
J'essuie mes larmes d'un doigt tremblant.
Konan — J'arrive pas à te comprendre sérieusement.
Dans la même journée là, t'étais sur le point de me sucer et le soir même tu le galoches ?! Tu me prends pour ton fils de pute ? T'as pas de respect pour moi ?Moi — Je peux te le jurer que je te respectes à mort Konan. Je suis tellement désolée, je voulais pas l'embrasser. C'est lui qui a pris ma tête pour le faire, ça a été coupé mais crois-moi, je l'ai repoussé après.
Konan — rire nerveux Et tu l'as repoussé quand ? 5 longues minutes plus tard ? Lorsque t'as bien pu terminé de lui bouffer la bouche ?! J'aime pas qu'on me prenne pour un troue de balle donc sois honnête.
J'avais la gorge nouée, c'était horrible.
Moi — Je veux plus rien avec lui. C'est toi l'homme qui m'intéresse et malheureusement je l'ai compris trop tard. Ne mets pas fin à tout ce qu'on a construit.
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Le mental d'un guerrier
Genç Kurgu«L'amour c'est comme la guerre, facile à démarrer, difficile à finir...et impossible à oublier». Histoire terminée.