35 — Amour lointain.
On était tout les deux posés sur mon lit, on parlait de tout et de rien. Elle était entrain de parler de ses projets d'avenir et je pouvais pas m'empêcher d'avoir de l'admiration en observant cette femme incroyable.
Servane - Pour l'instant, je mets des talles de côté car mon rêve depuis toujours c'est d'avoir ma propre entreprise, une entreprise qui aiderait les gens en difficulté à faire leurs démarche administratives et plus encore. En gros de l'aide à la personne, tu vois ?
— Oui je vois et qu'est-ce qui t'empêche de le faire ?
Servane - J'attends encore un peu avant de le faire là.
Pour des affaires comme ça, il faut être prêt mentalement ainsi que financièrement et je peux pas me lancer dans tout ça sans même avoir été préparer.— Je comprends mais t'es sur une bonne idée. Aidez les gens en difficulté, c'est un investissement mais c'est une bonne action si ça marche ton entreprise pourra évoluer qu'en bien en tout cas je t'encourage sur cette voie là et tu pourras compter sur moi, miss.
Elle sourit et dépose ses lèvres sur les miennes.
Servane - Je t'aime.
— Je t'aime aussi.
On s'embrasse de nouveau, notre baiser s'amplifie de plus en plus. Elle défait la couverture qui était sur nous avant de se mettre en califourchon sur moi en continuant de m'embrasser, c'était vraiment caliente.
Je me détache de ses lèvres en souriant.
— Tu veux remettre ça ?
Elle me répond pas et dépose un autre bisou sur mes lèvres avant d'enlever son haut et son shirt. J'ai rapidement compris que cette nuit allait être torride.
Servane - T'as ta réponse.
Elle s'est remise sur moi, on s'embrasse avec passion et excitation. J'étais bien avec elle, on se complétait totalement. Je suis persuadé que c'est mon âme sœur.
— On ira un peu plus tard au taff demain.
Servane - Arrête de parler et embrasse moi Steeven.
RETOUR AU PRÉSENT
Sereya - Steeven ?
Je me réveilles tout doucement de ma sieste. Ça fait combien de temps que je me suis endormi, j'ai l'impression que ça fait une éternité. Ce souvenir de Servane et moi m'a chamboulé, ça me paressait réel.
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Le mental d'un guerrier
Novela Juvenil«L'amour c'est comme la guerre, facile à démarrer, difficile à finir...et impossible à oublier». Histoire terminée.